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Critiques de Muriel Mingau (14)
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La famille Indri-Indri

Difficile de résister à l’envie de jumper aux cotés de la famille Indri-Indri.



Pour les non-initiés, l’Indri est une espèce de lémurien encore présente sur l’île de Madagascar. Son pelage noir et blanc encercle un regard envoutant passant par le jaune au gris-bleu. C’est la plus grande espèce de lémurien, et pour moi la plus envoutante.



Nous suivons la famille Indri-Indri, très bien croquée sur au sein d’une canopée crayonnée.



Après un brin de géographie nous rappelant la formation de l’ile de Madagascar à l’époque du Jurassique, on saute de branches en branches à la poursuite de cette famille dont on va apprendre le quotidien : sauts entre les arbres à la recherche de fruits et de feuilles, et puis sieste en famille, sympa le programme, non ?



Oui, jusqu’à ce que…



Un petit conte à la direction artistique fraiche et vivante, l’illustratrice propose un travail moderne entre crayon et palette avec des couleurs au ton pastels avec des nuances de vert et bleu magnifiques des rendus de papiers aux textures qui invitent au voyage.



Pour avoir scruté avec fascination pendant un bon paquet d’heures ces animaux qui me subjuguent depuis l’enfance, j’ai trouvé leurs poses bien croquées et réalistes.



J’enlève une petite étoile car j’ai trouvé un peu dommage la répétition par quatre fois d’une même illustration sur un album de 39 pages ça représente 10% ce qui est suffisamment important pour etre perçu, j’aurais préféré voir davantage des belles créations de Claire Chavenaud.

Encore que ça n’enlève que peu de plaisir de lecture sur ce petit album qui aborde des thèmes importants : biodiversité, émancipation, déforestation, communication, (éco)responsabilité.



Un grand merci à Babelio et surtout à l’éditeur pour le soin apporté à l’édition ainsi qu’à l’emballage du livre.

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La famille Indri-Indri

Je lis moins d’album depuis que je fréquente… moins les bibliothèques, pour cause de fermeture aléatoire et de fréquentations difficiles vue les conditions actuelles. La dernière Masse critique a été pour moi l’occasion de renouer avec le genre. Tout d’abord, je tiens à dire que l’objet-album est en lui-même très beau. La couverture représente, au milieu de la luxuriante forêt malgache, le petit dernier de la famille Indri-Indri, une famille de lémurien. Oui, les lémuriens vivent tous sur l’île de Madagascar – et l’album de commencer comme un conte étiologique, racontant comme l’île de Madagascar s’était formée, entraînant avec elle tous les lémuriens.

Mais le conte ne dure pas longtemps, parce que les luxuriantes forêts se retrouvent dévastées par les flammes, et le territoire des lémuriens se retrouve amputée d’autant, sans que les arbres ne parviennent à reconquérir le territoire dévasté. Il faut dire qu’il ne s’agit pas que d’un incendie, mais que les incendies sont fréquents et ne dévastent un peu plus le territoire. Pourtant, la famille Indri Indri se veut optimiste, et accueille un troisième rejeton, celui-là même qui est en couverture. Il a une particularité : il a le vertige ! Voltiger est pour lui impossible. Il est la cible des quolibets des autres lémuriens. Oh, nous ne les verrons pas, non, nous entendrons leurs voix, rumeurs collectives qui accompagnent, soulignent le problème du petit Indri-Indri. Jusqu’au jour où…. il est amené à se dépasser.

Malgré des passages sombres, la visée de l’album est optimiste. Il est possible d’aller au-delà de ses peurs. Il est possible de changer les choses – avant qu’il ne soit trop tard. Preuve que le message de l’album va avec le message de cette maison d’édition : il est publié sur du papier issu de forêts gérées durablement.

Avec tout ceci, je n’ai même pas parlé des très belles illustrations de Claire Chavenaud, qui donnent parfois l’impression de voir des collages, des tissages, un ensemble délicat en surimpression.

