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Critiques de Morgan Sportès (138)
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Tout, tout de suite

Basée sur une histoire vraie, je m'attendais à mieux en ouvrant ce roman. J'ai d'emblée detesté le style d'écriture : il y a d'un côté le ton neutre de l'écrivain à la limite de l'article de presse et de l'autre le côté "parlé du ghetto" tiré à l'extrême.

Je suis vraiment déçue car je pensais en apprendre davantage sur ce qui s'était passé, or, du fait que l'auteur tombe dans les stéréotypes et qu'elle s'attarde à décrire la vie de ses nombreux personnages, je me suis perdue dans l'histoire et ennuyée : le roman m'est tombée des mains.
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Tout, tout de suite

L'horreur du crime a fait couler beaucoup d'encre. En 2006, un jeune juif d'origine modeste est enlevé, séquestré et torturé pendant plus de vingt jours par une bande de jeunes, avant d'être assassiné. Morgan Sportès revient sur cet acte de barbarie. Il explore, dans ce roman inspiré de ces faits réels, les raisons qui ont poussé ces jeunes - parfois désoeuvrés, parfois parents, parfois mineurs - à torturer un autre être humain. Sans jugement, il reconstitue les faits, analyse notre société, les désillusions qu'elle créé, jusqu'à permettre l'irréparable. L'inénarrable. L'indicible.



Lecture dure au sens propre, Tout, tout de suite est un roman assez étrange. Tout d'abord parce qu'il s'inspire de faits réels, certes, mais aussi parce qu'il décortique notre société et ses dérives au travers de ce crime au caractère insoutenable. Le choix de Morgan Sportès d'écrire un roman et non pas un documentaire permet d'établir une distance, une distance avec ce crime, mais aussi une distance avec notre société gangrenée qui se détériore peu à peu. Une société qui permet à cette violence d'éclore. Et cette distance est salvatrice pour le lecteur. Sans elle, cette lecture serait d'autant plus dérangeante.

Tout, tout de suite n'est pas un roman que je souhaitais lire, appréhendant les mots de Morgan Sportès pour mieux me cacher derrière un voile protecteur. Je l'ai néanmoins lu. De ce roman terrible, je retiendrais un sentiment de malaise, qui ne m'a pas lâchée. Malaise dû à à cette histoire, c'est évident, mais dû aussi à notre monde actuel. Une sorte de fatalisme en somme. C'est dur d'ouvrir les yeux. Dur de regarder la violence en face. De la voir éclore. De parler d'acte inhumain quand ce sont bien des Hommes qui l'ont commis.

Une lecture éprouvante s'il en est. Une étude sociétale inquiétante et pourtant bien réelle réalisée par un auteur qui analyse, avec la pointe acérée de son stylo, un monde qui va mal. Une lecture dérangeante, tout sauf reposante, mais ô combien essentielle.
Lien : http://bouquinbourg.canalblo..
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Pour la plus grande gloire de Dieu

Un humour décapant. Un travail de recherche impressionnant. Flamboyant et génial.
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Si je t'oublie

Il s’agit du premier livre que je découvre de l’auteur. Il raconte l’histoire de sa vie avec la femme qu’il aime, mais surtout l’après, ce qu’il se passe lors qu’elle n’est plus la.

Un roman désordonné, difficile par moment, mais qui nous permet de vagabonder dans ses pensées et de lire l’hommage qu’il lui écrit. Malgré la peine, on sent qu’au fur et à mesure il progresse dans son deuil difficile.
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L'appât

"Dès qu'on entre dans les lieux, une odeur

âcre prend à la gorge. Au fond une porte à

glissière grise ouvre sur un énorme monte-charge

par lequel, sur des civières roulantes, les corps

sont transportés à l'étage supérieur: là, dans un

grand couloir, sur d'autres civières, patientent

d'autres corps, comme des malades dans une

salle d'attente préopératoire. Corps carbonisés

dont les membres noirs semblent figés dans la

position même où la mort les a surpris; corps de

noyés, verdâtres, marbrés de mordorures

sanieuses; enfants dont le visage méconnaissable

s'encroûte d'un cocon de sang coagulé, brunâtre.

Corps déjà à demi-décomposés, corps qui ne sont

déjà plus des corps, formes informes, vides, prêtes

à rejoindre la matière originelle, la glèbe... "



Merci à Babelio de permettre de voir , en une ou plusieurs citations , si un livre est bon ou mauvais ,et en faisant celà , de court circuiter la publicité médiatique : c'est d'ailleurs pour ça que des critiques comme Assouline détestent Babelio et n'arrêtent pas de diffamer ; une simple citation peut ruiner un fond de commerce !



Depuis que je lis des extraits sur Babelio , soit j'admire et j'achète , soit je n'arrête pas de me marrer ; )



Mon dieu ce que ce torchon est mal écrit !



