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Critiques de Musée des Beaux-Arts - Paris (16)
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La Rochelle 1939-1945

En premier lieu, j'aimerais remercier Babelio ainsi que Geste Éditions pour cette très belle découverte.



Il arrive fréquemment, pour ce genre d'ouvrage, qu'une place majeure soit laissée aux photos et que les textes, minimes, fassent office de légendes. C'est parfois un parti pris mais, le plus souvent, il faut bien l'avouer, une facilité. Dans ce livre, rien de tout ceci. Et pourtant, accompagnant une exposition ayant eu lieu à La Rochelle, il eut été aisé de faire ainsi. Cet ouvrage,très bien conçu, analyse en finesse l'Histoire de ce lieu. Textes et photographies se complètent afin d'expliquer au mieux cette période difficile, la vie quotidienne rochelaise pendant l'occupation. On apprend beaucoup et cela permet également de s'imaginer ce qu'il en était dans toutes les villes occupées. Très bel hommage à ceux qui ont combattu !



Historien, étudiant ou simple curieux, si vous voulez en savoir plus et ajouter dans votre bibliothèque un superbe livre socio-historique, n'hésitez pas !
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Alfred Sisley : Poète de l'impressionisme - L..

Les « peintres » américains qui optèrent pour l'impressionnisme me font penser à ces japonais balbutiant le golf : ils se metterent à imiter leurs aînés occidentaux en jetant en l'air un brin d'herbe avant le départ non pas pour mesurer le sens du vent mais pensaient que c'était un rite auquel il fallait se soumettre.



En revanche l'anglais Sisley avait tout compris de l'impressionnisme : il en fut un artisan des plus solides



L’administration française ne s’est pas honorée en refusant la nationalité française à notre cher ami Sisley qui vivait en France, mariée à une bretonne de laquelle il eut des enfants, et qui plus est son sujet était bien d’extraire des paysages français leur plus belle parure dans un impressionnisme dont il ne s’est jamais démenti. Aujourd’hui la même administration délivre la cni à des rastaquouères gardant leur fichu sur la tête qui se comportent comme des gougnafiers voulant nous pousser à la mer.
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Album : Musée des Beaux-Arts de Dijon

Ah ces ducs de Bourgogne avec cette histoire riche et merveilleuse qui s'étend jusqu'aux flamands, mais un m'a intéressé, plus atypique, qui est exposé au musée de l'histoire de l'art à Vienne, le retour de l'enfant prodigue, cette édifiante parabole de Pompéo Batoni néo-classique italien du siècle des lumières, natif de Toscane.

Il s'est quasiment formé lui-même, même s'il fut presqu'un enfant de la balle. Il peint sur commande pour des églises et des clients privés dont de riches anglais de l'Angleterre géorgienne chez laquelle il n'est pas rare d'y trouver un Batoni, notamment des portraits. Il fallait cultiver la lignée ! A l'époque la place est courue pour lui, émule de Raphaël et de Poussin. Il s'emploie sur des thèmes essentiellement mythologiques. Je trouve particulièrement émouvant ce Retour de l'enfant prodigue. L'homme qui s'est échiné sur cette scène édifiante ne pouvait pas être complètement mauvais : impossible !

Ah ! encore du symbole !..
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Une ville pour l'impressionnisme : Monet, P..

Catalogue de l'exposition éponyme en 2010 au Musée des Beaux-Arts de Rouen, ce très beau livre est une pièce d'exception.



Par sa superbe réalisation éditoriale d'abord : papier gaufré, iconographie à la photogravure irréprochable, textes magnifiques avec une faiblesse pour ceux de Laurent Salomé et François Lespinasse. Et d'exceptionnelles cathédrales, meules, ports, usines, quais, fleuve, canots...



Mais aussi car cette exposition marquait le coup d'envoi de Normandie Impressionniste, festival deux fois renouvelé depuis. Mais jamais à l'égal de cette première exposition inoubliable, dont un des nombreux mérites fut de rendre à Pissaro sa juste place parmi les fers de lance de ce mouvement pictural.
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Berthe Morisot, 1841-1895

Parmi les femmes artistes, Berthe Morisot occupe une position particulière. Elle est parvenue à être peintre dans une société où les conventions n’incitaient nullement les femmes à embrasser une carrière artistique. En effet, elle est une des rares à la fin du XIXe siècle à avoir également réussi à assumer son rôle de mère et d’épouse.