Un album à partager.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Au creux de la noisette

Un matin, Paul trouve sa mère agonisant dans son lit. "Elle" arrive. Mais Paul ne veut pas que sa maman parte et sort vite chercher de l'aide. Mais il la croise... La mort. Avec sa grande faux et son capuchon noir. Elle vient chercher sa maman. Mais Paul n'est pas d'accord alors il l'attaque ! Il la tape tant et si bien qu'elle se recroqueville et devient minuscule. Il la cache alors dans une noisette et l'abandonne.

Heureux, il rentre à la maison et voit que sa maman va bien. Sauf que tout ne se passe pas comme prévu. Plus rien ne peut mourir, alors comment se nourrir ? Le petit garçon va alors devoir réfléchir aux conséquences de son acte.



J'ai trouvé cette histoire très bien pensée, vraiment. Non seulement c'est une belle introduction à ce qu'est la mort, mais aussi à toutes les conséquences si elle n'existait pas. Légèrement philosophique ce livre est très bien écrit.

Après je n'ai pas été fan des illustrations et surtout de la représentation de la Mort. Elle fait très peur, géante, noire et avec sa faux. J'aurai préféré une image un peu plus rassurante puisqu'au final l'auteur nous rassure à son sujet.
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Marc Petit : Dans le secret d'une oeuvre

Parfois même trente jours ne suffisent pas pour lire une oeuvre, la comprendre et tenter un commentaire ici.

J'ai reçu "Marc Petit, dans le secret d'une oeuvre" dans le cadre de l'opération Sens Critique et je remercie Babélio et les Ardents Editeurs pour ce très beau livre.

Ma route a croisé par deux fois celle des oeuvres de Marc Petit. Chez une amie lotoise commune, j'admirais deux de ses sculptures puis avec elle, je visitais le musée du Lazaret d'Ajaccio, rassemblant de très belles pièces de Marc Petit.

Mais ce livre, par la proximité des superbes photographies de ces douze hauts-reliefs nous plonge pleinement dans l'intimité du travail de l'artiste.

Portées plus que révélées par la poésie des textes de Muriel Mingau, ces sculptures, ces photographies de l'artiste au travail nous émeuvent, nous bouleversent. Elles disent tant à nos inconscientes souffrances, à nos peines et nos joies défuntes ou à venir. Cette ronde des vies est la notre comme elle est celle de Marc Petit que l'on voit modeler la matière comme la matière nous modèle, nous compose en une fusion de l'être appelée à s'évanouir. La fixation de ces itinéraires par le combat du sculpteur n'est que l'espérance d'une survie qui s'exprime, hurle, pleure et rit aussi. La brièveté d'une percée fugace dans cette matière brute est notre vie et la fixité de l'oeuvre du sculpteur nous fascine pour cela.

Cette fresque gigantesque et intime des jours et des mois, entre naissance et mort, infini et fini est hypnotisante, envoutante, sombre et belle aussi.

Merci.

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La famille Indri-Indri

C'est un peu par hasard que nous sommes tombés sur la Famille indri-indri; au détour d'un chalet lors de l'édition régionale de Lire à limoges 2021, alors que nous cherchions un livre à lire en famille. Il faut dire qu'il y avait peu de choix, mais que celui-ci a tout de suite tapé dans l'œil des enfants.



Un très bel ouvrage, couverture souple à rabats, format légèrement supérieur à du A5, imprimé sur du papier mat et épais, issu de forêts gérée durablement, ce qui renforce le message véhiculé par le texte. Une grande illustration à chaque double page, au moins, dans des tons très doux.



Il est rare que j'ai un coup de cœur pour un album pour enfant car je suis toujours très exigeante sur le contenu, et souvent déçue par le texte qui accompagne les dessins. La famille indri-indri est pourtant bien un coup de cœur; un texte simple qui transmet pourtant beaucoup de choses. A tel point que j'ai eu les larmes aux yeux et du mal à lire les dernières pages. Mon grand m'a demandé si je pleurais de joie. Difficile d'expliquer ce qui me mettait vraiment dans cet état. Je lui ai répondu : "non, je pleure parce qu'on détruit notre planète. Mais heureusement, il y a des personnes qui s'en rendent compte et qui essaient de faire ce qu'il faut pour la sauver".