On croirait une imitation drôle à mourir d'un

pédant snobinard, la chute sur le dernier mot , à chaque fois ,est totalement hilarante !

Manque plus que la binocle et le nez en l'air, mort de rire ! : n' hesitez pas à mettre d'autres extraits svp : " marbrés de mordorures sanieuses " Ha ! Ha ! Ha !



En fait je devrais lire d'avantage de mauvais livres , être plié de rire en permanence c'est bon pour la santé ! ; )

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Tout, tout de suite

Morgan S raconte toute l histoire. Il a seulement changé les noms des protagonistes. Un livre prenant, émouvant et revoltant qu on lit presque d une traite. Il y a 1autre livre " l affaire du gang des barbares" qui est quasi pareil ,avec les vrais noms des prota,que j ai préféré.

On a parfois envie de cracher dans le livre (pardonnez moi l'expression) sur ces individus sans une once de compassion, d humanité et de bon sens. il est difficile de comprendre et d expliquer cette cruauté.

Le soi disant cerveau, complètement écervelé plutot, est un fou que la police n a pas reussi à cerner hélas, qd bien même ils auraient reussi...est ce que la finalité aurait ete la même ?
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Tout, tout de suite

Même si l'auteur qualifie ce livre de roman, c'est plutôt le récit de façon chronologique d'un enlèvement qui tourne mal. Et ce,basé sur un cas vécu. Étant du Québec le langage m'a rebuté quelque peu mais j'ai quand même saisi le sens des mots. C'est vraiment de la violence à l.état pur, dont le seul but est de récolter de l'argent acquis facilement. Ce qui n'était sensé n'être qu'un enlèvement , suivi d'une demande de rançon se transforme en meurtre. Dur à lire
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L'insensé

Texte stylé , stylisé érudit avec dans la première partie, jusqu'à la page 90 environ, une construction de phrases qui donne une sensation de lourdeur avec toutes ces répétitions et listing d'adjectifs qui donne parfois un rythme et une sonalité proche de la poésie et parfois un frein à la lecture.

reste une histoire dans l'Histoire intéressante et prenante.
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Le ciel ne parle pas

Dans "le Ciel ne parle pas", Morgan Sportès raconte l'histoire de Christovao Ferreira, qui fut missionnaire au Japon.
Lien : http://bibliobs.nouvelobs.co..
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Le ciel ne parle pas

Ce roman historique aborde les persécutions dont les chrétiens firent l'objet au Japon dans la première moitié du XVIIe siècle. Un "docufiction", plus qu'un roman historique, servi par un style surprenant, à l'ironie mordante et à la forme assez familière. Ça n'empêche pas de croquer des personnages remarquables et d'aborder le fanatisme ou la souveraineté des Etats, des sujets toujours brûlants.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Maos

Sportès Morgan, - "Maos" – Grasset, 2006 (ISBN 978-2-246-67651-5) – prix Renaudot des lycéens en 2006



La quatrième de couverture résume parfaitement l'objet de ce roman ; par ailleurs, on trouve une bonne recension à l'adresse suivante :

www.chronicart.com/livres/morgan-sportes-maos/



Une chose est certaine : la piétaille des petits naïfs, i.e. les "militants et sympathisants de base" à la Pierre Overney (qui a payé de sa vie) ont été manipulés, grugés, par de "brillants normaliens" (Benny Levy, Jean-Paul Sartre, Olivier Rolin, Serge July, André Glucksmann du côté mao, mais aussi les Krivine et autres lambertistes du côté trotskyste et tant d'autres gourous) qui n'eurent ensuite aucune difficulté à réintégrer leurs beaux salons parisiens pour devenir les leaders du camp bobo (la toute belle carrière d'un Alain Geismar, pour ne prendre que cet exemple).



Je saisis ici l'occasion de rendre hommage à Simon Leys (pseudonyme de Pierre Ryckmans – 1935-2014), qui eut l'intelligence et l'audace de publier – dès 1971 – cet ouvrage intitulé "les habits neufs du président Mao", qui fut vilipendé, vomi, couvert d'injures et de railleries par la nomenklatura de l'époque, qui reste la même aujourd'hui, sans honte aucune !



Sportès émet ici la thèse de la manipulation de ces gauchistes de salon par les services secrets occidentaux, ce qui paraît bien outrancier, certes... Mais le résultat est bien là : à l'exception de quelques biques radoteuses à la Arlette (travailleuses, travailleurs...) ou de quelques énergumènes sans honte ni pudeur aucune à la Badiou, la plupart de ces leaders maoïstes et autres gauchistes grand teint de cette époque sont bel et bien devenus les chantres de l'idéologie bobo prônant un ultra-libéralisme fondé sur l'atomisation des individus tellement "libérés de tout" qu'ils en deviennent malléables à souhait (et on attend le premier ex-maoïste ou ex-trotskyste qui prendra sa carte au FN, ce qui n'est plus si éloigné : nous reverrons bientôt les carrières à la Jacques Doriot.