Née à Bourges en 1841, dans une famille aisée et cultivée, Berthe Morisot reçoit l’éducation destinée aux jeunes filles de l’époque. Entre les leçons de piano et de broderie, un peu de dessin, voire d’aquarelle. Mais très vite, la vocation se déclare : elle sera peintre. A dix-sept ans, en compagnie de sa sœur Edma, elle copie certaines œuvres du Louvre. Pendant l’été 1861, à Ville-d’Avray, elles peignent en plein air avec Camille Corot. En 1863, elles rencontrent Charles-François Daubigny à Auvers. L’année suivante, elles exposent au Salon. En 1864, elles investissent leur propre atelier dans le jardin familial de le rue Franklin. Edma se marie et s’en va en province. Berthe peint sans répit, voyage en Normandie et en Bretagne et rencontre Edouard Manet grâce à Henri Fantin-Latour. En 1868, elle pose pour le célèbre « Balcon » (Musée d’Orsay).

Mais la rencontre décisive se fait au lendemain de la Commune. Le marchand d’art Paul Durand-Ruel lui achète quatre tableaux à la lumière claire, présentant des motifs saisis sur le vif. En 1874, au risque de se couper de ses premiers admirateurs, elle participe au Salon organisé par Claude Monet et les impressionnistes. Deux années plus tard, elle épouse le frère de Manet, Eugène, peintre lui aussi. Celui meurt brutalement en avril 1892 ; c’est l’année du succès avec une importante exposition avec la publication d’un catalogue préfacé par Gustave Geffroy. Deux années plus tard, le poète Stéphane Mallarmé intervient pour que l’Etat acquière une de ses toiles pour le musée du Luxembourg. C’est la consécration ! En 1895, elle meurt ayant contracté la maladie de sa fille.

En 2002, le Palais des Beaux-Arts lui rend hommage avec une importante rétrospective de son œuvre, avec un succès de foule évident. Berthe Morisot est, avec Mary Cassatt, la seule femme du groupe impressionniste. Et elle a depuis pâti de la notoriété de ses collègues masculins, de Claude Monet à Auguste Renoir. Aujourd’hui encore, elle n’est bien souvent associée qu’au seul « Berceau » du Musée d’Orsay (tableau exceptionnel au demeurant). Quelques paysages, des portraits intimes, des promenades, des jeux d’enfants, des scènes quotidiennes sont autant de tranches de vie. Ici, des fillettes cueillent des cerises. Là, elle fait le portrait d’une jeune fille au bal. Là encore, elle brosse sur le papier avec rapidité le port de Nice. Sans oublier cet autoportrait de 1885, devant son chevalet et la palette à la main. Et le regard nettement déterminé vers le spectateur.

Sa technique est d’une extrême fluidité de touche, comme si le pinceau s’était fait léger, effleurant la toile. Et la plupart de ses tableaux sont l’expression même de la simplicité de la vie, avec une spontanéité rafraîchissante. Mais est-ce de l’impressionnisme féminin ? Non, plutôt de l’impressionnisme au féminin. La technique, moins emphatique que celle de Monet, ne procède jamais d’un excès de sentimentalisme. Mais cela reste de l’impressionnisme, avec sa touche fragmentée, pas tellement différente de celle de Camille Pissarro ou de Gustave Caillebotte. Ce sont les thèmes des œuvres qui prouvent la sensibilité de la peintre pour le monde de l’enfance, pour les instants fugaces de la vie bourgeoise de la fin du XIXe siècle, pour l’intimité de la vie d’une femme. Un catalogue parfait, presque complet, avec un importante bibliographie. Chaque oeuvre exposée jouit d'une notice très complète.
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James Tissot : Et ses Maîtres

excellent peintre classique

personnages magnifiques : du talent !!
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Matisse, la période niçoise, 1917-1929

Ouvrage de l'exposition du Musée des beaux-arts de la ville de Nantes au printemps 2003 et qui présente la production picturale de l'artiste sur la période 1917-1929 que les historiens nomment la période niçoise.



Après un bref satisfecit d'usage, de Jean-Marc Ayrault, maire de Nantes à l'époque, suivent quelques 8 pages de Colette Giraudon qui semble faire davantage la promotion du marchand collectionneur Paul Guillaume en expliquant les circonstances qui l'ont amené à l'intéresser à Matisse. On y trouve une pleine page de son portrait dans son appartement galerie, une autre pleine page nous expose sa …salle à manger … Il est vrai qu'elle est l'auteure d'un ouvrage «Paul Guillaume et les peintres du XXe siècle : de l'art nègre à l'avant-garde», ceci expliquant sans doute cela, sans compter que cet ouvrage n'aura j'imagine pas manqué de se trouver en bonne place à la boutique de l'expo, ainsi va le monde et celui de l'art va de concert, mais bon bref.