La famille indri-indri parle de la différence, à travers ce petit lémurien qui ne sait pas sauter parce qu'il a le vertige. Mais elle parle aussi de courage et de dépassement de soi, et surtout de protection de la nature. De ces animaux qui sont chassés de leur territoires parce que l'homme s'étend toujours plus; parfois par des moyens dangereux. De l'espoir qui naît lorsque l'on prend conscience du mal qui est fait et que l'on répand les bons gestes.



C'est un texte très court, qui interpelle et inclus le lecteur, et a un gros impact. Totalement dans l'esprit que l'on cherche à insuffler, à la maison en en parlant, ou à l'école avec les ateliers antigaspi. Parce que chaque petit geste compte.







Du côté des enfants (attention spoilers) :



Lucien, 9 ans a trouvé bof bof par ce qu'on détruit la planète. Ce n'est donc pas l'histoire en elle-même qui ne lui a pas plu, mais il a été réceptif au message véhiculé : faire du tort à la planète c'est mal !

Il a bien aimé le petit lémurien qui saute pour sauver les humains.



Andréa, 5 ans a trouvé bien. Elle a tout aimé ! Le morceau de terre qui se décroche. Quand il sauve la petite fille. Tout. Elle n'a pas aimé quant ils brûlent la forêt et quand ils se moquent. Elle retient qu'ils ont montré à la petite fille comment planter des arbres pour refaire la forêt parce que sinon un jour il ne restera que deux arbres (je crois que le message est passé, reste à le mettre en application).



Romane, 4 ans a également trouvé bien. Elle n'a pas aimé le feu parce que la forêt est toute dévorée. Mais elle a aimé le bébé et après elle a aimé tout.

Ce soir encore, alors que nous regardions un livre dans lequel il y avait une illustration de forêt elle m'a dit "maman, on dirait la famille Indri-indri".
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
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Au creux de la noisette

Pour que la mort n'emporte pas sa mère, Paul l'enferme dans une coquille de noisette et la jette à la mer. Mais que se passe-t-il lorsque plus rien ne meure?



Des dessins minimalistes qui ne diminuent pas la puissance du message : la mort fait partie de la vie même si c'est difficile à accepter, à comprendre.

Une sorte de conte philosophique qui nous rassure sur ce qu'en tant qu'adultes nous savons déjà, et qui dédramatise le sujet auprès des plus jeunes.

Un petit regret sur l'apparence de la mort, classique, encapuchonnée avec une faux. Vu les autres illustrations, je me serais attendue à quelque chose de différent.
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La famille Indri-Indri

Je découvre cet ouvrage à l'occasion d'une Masse Critique. Le premier contact est réussi avec cette belle couverture sur laquelle deux yeux scrutateurs nous observent curieusement. Puis j'ai le plaisir de trouver un petit mot de la maison d'édition à l'ouverture du livre. Une attention particulièrement agréable, qui souligne aussi une volonté d'être proche de ses lecteurs.

Puis vient l'histoire en elle-même, celle d'un petit lémurien qui a le vertige, mais aussi celle de son île, Madagascar. Évidemment, la narration est très brève, il ne s'agit donc pas de développer des idées mais de transmettre un message bref et percutant. Plusieurs thématiques s'imposent alors. Tout d'abord, il y a la différence, celle qui amène souvent des moqueries de la part des autres, et à laquelle se confronte notre lémurien. Mais aussi le dépassement de soi, quand vient le moment de faire le grand saut, question de vie ou de mort. Et enfin la nature, omniprésente, à la fois résiliente et fragile. Car à mon sens, le principal message de cet ouvrage est là, dans la nécessité de protéger la nature alors que ses ressources s'épuisent chaque jour un peu plus. Et la carte de Madagascar au début et à la fin du livre n'en atteste que trop bien. Pour autant, l'histoire se termine sur une note d'optimisme porteuse d'espoir et cela fait du bien. On se prend à croire qu'à force de petites histoires naîtront de grandes initiatives.

Les illustrations ajoutent une douceur toute particulière à ce propos engagé et on se prend vite d'affection pour les Indri-Indri.

Enfin, en accord avec le message transmis, l'ouvrage est imprimé sur du papier issu de forêts gérées durablement, ce qui vient parfaire son unité. Une jolie lecture donc, qui saura ravir les enfants et les sensibiliser à l'un des plus grands enjeux du monde actuel.

