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Critiques de Naoya Matsumoto (172)
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Kaiju n°8, tome 1

La Japon est le pays où les kaijus, d'énormes et terribles monstres, apparaissent le plus souvent. Pour lutter contre ces fléaux, des unités de force de défense ont été mises en place, composées de soldats ultra entraînés. Intégrer ces unités d'élites a toujours été le rêve de Kafka Hibino mais après plusieurs échecs, il s'est résolu à devenir nettoyeur, débarrassant les rues de la ville des cadavres de kaiju. Lorsqu'une nouvelle recrue, Reno Ichikawa, arrive dans son équipe et surtout lorsqu'un événement totalement improbable se passe, Kafka se lance à nouveau dans la compétition pour combattre ces terribles monstres.



"Kaiju n°8" est un excellent shonen où action et humour accrochent très vite le lecteur. Si les ficelles sont toujours les mêmes, le duo comique formé par Kafka et Reno fonctionne à merveille, nous offrant des passages vraiment drôles. Les personnages féminins qui les entourent ne sont pas en reste, révélant du charisme et extrêmement badass. Petit coup de coeur pour Kafka, un anti-héros déjà vieux - 32 ans ! -, désabusé par la vie mais qui nous réserve encore bien des surprises. le graphisme sert bien l'histoire - pas trop de détails - tout est très lisible et fluide - pas besoin d'une loupe pour lire les dialogues. Bref, "Kaiju n°8" est un shonen plein d'humour, d'action, avec des personnages très sympas.



Voici un premier volume qui pose très bien les bases et qui est prometteur pour la suite. Vraiment un très bon moment de lecture.

A suivre !
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Kaiju n°8, tome 1

Désolé si ma notation peut sembler un peu sévère mais je ne suis pas un habitué des mangas - à part ceux de l'illustre Jirô Taniguchi. Je n'ai pas une grosse expérience du genre et manque donc de sérieuses références. J'ai quand même tenté d'évaluer l'œuvre de façon détachée, avec du recul et en prenant compte de plusieurs paramètres.



C'est une très bonne surprise !

Le titre et la couverture sont accrocheurs, même pour un novice. Si je suis entré dans l'histoire comme un chat à qui on ouvre la porte alors qu'il fait froid et qu'il pleut dehors (vous voyez un peu l'image…), j'ai été très vite entrainé et conquis par cette histoire à laquelle j'ai trouvé finalement beaucoup d'intérêt.



Il s'agit (je le découvre) d'un shōnen, c'est-à-dire d'un genre de manga qui décrit la quête initiatique d'un ou de plusieurs personnages et concerne des valeurs telles que l'amitié, le goût de l'effort, l'esprit de groupe, le dépassement de soi...

KAIJU N°8 démarre donc sur les chapeaux de roues ; Kafka Hibino, la trentaine, célibataire, sympa mais dans le genre looser, souhaitait quand il était gosse intégrer le groupe très fermé des Forces de Défense afin de combattre les sinistres kaijūs.

Avant que je ne perde les non-initiés, les kaijūs sont d'étranges créatures, grandes - voir colossales - et hostiles la plupart du temps. En bref, ce sont des monstres assez peu subtils et fort dangereux (rappelez-vous certains épisodes de San Ku Kaï).

Mais là, j'ai sans doute perdu les plus jeunes... Gottferdom !



Notre plaisant Kafka a donc raté plusieurs fois de suite - et pas que d'un peu - l'examen d'entrée permettant d'incorporer les troupes d'élite ; dépité, il a rejoint les équipes de « démembreurs-fossoyeurs » chargées de nettoyer les rues des encombrants cadavres de kaijūs une fois ceux-ci éliminés par les Forts-en-thème.

Nettoyeur est un boulot très utile, certes, mais beaucoup moins prestigieux. Un peu si on était le mécanicien de Tanguy et Laverdure…

Lors d'une mission particulièrement pénible, un virus ou une chose en profite pour pénétrer son organisme et le contaminer. Il devient alors… : “Kaijū n° 8” se métamorphosant en une entité surpuissante moitié humaine et moitié kaijū.

Certes beaucoup moins beau, il reste fidèle en amitié et tendre comme un nounours au chocolat sans pour autant perdre de vue son objectif premier : devenir membre des Forces Défense.



Ceci n'est pas sans rappeler l'histoire de Bruce Banner (l'incroyable Hulk) qui n'est rien d'autre que l'adaptation moderne de Dr Jekyll & Mr Hyde avec en prime une once du mythe de Frankenstein. Là-dessus se greffent de nombreux thèmes ; sortir de l'adolescence, oser parler à la fille qu'on aime, faire preuve de courage, devenir soi-même…



Mais tout ceci pose un bon gros problème : « Comment échapper à la vindicte populaire quand on est gros, laid et qu'on a l'air méchant ? »



La solution est : Se cacher… ou bien affronter l'ennemi !

Et si possible en sauvant la belle.
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Kaiju n°8, tome 1

Un manga correct de la part d'un mangaka qui a bien bossé "Le Guide et les Principes d'une Bonne Bande Dessinée"... OK, ce guide n'existe pas mais il pourrait.



