Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 4 avril 1958
Né(e) à : Paris , le 4 avril 1958
Biographie :
Journaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; nombreuses interventions et formations d’élèves ou d’enseignants pour les dispositifs scolaires), membre du groupe de recherche Ciclaho (« Cinéma classique hollywoodien », université Paris X), auteur ou réalisateur de documentaires sur le cinéma (Le Cinéma britannique aujourd’hui, la tradition des francs-tireurs, Arte, 1997 ; Claude Sautet ou la magie invisible, sélection officielle, Festival de Cannes 2003 ; Le Mystère Egoyan, réal. Alain Mazars, CinéCinémas, 2010 ; Lubitsch, le patron, réal. Jean-Jacques Bernard, CinéCinémas, 2010 ; Bertrand Tavernier, cinéaste de toutes les batailles, France 5, 2010).
Nguyen Trong Binh est membre du comité de rédaction de la revue 'Positif' et ex chroniqueur au magazine 'Zurban'.
Il est également enseignant de cinéma, producteur, réalisateur de documentaires et auteur de livres sur Mankiewicz, Lubitsch, Bergman et sur le cinéma britannique.
Fin connaisseur de l'oeuvre de Marcel Carné, il a écrit, en collaboration avec le cinéaste Jean Pierre Jeunet, les magiciens du cinéma, un hommage au ciné de Carnet et de Prévert.
Il est critique à la revue Positif (sous la plume de Yann Tobin) depuis 1979.
+ Voir plusJournaliste, critique, enseignant de cinéma (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; nombreuses interventions et formations d’élèves ou d’enseignants pour les dispositifs scolaires), membre du groupe de recherche Ciclaho (« Cinéma classique hollywoodien », université Paris X), auteur ou réalisateur de documentaires sur le cinéma (Le Cinéma britannique aujourd’hui, la tradition des francs-tireurs, Arte, 1997 ; Claude Sautet ou la magie invisible, sélection officielle, Festival de Cannes 2003 ; Le Mystère Egoyan, réal. Alain Mazars, CinéCinémas, 2010 ; Lubitsch, le patron, réal. Jean-Jacques Bernard, CinéCinémas, 2010 ; Bertrand Tavernier, cinéaste de toutes les batailles, France 5, 2010).
Nguyen Trong Binh est membre du comité de rédaction de la revue 'Positif' et ex chroniqueur au magazine 'Zurban'.
Il est également enseignant de cinéma, producteur, réalisateur de documentaires et auteur de livres sur Mankiewicz, Lubitsch, Bergman et sur le cinéma britannique.
Fin connaisseur de l'oeuvre de Marcel Carné, il a écrit, en collaboration avec le cinéaste Jean Pierre Jeunet, les magiciens du cinéma, un hommage au ciné de Carnet et de Prévert.
Il est critique à la revue Positif (sous la plume de Yann Tobin) depuis 1979.
Source : revuesdecinema.net
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Conférence "Le Cinéma d'Ernst Lubitsch" par N.T. Binh, critique de cinéma, le jeudi 25 novembre 2010 (extrait)
Citations et extraits (10)
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"mais le film est déjà une musique», ( Stephen Frears)
Dans son autobiographie, La Vie à belles dents, Marcel Carné tient les propos suivants : "On parle mal de l'amitié. Contrairement à l'amour, c'est un sentiment pudique, qu'on cache souvent au plus profond de soi, et qui ne peut s'exprimer qu’en actes. [...] On chante, on magnifie l'amour ; l'amitié jamais ou rarement. On peut conjuguer le verbe aimer à tous les temps. Pour l'amitié, il n'existe pas de verbe, et c'est sans doute mieux ainsi."
- Oh vous pouvez pas savoir comme je suis bien avec vous ! Je respire, je suis vivante ! Ça doit être comme ça quand on est heureux !
- Tout ce que tu dis ça tient pas en l'air, tu dirais ça à un autre que moi, je trouverais ça idiot, mais... que tu me le dises comme ça à moi ben... c'est marrant ça me fait plaisir !... T'as de beaux yeux, tu sais !
- Embrassez-moi... Embrasse-moi encore.
- Tout ce que tu dis ça tient pas en l'air, tu dirais ça à un autre que moi, je trouverais ça idiot, mais... que tu me le dises comme ça à moi ben... c'est marrant ça me fait plaisir !... T'as de beaux yeux, tu sais !
- Embrassez-moi... Embrasse-moi encore.
Où il est question de l'amour fou, dans toute sa force, sa beauté et parfois de son impossibilité à durer sur terre, mais aussi de l'amitié avec la solidarité qu'elle suscite. Et bien sur l'amour du cinéma et des oeuvres qu'il fait naitre.
En tout cas, ce qui est intéressant, c'est cette espèce de sous-histoire que la musique peut raconter, comme si l'histoire qu’on suit en premier plan était doublé par une autre histoire, qui est beaucoup plus en rapport avec ce qu'on appelle l'inconscient. C'est le rapport du manifeste et du latent. (Benoit Jacquot)
Les films de Carné-Prévert m’ont nourri, façonné.
A mon avis, si possible, la musique doit vous dire quelque chose que vous ne savez pas encore, qu'on ne peut pas deviner en regardant uniquement les images. (Carter Burwell)
Je trouve, au contraire qu'une bonne musique de film doit s'entendre, qu'elle doit perdurer en dehors du film. (Vladimir Cosma).
Être interprète, c'est délicieux, c'est merveilleux, c'est enfantin, on se met dans les bras de quelqu'un qui est le metteur en scène: Est-ce-que je suis bien ? Est-ce que je te plais ?
Être cinéaste n'a rien à voir avec cela: on se reprend soi-même et on donne aux autres
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