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Citations de Nalini Singh (336)


- tu étais consternante lorsqu’il s'agissait d'obéir à mes ordres. (c'était un rappel froid.) J'ai alors pensé que tu étais la créature la plus fascinante que j'avais jamais rencontrée.
- Ce n'est pas vrai. (elle pointa un couteau étincelant dans sa direction avant de le caser dans une gaine étroite attachée à son pantalon ajusté en cuir noir, ses vêtements dessinés pour réduire la prise d'air en vol.) Tu as pensé que j'étais une nuisance et que tu ferais bien de me balancer du toit de ton immeuble afin de m'apprendre les bonnes manières. (Il s'était finalement contenté de lui faire fermer la main sur une lame, son sang gouttant pour venir tacher le toit. Il lui avait paru si terrifiant qu'elle n'avait vu aucun signe d'humanité en lui.) Tu t'es conduit comme un beau salaud, si tu veux tout savoir.
Les lèvres de Raphael s'incurvèrent en un sourire. Il attrapa la longue et mince lame qu'elle portait cachée dans le dos, glissée dans une gaine cousue à son haut noir à manches longues, le tissu suffisamment solide pour répondre aux exigences de la vie de chasseuse.
- Toi, dit-il en rangeant l'arme à sa place lorsqu'elle se tourna, tu es le seul être vivant qui oserait jamais me dire une chose pareille en face.

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— J'éprouve de tels sentiments pour lui, murmura-t-elle, que cela me terrifie.
— Bien, dit Elena en lui donnant un petit coup d'épaule. Tu n'aurais jamais pu rejoindre notre club sinon.
Elle cilla en entendant ce commentaire étonnant.
— Quoi ?
— Celui des filles assez timbrées pour tomber amoureuses des mauvais garçons que les femmes les plus sensées fuient en hurlant. Tu as maintenant remplacé Honor en tant que petite nouvelle au club. (Elena lui adressa un grand sourire.) Je t'apprendrai la poignée de main secrète.
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— Ne t énerve pas contre moi, Archange. (Elle glissa contre lui pour aller ouvrir une des fermetures éclair sur le côté du sac dans lequel elle avait transporté ses armes. Elle en sortit une petite boîte.) J'ai moi aussi un cadeau pour toi.
Le plaisir que cette surprise lui faisait éprouver déploya ses ailes en lui. On lui avait offert beaucoup, beaucoup de choses au cours des siècles. Mais la plupart ne voulaient rien dire. Les mortels, tout comme les Immortels, le courtisaient pour le pouvoir, le prestige, pour un gain important ou pas.
—L'as-tu acheté au Refuge ?
—Non.
—Alors, comment te l'es-tu procuré ?
—J'ai mes méthodes.
Elle vint se placer devant lui et ouvrit la boîte pour en retirer une bague. Une bague sertie d'ambre.
— Tu es, déclara-t-elle en faisant glisser la bague au doigt approprié de sa main gauche, bel et bien lié.
Le cœur de Raphaël se serra d'une manière qu'il n'avait jamais éprouvée jusque-là. Il leva la bague jusqu'à ses yeux. L'alliance était de platine, épais et solide, l'ambre de la taille d'un imposant carré poli. Mais elle était sombre, l'ambre la plus sombre qu'il eût jamais vue... avec un cœur d'une pure blancheur. Intrigué, il retira la bague pour la porter à la lumière. Les couleurs en changeaient constamment, mainte-
nant sombres, puis claires. Ce fut alors qu'il la vit. L'inscription à l'intérieur. Knhebek.
Il avait vécu au Maghreb un moment, voyagé à travers le Maroc avant de devenir un Archange. Il avait entendu des jeunes passionnés murmurer ce mot à des beautés rougissantes aux yeux sombres.
Je t'aime. Sa poitrine se serra encore plus, devenant plus douloureuse. Remettant la bague à son doigt, il dit :
— Shokran.
Le visage d'Elena s'éclaira en un sourire ravi.
— De rien.
—Tu parles la langue de ta grand-mère ? Il ferma son poing, éprouvant pour la première
fois depuis des siècles un sentiment de possessivité envers un objet.
—Je ne connais que quelques mots que ma mère avait l'habitude d'utiliser. (Un sourire,
cette fois-ci empli de souvenirs heureux.) Elle mêlait en permanence l'arabe, le français comme on le parle à Paris, et l'anglais...