Bref, un roman un peu faible, mais riche en pistes de réflexion...

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Tout, tout de suite

Un roman qui vous prend aux tripes et se lit d'une traite. On suit jour après jour la calvaire vécu par le jeune homme, les actes de ses geoliers, leur inconscience face à la tyrannie du meneur de la bande. C'est vraiment un témoignage qui ne laisse pas indifférent et qu'il faut lire pour que plus jamais une telle violence ne soit tolérée...
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Tout, tout de suite

On est très loin du livre récit, un peu "voyeur" auquel je m'attendais. Il y a presque deux cent pages avant d'arriver à l'enlèvement d'Elie, ça dépasse donc l'autopsie d'un fait divers. Ce livre m'a fait découvrir un monde que je connaissais pas. La description des différents protagoniste est très intéressante et elle permet de se rendre compte que finalement, la plupart ont été entrainé dans cette histoire bien malgré eux. Enfin les citations en début de chapitre sont souvent du meilleur effet, la première de "Jaime Semprun" semble avoir été écrite pour l'occasion: "Quand le citoyen-écologiste prétend poser la question la plus dérangeante en demandant: quel monde allons nous laisser à nos enfants?, il évite de poser cette autre question, réellement inquiétante: à quels enfants allons-nous laisser le monde?"
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Maos

Bof. Le prix Renaudot des lycéens ! Encore un prix très surfait, certes c'est bien pour les élèves qui doivent creuser un sujet et aussi pour les anciens militants maoïstes, pour moi c'était globalement assez ennuyeux, et j'ai mis du temps à arriver à la fin et à l'heure de cette critique il me rends compte qu'il reste peu de chose de cette lecture.
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Tout, tout de suite

Sur les hauteurs de Belleville, rue des Envierges, juste en face d'une cité multiethnique, se trouve un troquet. Au vieux Belleville, le week-end on y joue des airs d'accordéon, on y chante, on y danse. Aux murs des photos de Piaf, Trénet,....La clientèle à majorité gauloise, a les cheveux gris. Quelques bobos s'y mêlent. On croirait voir les acteurs d'un film de Carné, en noir et blanc, qui continuent, outre temps, de jouer leur rôle dans un univers de signes décalés. En porte-à- faux.
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Tout, tout de suite

ce livre que je suis en train de lire et que j'ai presque fini m'a fait flipper tout au long des pages, comment une société dite humaine peut ainsi assassiner un être humain pour la haine de l'autre et l'appât du gain, ces barbares n'ont pas été jugés équitablement, ils auraient mérité la mort et encore avec les tortures qu'ils ont infligés à ce jeune homme qui ne demandait qu'à vivre sa vie tranquillement......je suis écoeurée par tant de haine............
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Tout, tout de suite

Passez votre chemin ! Oui je sais c'est cash comme avis mais franchement ce n'est pas possible. Je n'ai trouvé aucun argument positif à ce roman.











Tout d'abord, ce qui m'a dérangé, c'est cette impression de lire un fait divers très détaillé. Certes le fait divers peut être traité de manière romanesque. Stendhal et bien d'autres l'ont fait. Mais ici, je n'ai pas aimé du tout. Je pense que la seconde chose qui fait que la mayonnaise n'a pas pris, c'est l'écriture de Sportès. Je n'ai pas accroché et du coup j'ai du mal à en parler !











Certes parler de ce fait divers pour se questionner sur le monde dans lequel on vit, sur ce qu'il va devenir, est intéressant. Mais cela ne rachète pas l'ensemble que donne ce roman. Peut être est-ce aussi du au fait que j'avais suivi le fait divers en 2006 et que du coup ce roman m'a lassé. Je n'ai rien appris en le lisant !







Enfin, j'ai eu l'impression de quelque chose de malsain sortait de ce roman. Pour en avoir parlé avec des collègues lors des délibérations régionales, j'en ai conclu que les élèves qui le lisaient avaient une espèce de fascination malsaine pour les membres du "gang des barbares". Et ça, ça me pose problème !







La seule chose que je pourrais dire de positif sur ce roman, c'est qu'il pourrait être un bon scénario de film.





Mes élèves ont globalement avancé les mêmes arguments à la lecture de ce livre. Ils ont, avec leurs mots, fait ressortir l'absence d'imagination de l'auteur, l'écriture pas assez poétique et une gène !
Lien : http://lesbavardagesdesophie..
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Tout, tout de suite

Les habitants d'un quartier de région parisienne, entendent des cris et des bruits inhabituels, un soir de janvier. C'est en fait un jeune homme, Ellie, juif, qui vient de se faire enlever, par un groupe cagoulé, dans une grosse voiture grise ? Pourquoi ? L'argent ? Le motif est-il raciste ? Et comment est-il tombé dans le piège ?



