Lundi 24 mars, nous avons eu le plaisir de recevoir Mr Tan et Diane le Feyer, les créateurs de Mortelle Adèle, aux Enfants de Dialogues à Brest ! On en a profité pour lui poser quelques questions !
Bibliographie :
- Mortelle Adèle - Le Journal des bizarres, de Mr Tan et Diane le Feyer (éd. Mr Tan And Co)
https://www.lesenfants.fr/livre/21978912-mortelle-adele-le-journal-des-bizarres-mr-tan-mr-tan-and-co
- Mortelle Adèle, Tome 19 - Face de Beurk !, de Mr Tan et Diane le Feyer (éd. Bayard Jeunesse)
https://www.lesenfants.fr/livre/21410515-mortelle-adele-t-19-face-de-beurk--mr-tan-bayard-jeunesse
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Et il va falloir aller à l'école TOUTE l'année ?
LE PÈRE : C’est pas possible de faire de pareilles bêtises. Mais où vas-tu chercher tout ça ?
ADÈLE : Ah, tout de même, je suis flattée que tu reconnaisses enfin mon talent !
- Heureusement que tu m'as crié de me pousser ! Je ne t'avais pas vue !
- Super... Mais en fait je parlais au sapin. (p.52)
C'était tiguidou ! Si tu veux jaser, lâche un call ! Minouche Ajax de ma part, il a l'air trop cute ! (p.77)
GEOFFROY : Tu crois que tu iras en enfer ou au paradis, toi ?
ADÈLE : J’irais où ils offrent des cookies !
- On va monter tout en haut pour redescendre tout en bas ? (Adèle)
- Oui enfin...c’est résumé mais oui... (le moniteur)
- Mais ça sert à rien ! C’est comme travailler pour pouvoir partir en vacances, ou gagner des sous pour payer des factures... (Adèle)
- Bah alors plus personne ne veut skier ? (Charlie)
- Laisse-leur cinq minutes ils viennent de comprendre le principe de la vie d’adulte. (Adèle)
Description d’une image de ce manga:
En noir et blanc : Deux enfants assis sur un banc ; l'un abandonné, habillé en hayon, l'autre perdu.
Celui qui est perdu ne veux plus de l'aide de l'autre. Il a peur. Il prend son courage à deux mains, se lève. Au dessus d'eux un arbre immense se dessine sur le ciel sombre. Le vent souffle et fait voler ses feuilles. Nous sentons peser le poids effrayant de la nuit qui approche avec son lot de dangers.
Les deux enfants sont si démunis au pied de l'arbre.
Oui tout cela se sent dans cette unique image.
- Je m'appelle Frida Von Schloss, et je n'aime pas les enfants bruyants... Je n'aime pas non plus les enfants qui se plaignent, qui rient, qui bougent dans tous les sens...
- Vous n'avez rien contre ceux qui respirent ?
- Je n'aime pas non plus les enfants qui font de l'humour.
[p47]
- Tu as déjà vu un ciel avec autant d'étoiles ?
- Ce sont des pensées, des promesses et des larmes aussi. Elles s'accrochent dans le ciel et brillent pour qu'on ne les oublie pas.
- Je ne comprends pas les humains. Ils passent leur temps à le perdre !