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— Pour la défense de Krychek, marmonna le chef des SnowDancer, je dois dire qu’il a les couilles d’un éléphant.
Mercy recracha son café en toussant, les larmes aux yeux.
— Un éléphant ? (Elle dévisagea le chef des SnowDancer tandis que son compagnon, Riley, lui frottait le dos.) Tu es sérieux ?
Hawke haussa les épaules.
— Qu’est-ce qui en a de plus grosses ?
— Il n’a pas tort, dit Lucas d’une voix traînante à côté de Sascha.
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- Ton animal de compagnie a des crocs, Elena.
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- J'ai faim, Elena. Ne me pousse pas à revenir sur ma parole donnée à Raphaël.
- Tu ne le ferais pas.
- Provoque-moi et cela arrivera. Je serais puni, mais tu resteras morte.
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- Je n'ai aucun désir d'être votre os à mâchouiller.
[...]
- Si je devais vous écarter les jambes sur mon bureau et enfoncer mes doigts en vous, là, maintenant, je pense que je trouverais preuve d'une réponse différente.
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- Et si j'échoue?
- N'échouez pas, Elena.
Son regard était doux, mais son sourire exprimait des choses qu'il valait mieux taire.
- Vous m'intriguez. Je détesterais avoir à vous punir.
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Riaz marmonna une brève repartie en espagnol qui fit rire Matthias, mais Adria n’entendit que les battements frénétiques de son cœur qui cognait en rythme avec le sien quand il la prit dans ses bras. Trop vite, pour lui comme pour elle, et leur peau était trop chaude.
— Pourquoi fais-tu ça ? chuchota-t-elle, la gorge à vif.
Riaz répondit comme si on lui arrachait les mots de la bouche.
— Je ne peux pas m’en empêcher.
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Riaz marmonna une brève repartie en espagnol qui fit rire Matthias, mais Adria n’entendit que les battements frénétiques de son cœur qui cognait en rythme avec le sien quand il la prit dans ses bras. Trop vite, pour lui comme pour elle, et leur peau était trop chaude.
— Pourquoi fais-tu ça ? chuchota-t-elle, la gorge à vif.
Riaz répondit comme si on lui arrachait les mots de la bouche.
— Je ne peux pas m’en empêcher.
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Et si ce dernier s'avérait être celui qui avait blessé Sam, Raphaël prendrait même un plaisir plus grand à le tailler en pièces, morceau par morceau, le laissant en vie pour qu'il puisse sentir chaque brûlure, chaque brisure, chaque brutale coupure.
Parce que si les anges étaient des prédateurs, les Archanges étaient placés au plus haut de la chaîne alimentaire.
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- Quelle surprise de te voir, ma chère, déclara Janvier de sa voix traînante, la main posée sur l'encadrement de la porte de son appartement de Louisiane. Pour autant que je sache, personne n'a jamais mis ma tête à prix.
- Je ne suis pas une tueuse.
Croisant les bras sur sa poitrine, Ashwini s'appuya contre le mur d'en face - encore ensommeillée et à demi vêtu, Janvier était délicieusement sexy. Il était aussi un vampire âgé de deux cent quarante-cinq ans, capable de lui trancher la gorge sans que cela lui demande trop d'efforts.
- Même si, te connaissant, il vaudrait sans doute mieux que j'en sois une, reprit la jeune femme.
Un lent sourire vint étendre les lèvres du vampire.
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Il ne dit pas un mot, n’émit pas le moindre son, mais la première personne qui le vit donna aussitôt un coup de coude à une autre. Un silence de mort s’abattit sur le club en moins de trente secondes, au moment même où José coupait la musique.
Nicki se laissa glisser du bar dans les bras de Jason.
— Bonne chance, souffla-t-elle à Sienna avant de se fondre dans le groupe de jeunes de DarkRiver, en retrait dans un coin.
Arrivé au bar, Hawke leva la tête. C’était le loup qui la regardait, et le loup qui dit :
— Épaule ou pieds ?
Elle déglutit.
— Pieds.
— Bon choix.
Il ne s’écarta pas lorsqu’elle s’assit et descendit du bar. La chaleur agressive du corps de Hawke se déversa contre sa peau nue.
Soudain, le haut corseté qu’elle avait acheté seule après la fameuse virée shopping avec Nicki ne lui semblait plus une si bonne idée. Elle avait l’impression de ne rien porter, entre ses épaules nues, ses seins qui pigeonnaient et son ventre exposé du nombril jusqu’à la ceinture de son jean taille basse. Elle avait le souffle court, et c’était comme si elle lui offrait sa poitrine à chaque inspiration.