Ensuite, un exposé de Vincent Rousseau (Conservateur au Musée des Beaux-Arts de Nantes de 1976 à 2011) nous apporte tout éclaircissement sur cette période dit niçoise au plan de sa démarche picturale d'alors, et revient sur les voyages de l'artiste au cours des années qui ont précédé cette période, Espagne, Maroc…et les ressentis qu'il en a gardés ou pas, dans sa pratique. Il nous relate également ses rencontres avec Renoir «Renoir avait le sentiment d'ouvrir une voie nouvelle à la peinture, ce qui ne dut pas échapper à Matisse ».



Suivent les reproductions d'une vingtaine d'oeuvres pleines pages, abondamment raisonnées en fin d'ouvrage



Intérêt, sans plus.



(à noter qu'il s'agit d'une éditions de la Réunion des Musées nationaux et du Musée des Beaux-arts de Nantes et non du Musée des Beaux-arts de Paris)

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La Rochelle 1939-1945

N°922– Juin 2015



La Rochelle 1939-1945 - Musée des Beaux-Arts de La Rochelle – Geste Éditions.

Sous la direction d'Annick Notter, conservatrice en chef et Nicole Proux, historienne.



A l'occasion du soixante-dixième anniversaire de la Libération de la ville, le musée des Beaux-arts de La Rochelle publie cet ouvrage richement illustré et documenté qui accompagne une exposition organisée dans ses locaux du 7 mai au 9 novembre 2015. Il s'agit d'un ouvrage collectif qui retrace ces six années de guerre et d'occupation.



Après l'armistice du 22 juin 1940, La Rochelle qui est une ville commerçante et industrielle active se retrouve en « zone occupée » puis en « zone interdite », est déclarée « ville ouverte ». Les Rochelais vécurent ces six années de tourmente dans la réserve, l'attentisme et la survie malgré les privations, l'afflux des réfugiés, les évacuations et les pénuries de tous ordres. Ceci n’exclut ni les actes de collaboration et de délation ni ceux de résistance et de sabotage. L'ouvrage rend hommage à celles et ceux qui se sont engagés dans ces actions d'opposition à l'occupant, qui ont donné leur vie pour que la ville soit à nouveau libre. Le maire Léonce Vieljeux (1865-1944) en fut la figure emblématique. Nombre de voies urbaines et portuaires rochelaises portent leur nom ce qui contribue à perpétuer leur mémoire.



La répression allemande et vichyssoise n'a épargné, ici comme ailleurs ni les juifs, ni les communistes ni les francs-maçons. La Garde Civique et plus tard la Milice, soutenues par des organisations pétainistes, furent de zélés collaborateurs des autorités allemandes. Les communistes qui entrèrent en résistance notamment après la rupture du pacte germano-soviétique (1941), furent particulièrement pourchassés par l’occupant. Les FTP, qui ont payé un lourd tribu, se montrèrent particulièrement agressifs mais le PCF, eu égard à son organisation interne, et malgré les coups portés par l'occupant, a été particulièrement efficace dans cette lutte. Dans la ville, la Résistance s’organisa dans la clandestinité, parfois sous couvert d’associations sportives mais pas seulement, vers l'action, le renseignement, le sabotage ou la propagande anti-nazie ce qui déclencha une vague d'arrestations et de répression de la part des Allemands. Ici comme ailleurs, dénonciations, déportations, tortures, exécutions sommaires furent l'ordinaire de la barbarie nazie... Comme partout, le maquis a connu un regain de recrutement à partir du début de l'année 1942 et de l'instauration du STO par le régime de Vichy, même si, à partir de cette période, les réseaux de résistance rochelais ont été décimés.



La pêche rochelaise a été lourdement handicapée non seulement par les mesures restrictives imposées à la profession(restrictions de carburant, prélèvements sur les prises) mais aussi par les mines et la destruction de bateaux par la marine allemande et la réquisition de chalutiers transformés en garde-côtes ou en navires de guerre auxiliaires. L'importance stratégique de La Pallice, port en eaux profondes et élément important du Mur de l'Atlantique, incite les Allemands à y implanter des infrastructures militaires(base sous-marine, construction de batteries côtières, mines...) qui seront la cible des bombardements alliés, épargnant cependant miraculeusement la vieille ville. En effet, même si la France n'était plus officiellement en guerre la position géographique de La Rochelle la désignait naturellement comme un objectif militaire.



