-Que la cage soit en or ou en un métal plus viĺ, elle reste une cage .
La noblesse des actes est le trésor dont peut jouir tout être sur cette terre. Le vrai pauvre, c’est celui qui n’a pas d’honneur quand bien même il serait le plus riche des hommes.
Dès qu’il s’agit de contes, il y a une voix qui ressuscite en nous.
"Partir, c'est mourir un peu, laissant de soi cette part incrustée à tous les objets, les lieux, à toutes les caresses. Partir, c'est renaître un peu, se projetant dans cette nouvelle part qui nous attend. Partir, c'est sentir l'amertume nostalgique, partir, c'est goûter le miel de l'ivresse. Partir, c'est se déconstruire, partir, c'est reconstruire."
Dans le monde extérieur toutes les nuances cohabitent .
Le sel de la vie réside justement dans l'alternance , la concomitance et l'enchevêtrement du plus dur et du plus tendre , du plus doux et du plus amer passant par l'aigre , le piquant et l'insipide , de la chaleur de l'été et du froid de l'hiver , transitant par la douceur du printemps et de la mélancolie de l'automne
Mais les signes du bonheur n’exonèrent ni ne protègent des déceptions profondes et des amertumes qu’inflige la vie à tout un chacun, fût-il sultan des sultans.
- Et maintenant, dit-elle, que la nuit a parfaitement étendu sur nous la soie légère de sa voilure parsemée de pierres précieuses qui brillent au firmament, il est temps, mon coeur, avant que ne vienne te cueillir la paupière du sommeil, de te conter l'histoire de Wadâa et de ses sept frères avec leurs sept chevaux, leurs sept chamaux, leurs sept sabres.
La noblesse des actes est le trésor dont peut jouir tout être sur terre. Le vrai pauvre, c'est celui qui n'a pas d'honneur quand bien même il serait le plus riche des hommes.
Jeune femme , depuis que j'ai vu votre reflet dans l'eau quelques heures plus tôt , il ne me quitte plus . Comprenez ma curiosité .
-Étranger , contentez-vous de cette image .Partez et gardez -là dans vos souvenirs , c'est le mieux qui puisse nous arriver .
-Je ne peux me contenter du reflet , maintenant que je sais pouvoir le comparer à l'original , répondit le prince sur un ton badin .
"La nuit nous cessons de nous distinguer par nos traits, nous apprenons à nous connaître par les caresses, les mots, le silence."