Sans faire le moindre commentaire sur sa tenue, Hawke plaça la main au creux de ses reins et la conduisit à la porte.
Elle faillit y aller.


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"- Si tu oses partir avant moi, je te hanterai dans l'autre monde.
-vEtre hantée par mon coeur de me fait pas peur."
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— Quoi ? Riaz est nul au lit ? lâcha-t-il sèchement.
— C’est une proposition ? demanda-t-elle d’une voix mielleuse avant d’enserrer son érection puissante entre ses cuisses.
Cette sensation… L’estomac d’Indigo se noua et sa peau s’embrasa sous l’effet d’une chaleur soudaine qui n’était nullement due au feu à sa gauche.
Drew avait l’air furieux lorsqu’il répondit.
— Vu que je n’ai aucune intention d’être ton lot de consolation, non, ce n’est pas une proposition.
Indigo décroisa les bras et se pencha pour appuyer les paumes de chaque côté de sa tête. Drew se laissa retomber sur le dos et referma les mains sur ses hanches.
— Qu’est-ce que tu fabriques ? siffla-t-il entre ses dents.
Malgré l’épaisseur de tissu, Indigo eut l’impression que Drew marquait sa peau au fer rouge.


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"Lorsque le Tk-Psi apparut soudainement devant Ashaya pour lui tirer dessus, ce fut Dorian qui intercepta la balle... qui lui trancha la carotide."
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- Ellie? (La voix de Sara semblait venir de la lune.) Où es-tu?
- Approximativement à mi-chemin de Boston, répondit-elle, puis elle alla droit au but. Pourquoi m’as-tu mise sur l’affaire?
Elle n’était pas mécontente de retourner sur le terrain, mais la Guilde avait bon nombre de chasseurs à sa disposition.
La voix de Sara disparut pendant une seconde, puis revint…
- … partout. Nous avons besoin de tout le monde.
- Quoi? (Elena monta le volume de ses écouteurs) Répète-moi ça?
- Des vampires brisant leurs Contrats de toute part, dit à nouveau Sara. C’est un étrange…
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Depuis qu'ils avaient atterri, tous les villageois en haillons qui se trouvaient à proximité s'étaient prosternés à leurs pieds, leurs visages collés au sol et leurs paumes jointes en une position de supplication qui dérangea profondément Titus.
Il gouvernait d'une main de fer, mais il n'avait jamais cherché à émasculer ou à humilier qui que ce soit, car ces gens étaient des mères et des pères, des Anciens et des guérisseurs avec leur fierté et leur dignité. Ceux qui étaient couchés devant lui, cependant, n'étaient pas comme son peuple… même s'ils dépendaient de lui désormais.
Charisemnon, se rappela-t-il, avait réussi à convaincre ses sujets qu'en prenant leurs jeunes filles dans son lit, il leur faisait un grand honneur. Que cela n'avait rien d'une perversion. Ce souvenir révulsa Titus et sa voix fut dure lorsqu'il leur cria :
- Relevez-vous ! Je souhaite m'adresser à vos visages, pas à vos culs !
Des gémissements terrorisés montèrent jusqu'à lui, mais plusieurs villageois se mirent debout sur des jambes flageolantes. Quelques-uns, au moins, avaient un peu de cran ! À côté de lui, Sharine était aussi raide qu'une barre de fer. Elle lui réservait des paroles acerbes, cela ne faisait aucun doute, mais pour l'instant ils n'étaient pas seuls et tout cela dépassait le ridicule.
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- Je préfère le franc-parler. Les émotions subtiles sont plus difficiles à interpréter pour moi.
L'autre femme rit à gorge déployée.
- Enc ce cas, tu as bien choisi ton homme. Le jour où il fera dans le subtil, ce sera peut-être la fin du monde.
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— Je suis un peu empotée au lit.
Gabriel posa son verre de vin puis esquissa lentement ce sourire canaille qui mettait invariablement son entrejambe en émoi – s’il lui avait demandé à cet instant de passer le test de la culotte, elle aurait échoué lamentablement.
— Mademoiselle Baird, on ne naît pas « bon coup », expliqua-t-il d’une voix enjôleuse. On le devient à deux, et vous savez que j’aime le collectif.
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