La suite sur le blog :
Lien : http://1bonheur1jour.canalbl..
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Tout, tout de suite

Que dire? Choquant. Bouleversant. Effrayant. Mais le pire c'est que tout ceci est vrai, pâle reflet de la cruauté humaine. Je relevais souvent la tête en me demandant : Mais comment des hommes ont étés capable de faire de telles atrocités? Le gang des barbares vous dit quelque chose, voir rien du tout? Ouvrez-le, vous ne serez pas déçu.



Je l'es lu dans le cadre du Goncourt des lycéens. Personnellement, je pense que je n'aurais jamais pensé le lire autrement. Et quelle découverte! Je ne connaissais rien à cette histoire et je suis heureuse aujourd'hui d'avoir comprit. Avoir comprit ce drame et les sentiments de chaque membre de cette bande.



Rappelons un peu le contexte de l'histoire. Yacef, cerveau de la bande, désire se faire de l'argent, vite et tout de suite. C'en suis alors une série de tentative de kidnapping manqué jusqu'au jour où Elie, devient sa cible. Petite parenthèse : toutes les cibles de Yacef sont juives car pour lui, tous les juifs sont riches. On remarque déjà que sa logique défaille un peu. Enregistrant toutes ses précédentes erreurs, Yacef, suivit de sa bande réussi enfin son coup! Mais à quel prix? Celui- ci réclame 450 000 euros à la famille. Qui évidemment, ne les possède pas. La traque commence. La torture aussi. Frustré des constants refus de la famille (qui a mit la police dans le coup), celui-ci c'en prendra à Elie.



L'écriture de l'auteur est direct, nourri de multiples détails qui rendent l'histoire que plus effrayante. Celui-ci ne raconte que les faits, sans enjolivement. Le langage adopté est celui des banlieues, touche apporter par l'auteur que j'ai trouvé importante. J'ai d'ailleurs eue la chance de le rencontré grâce aux rencontres Fnac et l'auteur, répondant à une des questions posés, à révélé que 90% du livre se base sur les dialogues réelles, soit entendu par téléphone, soit en prison.



Ce roman, évidemment, ne peut pas laisser indifférent. On est touché, frappé. Cela c'est passer en 2006. 2006! Soit il y a à peine 5 ans. Mais où va le monde? Cette barbarie humaine fait froid dans le dos. On comprends, au fur et à mesure du livre, que Elie aurait pu être sauver plus d'une fois. Tant de monde ont été au courant, pourtant personne n'a osé appeler la police. La peur pousse à fuir et c'est bien légitime. Mais le prix à payé est fort, celle de la vie...



Cette lecture est peut-être, certes, choquante parfois, voir même cru mais elle marque à jamais. Elle pousse à réfléchir sur la société d'aujourd'hui. A chaque instant, on espère voir débarquer la police et pouvoir ce dire que ce n'était encore qu'un coup foireux de Yacef. Sachant toute l'affaire, aurais-je agit pareil que toutes ces personnes qui sont rester dans l'ombre sans agir? Je ne sais pas. Et ça fait peur.

A ne surtout, surtout pas manqué.


Lien : http://miragebook.blogspot.c..
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L'aveu de toi à moi

SPORTES Morgan



L’aveu de toi à moi



C’est le premier livre de Sportes que je lis et j’ai beaucoup aimé.

L’auteur raconte l’histoire d’un homme (Ruby) un littéraire qui eut une vie assez mouvementée. A la fois poète et romancier, il a vingt ans, à la première guerre mondiale, français, et parce que déçu par son entourage il s’engage dans les SS ;( ?) Il fait la seconde guerre…. Après moult péripéties qui n’ont de justifications que ses contradictions internes, il est envoyé à Dachau, Oranienburg. Ni comme juif, ni en tant que communiste ou autre mais parce qu’il trahi un peu tout le monde. Naviguant d’une positon à une autre, fuyant les uns et les autres il se marie à une paysanne allemande quand il s’échappe de Oranienburg. Il a une fille Louise que rencontre l’écrivain-narrateur et avec laquelle il recueille les souvenirs de ce père…

De bonnes réflexions sur la jeunesse des années 60 où les intellectuels gauchistes ou de gauche (philosophes, psychiatres et autres) se gavent de « poncifs » et des principes à la mode en 1968. J’ai particulièrement aimé son avis sur les amalgames et les différends existant alors. Quand on a idéalisé la période de mai 68 on revient de loin, on s’étonne, on se questionne, mais tous les avis sont permis

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