Merci à Babelio et aux éditions Les Monédières pour cette découverte.
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Au creux de la noisette

"Au creux de la noisette" est forcément une histoire émouvante, parce qu'il est délicat et bouleversant, même au travers d'un conte, d'expliquer aux petits que parfois il faut laisser partir.

Pourquoi les choses doivent-elles mourir?



C'est au début compliqué à comprendre et à accepter, même lorsqu'on est adulte. Pourquoi la mort a t-elle sa place? Nous en arriverons souvent aux mêmes conclusions avec les récits traitant de l'immortalité mais c'est souvent et logiquement un sujet bien trop complexe pour de jeunes esprits. Connaissons-nous des choses immortelles?



L'histoire.

C'est l'histoire d'un petit garçon dont la maman est très malade et qui enfermera la Dame la Mort dans une noisette. Il tentera de casser, casser la faux et la dame se fera petite, petite, pour ne pas sentir les coups et sa colère.

Quelle répercussion cette capture aura t-elle sur le monde si le monde est...immortel (Ah, nous y voila)?

Du côté chroniqueur, rapidement de multiples questions: si les fleurs ne meurrent plus, peut-il y en avoir d'autres qui pousseront?

L'Automne et l'Hiver exciteront-ils toujours? Si nos parents et nous-mêmes ne mourront plus, y aura t-il de la place pour les enfants de nos enfants et les enfants de leurs enfants?



Le conte est émouvant, oui, puisque l'auteure Muriel Mingau ne nous montrera aucune autre famille pour s'occuper du petit, c'est lui et elle, elle et lui, cette relation qui va se briser et elle qui va le laisser.



Après avoir jeté la noisette, la vie va reprendre son cours dans un hâvre de pêcheurs sans Dame la Mort, avec son quotidien rassurant à la maison mais...

" - Aujourd'hui, nous n'avons pas ramené un seul poisson! En arrivant au port, tous ceux que nous avions pêchés ont sauvé par-dessus bord, et pfttt.   ils se sont enfuis!..."



"- Tout à l'heure, j'ai voulu abattre l'un de mes bouvillons, mais je n'ai pas pu le faire.

Chaque fois que j'en poursuivrais un, il sautait par-dessus la clôture...De retour chez lui, il fut bien obligé dd dire qu'il n'avait pas pu acheter ni viande ni poisson. Étonnée, sa mère voulut des explications..."

L'auteure imaginera donc un parcours où l'enfant devra récupérer la noisette qu'il avait jeté à la mer ( un exploit pour ainsi dire impossible mais nous sommes justement dans un conte et tout y est possible).

Les animaux pris aussi par le mauvais sort aideront le petit à trouver le chemin de la noisette et les jeunes lecteurs, nous le supposerons aussi, auront sur ce temps l'opportunité de se faire doucement à l'idée que cette maman devra partir car son heure est venue.



Noisette, crabes, mouettes , poissons, tout ceci injectera un imaginaire frais et doux, presque merveilleux puisque l'enfant pourra leur parler.

Les chouette illustrations de Carmen Segovia orchestreront cette magie de la nature avec des motifs réalistes-une petite réprésentation d'enfants adorable- et/ou des plans décoratifs aux couleurs pastels.

Sous le signe de la douceur.

Dame la Mort s'adressera à Paul comme une institutrice, une grand-mère qui sait et qui le réprimandera un peu pour la leçon.

Le ton est vraiment pensé et bien choisi pour ne pas avoir peur d'évoquer le deuil avec les plus jeunes. Un adulte aurait-il fait la même "coquille" que le petit Paul, vous demandez-vous, jeunes lecteurs? Possible que non car ils connaissent la leçon même si cela n'en sera pas moins difficile. Mais les adultes sont parfois aussi de grands enfants, pas vrai? C'est un conte qui fera grandir.



La fin sera doublement émouvante, ne la râtez pas.
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La famille Indri-Indri

Une belle histoire sur la coopération entre l'homme et l'animal, sur l'importance de préserver la nature. Il n'y a pas de leçon de morale, c'est juste amené au travers du conte.

