Fu Zai [...] rapporte qu'un jour Zhang se rendit à un banquet sans y avoir été convié. Demandant brusquement de la soie neuve à l'hôte, il déploya son art extraordinaire devant vingt-quatre invités : " Au beau milieu de la pièce, il s'assit, les jambes étendues, respira profondément, et son inspiration commença à jaillir. L'assistance était aussi médusée que si des éclairs avaient zébré le ciel ou qu'une tornade s'y fût déchaînée. Ravageant la soie, s'étirant, s'étalant dans toutes les directions, l'encre semblait fuser de son pinceau ailé. Il frappa dans ses mains avec un bruit de craquement. Se divisant et s'assemblant, d'étranges formes naquirent soudain. Lorsqu'il eut fini, se dressaient des pins, squameux et fendus, des escarpements abrupts et des précipices, des cours d'eau clairs et des nuages tourmentés. Il jeta son pinceau, se releva, lança un regard circulaire. "
Andreas de Perusia, évêque franciscain de Quanzhu (Fujian), se plaint auprès de son supérieur à Rome de n'avoir pas enregistré une seule conversion de juif.
(Pour info 1326)
Ils adorent le créateur du ciel et de la terre et ils l'appellent Tien, Xam ti, Xiam Tien etc. [respectivement, le ciel, le souverain d'en haut, et le souverain ciel].
P.60 : les deux hommes se plurent d’emblée, car, comme dit le proverbe ; Quand tu pues plus fort que ton voisin, tu trouves toujours qu’il a pas d’odeur.