La symphonie en ré mineur s’ouvrait avec les soupirs des cordes, l’orchestre exprimait un vague désir, évoquant l’automne, la fin d’une année de plus dans la vie du compositeur. Le second mouvement, enchaîné sans interruption, commençait par une mélodie plaintive du hautbois, au rythme mélancolique. Toujours sans interruption, un scherzo plein d’entrain promettait de dissiper l’humeur sombre des deux premiers mouvements.