Mes enfants (7 et 9 ans) ont adoré, ont trouvé le livre très beau (le grain du papier est agréable, issu de forêts gérées durablement, c'est tout de même un plus lorsque la façon rejoint le propos !).

C'est aussi une belle histoire sur la différence, l'acceptation de l'autre et le dépassement de soi.

Bref, une très belle lecture à mettre dans toutes les petites mains !
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La famille Indri-Indri

Bienvenue à Madagascar, avec la famille Indri Indri.

J'ai découvert ses membres grâce à une masse critique de Babelio que je remercie vivement.

Un très joli album pour enfant qui nous explique simplement comment cette île s'est formée mais surtout quel drame s'y joue de nos jours. A savoir la déforestation massive à coup d'incendies volontaires.

Une façon de faire réagir les plus jeunes , de les sensibiliser à cette "folie humaine " qui pousse les hommes à détruire ce qui les entoure , à abîmer ce qui leur permet de vivre .

Grâce à cette famille de lémuriens, de nombreux messages passent... Des textes simples mais efficaces, des dessins magnifiques.

Une belle découverte.

Un grand merci également aux éditions Les Monedieres .



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La famille Indri-Indri

La famille Indri Indri est un livre pour enfant qui nous raconte la vie des lémuriens de Madagascar. Et pourtant, il traite aussi d’un sujet plus sérieux qui est la déforestation liée aux activités humaines. C’est un sujet très particulier lorsque l’on parle d’un livre jeunesse et pourtant tout à fait adapté. La disparition des habitats naturels des animaux est une réalité qu’il me semble inutile de dissimuler aux enfants. Ce livre n’est pas celui d’un conte de fée, mais d’une réalité racontée à travers une histoire adaptée aux plus petits. La morale est remarquable et tout à fait appropriée : une génération sensibilisée à ces problématiques pourra changer les choses.



Je l’ai lu à ma fille, encore trop petite pour comprendre, mais je le garde en réserve pour les prochaines années en espérant tomber sur d’autres pépites pour enfants comme celle-ci !

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Marc Petit : Dans le secret d'une oeuvre

En 12 médaillons évoquant les mois, Marc Petit joue sur des références : médaillons médiévaux, miroirs de bronze antiques ou anciens, les mouvements de la vie et de la mort sortent des reliefs et des creux. Les événements évoqués mêlent clarté et mystère : dire le quotidien et ses fracas en termes bruts et nus n'empêche pas un langage sinueux qui transfigure le banal.
Lien : http://flolunaire.blogspot.f..
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La naissance d'Uluru

Uluru est né au temps du rêve, quand le monde n'était encore qu'une grande plaine toute lisse. Les Grands Ancêtres, qui dormaient sous la Terre, se rendirent sur la Terre...et créèrent les animaux, le rocher d'Uluru...les aborigènes Anangus vénèrent toujours ce lieu comme un endroit sacré.

Cet album poétique et très joliment illustré permet aux enfants de découvrir un peuple du monde souvent ignoré : les aborigènes d'Australie. Il permet aussi de comprendre qu'il y a plusieurs explications à la création des choses et des êtres sur Terre.
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Marc Petit : Dans le secret d'une oeuvre

Je remercie babelio et les ardents éditeurs pour ma sélection aux masses critiques ainsi que pour le soins et le soucis du détail apporté a l'envoi du livre Marc Petit : Dans le secret d'une oeuvre jms je n'avais recu si beau colis pour une masse critique .



Marc Petit : Dans le secret d'une oeuvre est un très beau livre tout d'abord par son visuel les qualité des photos de sylvain crouzillad mettent parfaitement en lumière la qualité du travail de marc petit .

De même que les textes Muriel Mingau onirique et poétique son en harmonie avec le travaille de Marc Petit .

Enfin les œuvres de Marc Petit son sublime on découvre son travail et leurs composition en atelier (ce que j'ai préféré ) puis les mises en scène de celle ci qui me donne envie de les découvrir en vrai .



Je ne peux que conseillé ce très beau livre aux personnes qui pourraient être séduite par les œuvres de Marc Petit et voudrais en apprendre un peu plus sur celle ci ou juste profité d'un très beau livre .

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