Lorsque je suis angoissée, je me rends au refuge. Nul besoin de voyager ; m'en aller rejoindre les sphères de ma mémoire littéraire suffit à l'affaire. Car quelle plus noble distraction, n'est-ce-pas, quelle plus distrayante compagnie, quelle plus délicieuse transe que celle de la littérature ?