La Rochelle doit être attractive puisque, avec celui de l'Aunis, elle subit là le septième siège de son histoire mais ce sont des Allemands qui sont retranchés dans la ville rebaptisée « poche »(septembre 1944-mai 1945). Cette ville doit bien être « bénie des dieux » comme a pu le dire plus tard un édile, puisque, malgré sa situation maritime et économique, elle a été épargnée alors que d'autres, dans la même configuration, ont été rasées et ce d'autant plus que sa position de « poche » allemande à la fin d'un conflit dont il n'était pas possible de douter de l'issue, l'exposait à des barouds d'honneur, des règlements de compte et autres débordements qui eussent pu l'endommager durablement. Les troupes allemandes cantonnées à La Rochelle étaient importantes tandis que les résistants (FFI), pourtant peu armés et mal équipés étaient cependant déterminés et combattifs. D'ailleurs, à la fin de la guerre, les Allemands avaient programmé la destruction de la ville mais en aucune façon une reddition et le général de Gaulle lui-même prévoyait qu'une action armée accompagnât la libération de la ville. Il a fallu toute l'humanité et toute la diplomatie du capitaine de Vaisseau Hubert Meyer, du vice-Amiral Ernst Shirlitz et du concours de la Suède pour négocier une trêve, assurer le ravitaillement des Rochelais demeurés dans la ville pour éviter les bombardements alliés comme à Royan, et surtout que cet épisode ne se transforme pas en un bain de sang avec d'inévitables destructions. Par ailleurs, à cette période les Rochelais ont fait preuve de solidarité et de compréhension : la ville était sous administration vichyssoise et allemande mais encerclée par les FFI sur un territoire divisé en zones d'influence, à un moment où la victoire des alliés était en marche. Ce siège, réglementé par une convention pourtant controversée et quasiment secrète, dura six mois relativement paisibles alors que le reste de l'Europe était un vaste champ de bataille. Même si les Allemands étaient craints, ils n'en étaient pas moins considérés, eux aussi, comme des prisonniers. Cette situation un peu surréaliste a donné lieu à des manifestations cocasses où la paix a cependant été privilégiée et sauvegardée. Ainsi, il n'était pas rare que, dans un même lieu, des Miliciens, des Allemands et des Résistants en armes cohabitent sans qu'un seul coup de feu ne soit tiré, le but de chacun étant de gagner du temps. Le 8 mai 1945 la ville fut libérée par des troupes françaises (zouaves et spahis) épaulées par les FFI, sous les yeux d'un occupant, apparemment soulagé, les soldats allemands désarmés étant considérés comme prisonniers de guerre dans des conditions honorables. Ce fut la dernière ville à être libérées(8 mai 1945) sur le territoire.



J'ai découvert ce livre passionnant grâce à Babelio et à Geste Éditions que je remercie chaleureusement. Il m'a permis, à titre personnel, de compléter ma connaissance de l'histoire de cette cité qui m'est chère à plus d'un titre. En effet, quelque soit l'endroit où j'habite temporairement, je me revendique définitivement comme Rochelais.



La ville de La Rochelle a encore une fois mérité son surnom de « belle et rebelle ». Elle a connu au cours de son histoire bien des bouleversements. Cet ouvrage a pour but de ne pas oublier cette période pourtant pas si lointaine et surtout ceux qui se sont sacrifiés et envers qui les générations suivantes ont une dette imprescriptible. Il met en exergue l’héroïsme des Rochelais autant que leur vie quotidienne et les heures sombres qu'ils ont vécu à travers des textes, des photographies et documents d'époque.



©Hervé GAUTIER – Juin 2015 - http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Félix Vallotton : exposition, Lyon, musée des B..

Il s’agit ici d’un catalogue raisonné édité à l’occasion d’une exposition rétrospective de l’œuvre de Félix Vallotton qui fut présentée successivement au Musée des Beaux-Arts de Lyon et au Musée Cantini de Marseille en 2001.



Livre en vérité, « copieux » , qui présente un panorama très richement documenté et illustré du dessinateur, graveur, illustrateur, sculpteur, critique d’art et romancier même que fut Vallotton, artiste passionné et passionnant, peintre virtuose en matière de portraits et de scènes d’intérieurs et orfèvre en gravure.



On connaît de Félix Vallotton une poignée de quelques nus, les plus souvent présentés, telle la « Baigneuse Ciel orageux » ou « Baigneuse de dos », mais pour qui aborde cet artiste, le terme de « singulier » qui désigne le marginal, le bizarre, l’original, autant que l’unique, apparaît très pertinent quand on le découvre comme ici, dans tout son déploiement, quand on approche l’homme généreux, artiste vivant, qui ne faisait pas chou gras de théories qui dessèchent, libre, audacieux, passionné et visionnaire qu’il fut.







