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Citations de N. H. Kleinbaum (164)


L'Homme n'est jamais aussi libre que quand il rêve (...) ce fut, est et restera la vérité.
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Comment nous défaire des préjugés, des coutumes, des influences de toutes sortes ? La réponse, jeunes et tendres pousses, est qu'il faut sans cesse s'efforcer de changer de point de vue.
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Et ne restreignez pas la poésie au seul langage. La poésie est présente dans la musique, dans la photographie, voir dans l’art culinaire-partout où il s’agit de percer l’opacité des choses pour en faire jaillir l’essence à vos yeux. Partout où ce qui est en jeu, ‘est la révélation du monde. La poésie peut se cacher dans les objets ou dans les actions les plus quotidiens mais elle ne doit jamais, jamais, être ordinaire.
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Messieurs, nous portons tous en nous ce désir d'être accepté; mais tâchez d'encourager ce que vous portez d'unique ou de différent, même si vous devez pour cela vous faire taxer d'excentrique. Je cite Frost: "Deux routes se sont offertes à moi; j'ai choisi la moins fréquentée et ça a fait toute la différence."
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On écrit et on lit de la poésie parce que les hommes sont des êtres de passion. La médecine, le droit, le commerce, sont de nobles activités, toutes nécessaires à nous maintenir en vie. Mais la poésie, l'amour, la beauté, l'aventure ? Voilà notre raison de vivre.
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en dépit de tout ce qu'on a pu vous dire, les mots et les idées ont le pouvoir de changer le monde!
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Le Cercle des Poètes Disparus était une société dont les membres se fixaient pour objectif de sucer toute la moelle de la vie. C'est par cette expression de Thoreau que nous ouvrions la séance. Nous étions une poignée à nous réunir dans la vieille grotte indienne et, chacun à notre tour, nous lisions Shelley, Thoreau, Whitman - ou nos propres vers - et, dans l'enchantement du moment, ces poètes exerçaient leur magie sur nous.
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« 𝑪𝒖𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒛 𝒅𝒆̀𝒔 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒐𝒔𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒆
𝑪𝒂𝒓 𝒍𝒆 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒋𝒂𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒏𝒆 𝒔𝒖𝒔𝒑𝒆𝒏𝒅 𝒔𝒐𝒏 𝒗𝒐𝒍
𝑬𝒕 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒇𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒒𝒖𝒊 𝒔’𝒆́𝒑𝒂𝒏𝒐𝒖𝒊𝒕 𝒂𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒅’𝒉𝒖𝒊
𝑫𝒆𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒔𝒆𝒓𝒂 𝒇𝒍𝒆́𝒕𝒓𝒊𝒆. »

Il s’arrêta.

- Cueillez dès maintenant les roses de la vie, répéta Keating. (...) Quelqu’un sait ce que ça veut dire ?

Il marqua une longue pause. Le silence régnait dans la galerie [...]

- 𝓒𝓪𝓻𝓹𝓮 𝓭𝓲𝓮𝓶, murmura Keating d’une voix d’outre-tombe. Profitez du jour présent. Que vos vies soient « extraordinaires ».
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On écrit et on lit de la poésie non pas parce que c’est joli, mais parce qu’on fait partie de l’humanité.

On écrit et on lit de la poésie parce que les hommes sont des êtres de passion.

La médecine, le droit, le commerce, sont de nobles activités, toutes nécessaires à nous maintenir en vie.

Mais la poésie, l’amour, la beauté, l’aventure ? Voilà notre raison de vivre.

- Mr. Keating -
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C'est dans ses rêves que l'homme trouve la liberté. Cela fut, est et restera la vérité.
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On écrit et on lit de la poésie non pas parce que c'est joli, mai parce qu'on fait partie de l'humanité. On écrit et on lit de la poésie parce que les hommes sont des êtres de passion. La médecine, le droit, le commerce, sont de nobles activités, toutes nécessaires à nous maintenir en vie. Mais la poésie, l'amour, la beauté, l'aventure ? Voilà notre raison de vivre.
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Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
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"Carpe Diem"!
Cueille les moments d'aujourd'hui sans te soucier du lendemain!!
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- Ô Capitaine ! Mon Capitaine !
La voix soudain claire et affirmée de Todd venait de résonner dans la salle. Tous les regards convergèrent vers l'adolescent. Lentement, avec assurance, Todd mit un pied sur sa chaise et grimpa sur son pupitre. Ravalant ses larmes, il s'y tint immobile, saluant ainsi son professeur.
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NDL : Robin Williams jouait (RIP ) tellement bien cette scène :


-- Non, mon jeune ami, vous n'y êtes pas. je suis monté sur ce bureau pour me rappeler que nous devons constamment modifier le regard que nous portons sur le monde. Car le monde est différent vu d'ici. Vous ne me croyez pas ? Alors levez-vous et venez essayer. Allez, vous tous… Chacun son tour.
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Et je vis le Congo, serpentin de moire, traversant la forêt dans un éclair noir
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- Un yawp, pour ceux d'entre vous qui l'ignorerait, c'est un cri retentissant. Todd, j'aimerais que vous nous donniez un exemple de yawp barbare.
- Un yawp ?répéta Todd avec un filet de voix presque imperceptible.
- Barbare, monsieur Andersob.
- Yawp.
Keating se précipita sur l'adolescent, le faisant sursauter.
- Allons, criez !
- Yawp !
- C'est un miaou, ça ! Plus fort !
- YAWP !
- PLUS FORT !
- AAAAHHHHHHH, hurla Todd, exaspéré.
- Eh bien, voilà, on y est, Anderson. Il y a un barbare qui dort en vous.
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-- Vous faites erreur, Georges ; il ne s'agit pas d'en faire des artistes ; je veux forger des esprits libres.
McAllister fit mine d'éclater de rire.
-- Des philosophes à dix-sept ans !
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Mr. Keating se leva enfin, lentement [...]

Avec une souplesse inattendue, il bondit sur son bureau.

- Ô Capitaine ! Mon Capitaine ! déclama-t-il d’une voix puissante. Qui sait d’où ce vers est tiré ? Allons, personne ?

Son regard perçant allait de l’un à l’autre des garçons. Aucune main se leva.

- Et bien (...) ce vers a été écrit par un certain Walt Whitman en l’honneur d’Abraham Lincoln. Dans cette classe, vous pourrez m’appeler monsieur Keating ou, si vous êtes un tantinet plus hardis, « Ô Capitaine, mon Capitaine ! ».
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...Je suis monté sur ce bureau pour me rappeler que nous devons constamment modifier le regard que nous portons sur le monde. Car le monde est différent vu d'ici...
Si vous avez une certitude,..., alors obligez-vous à considérer le problème sous un angle différent, même si cela paraît idiot ou absurde. Quand vous lisez, ne vous limitez pas à ce que dit l'auteur, mais tâchez d'analyser ce que vous ressentez. (77)
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