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Il était une fois Walt Disney : Aux sources d..

Beau livre sur l'histoire des grands dessins animés Walt Disney. Très intéressant.
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Le génie de Bologne, des Carracci aux Gandolf..

Très bon livre que cet ouvrage qui se consacre aux dessins des grands maîtres de la peinture de Bologne. Il permet de voir de superbes oeuvres dessinées.

Il s'intéresse à l'évolution des dessins en commençant par la famille des Caraches pour terminer par celle des Gandolfi en passant par Guido Reni. on voit les dessins évoluer avec les années et on essaye de voir les particularité de la région de Bologne dans l'oeuvre de ses artistes.

Après un commentaire intéressant au début du livre, on plonge dans les oeuvres par ordre chronologique.

Sur chaque double page on trouve un dessin à droite et à gauche un commentaire qui présente son auteur, commente le dessin et la technique de l'artiste!

L'ensemble est passionnant et très bien fait.

Petit détail j'ai apprécié le papier mat de l'ouvrage qui convient bien aux oeuvres dessinées

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La Rochelle 1939-1945

Je remercie d'abord Babelio et Geste Edition, qui m'on permis de faire cette très belle découverte. La Rochelle 1939/1945 est un ouvrage qui accompagne une exposition, celle du musée des beaux arts de la Rochelle. Je suis une inconditionnelle de cette époque, j'en suis très curieuse et avec cet ouvrage très bien documenté, je me suis régalée. Les photographies accompagnent très bien les textes, qui sont très complets. Ils permettent de bien s'imaginer cette période difficile qu'à été la guerre pour cette région et ses habitants.



La partie que j'ai le plus appréciée reste celle concernant la vie quotidienne des Rochelais pendant la guerre. Les tickets de rationnement, que ce soit pour le tissus, la nourriture, les chaussures... Et ce système D qui a permis aux français rendre leur vie un peu facile, en faisant des manipulations très recherchées pour échapper au restrictions. J'ai fais énormément de découvertes, et j'ai appris pleins de choses. C'est une lecture qui m'a pris pas mal de temps, mais vraiment, cela vaux le coup.



Un très bel hommage à ceux qui on combattus pendant cette guerre, mais également à ceux qui l'on vécu dans l'ombre, les civils.
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Lubin Baugin

Un livre qui permet de découvrir ce peintre du 17e siècle, assez méconnu.
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Un siècle de paysages : Les choix d'un amateur

Livre ...magnifique lu après avoir vu l'expo ...magnifique
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Un siècle de paysages : Les choix d'un amateur

Argumentaire

Catalogue officiel de l’exposition «Un siècle de paysages, Les choix d'un amateur" présentée au musée du 17 juin au 4 octobre 2010. Une histoire du paysage en peinture en France au XIXe siècle avant l’Impressionnisme.
Lien : http://www.editions-hazan.fr..
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Louis Comfort Tiffany : Couleurs et lumière

Envie de rêver au sein de la grisaille hivernale ?



Optez donc pour l'exposition monographique dédiée à ce légendaire créateur américain, peintre et génie de l'art verrier, virtuose de la lumière et de la couleur. Cette exposition, issue d'une étroite collaboration avec Montreal, Richmond et NYC, évoquera certainement à votre esprit ébahi les réalisations de Gallé ainsi que celle de Lalique (exposition sublime de 2007 avec le même scenographe M. Le Gall).



Inspirations issues de l'observation attentive de la faune et de la flore, végétaux et insectes sont autant de sujets. Délicatesse et vivacité des couleurs, maîtrise technique et innovation, jeux d'ombres et de lumière, couleurs, textures, matières... Mosaïques, vases, vitraux (sur le montage de l'expo je vous conseille ce lien), peintures, lampes, objets divers: la quintessence de l'art décoratif, à la renommée duquel LC Tiffany aura très amplement contribué.



Cette exposition est un superbe moment (trop court hélas!) à ne manquer sous aucun prétexte. Pour vous en convaincre je vous invite à jeter un coup d'oeil sur le dossier de presse.



Le catalogue reprend, outre l'histoire de M. Tiffany, les oeuvres exposées et les alimente d'explications techniques et historique. C'est à mon sens un incontournable pour qui a aimé l'exposition - d'autant plus que les photos sont interdites à l'expo...



Liens sur le lab'
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