On a d'abord un univers SF dans un Japon pas trop éloigné de nous. Des monstres dont on ne sait rien tout du long du manga, et c'est un point faible en ce qui me concerne, surgissent de n'importe où et sont dégommés par une unité spéciale. Puis les restes éparpillés façon puzzle (merci Michel) sont nettoyés par le service de nettoyage ad hoc. Voilà la base.



Les petits ajouts font toute la différence. Merci au Guide et aux Principes... on a Kafka Hibino qui se trouve dans l'équipe de nettoyage parce qu'il a raté son admission dans l'unité spéciale anti-Kaiju. Mais dans cette équipe, on a sa meilleure amie d'enfance. Et voilà-t-il pas qu'un nouveau se pointe dans l'équipe de nettoyage, et qu'il rebooste Kafka (pas l'écrivain...) pour qu'il postule à nouveau dans l'unité spéciale, "car maintenant on peut jusqu'à 32 ans" et Kafka a presque 32 ans.



Ajoutons que ces deux gaillards se sauvent mutuellement la vie. Et que Kafka traîne une malédiction maousse... je n'en dis pas plus. Et aussi que subitement des Kaijus et leurs monstres associés se relèvent alors qu'ils sont mourrus... Tout cela en un volume. Mazette !



Dessin très correct, voire mieux que correct. Scénario intéressant, mais dans lequel on va à la facilité (aaaah, ces fameux Principes...).
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Kaiju n°8, tome 1

J’ai beaucoup entendu parler de ce manga, et ayant adoré l’œuvre précédente du mangaka, "Pochi & Kuro", je ne pouvais qu’être impatiente de découvrir ce titre.

Et c’est un coup de cœur ! On retrouve tous les codes d’un bon shônen : un héros qui commence en étant dans la moyenne mais qui devient de plus en plus fort ; des personnages secondaires sympathiques (et souvent forts) avec un bon background (j’adore Hoshina !) ; de l’action et du mystère ; des méchants psychopathes… Tout ce que j’aime ! De plus, j’adore l’univers des Kaiju, ces créatures étranges et souvent géantes (Godzilla est le plus connu). Notre héros est ici un demi-Kaiju et on se demande bien comment il va réussir à garder son secret tout en étant dans les forces de défense qui combattent les Kaiju.

J'ai adoré les personnages créés par Naoya Matsumoto ! On ne s'intéresse pas seulement au personnage principal, Kafka, puisque le mangaka met aussi l'accent sur ses personnages secondaires. J'ai hâte d'en découvrir d'autres !

Et puis, je dois dire que depuis "Pochi & Kuro", je suis fan du trait de crayon de Naoya Matsumoto, ainsi que de sa plume. J'ai ici retrouvé la profondeur et l'humour qui m'avait tant plu dans son précédent manga.



J'ai dévoré les 4 premiers tomes, et j'attends la suite avec impatience !
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Kaiju n°8, tome 1

Si il y a bien une sortie que j’attendais avec impatience en cette fin d’année c’est bien celle ci. J’étais tellement hypé et j’attendais ce jour avec tellement d’impatience! Je ne vais pas vous cacher que je me suis jeté dessus. Encore plus en voyant les premiers avis qui commençait à tomber petit à petit, ils étaient tous plus que positif et il me tardait vraiment de découvrir tout ça! Et bien je peux vous dire que mes attentes ont été comblée à la perfection. C’était long à arriver mais si vite dévoré. J’ai déjà plus que hâte de découvrir la suite de ce manga. Je rejoins tous les avis que j’ai pu voir, ce manga est absolument géniallisime!



On se retrouve dans un monde où les kaiju font désormais parti du quotidien des japonais. Ce sont d’effroyables monstres surgissant de nulle part qui attaque la population. Kafka a toujours rêvé; depuis l’enfance, de faire partie des Forces de Défense pour combattre ces kaiju mais après de nombreux échecs à l’examen d’entrée, il finit nettoyeur, il nettoie les rues des kaijus mort. Sauf qu’un jour, une mystérieuse créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humaine mi-kaiju. Son nom de code: Kaiju N°8!



Qu’est ce que j’ai aimé ce manga! Clairement pour moi c’est un véritable chef d’oeuvre. Cette série a de belles heures devant elle et il me tarde déjà tellement de découvrir les tomes suivants. Alors que sur le papier tout nous laisse croire à une histoire très classique, ce manga est une véritable bombe en réalité! Une fois la dernière page tournée, on comprend tellement mieux ce succès dingue qu’il a au Japon! Je suis tellement ravie qu’il débarque en France on peut enfin découvrir cette merveille.



L’univers dans lequel les personnages évolue est tout bonnement génial. Complètement fou. C’est tellement addictif et on se prend une énorme claque avec les dessins du mangaka. Chaque page est une véritable merveille pour nos yeux. Les combats sont vraiment incroyables à regarder et on en prend vraiment plein les yeux. De plus c’est un manga bourré d’humour qui fait du bien. Je ne doute pas un seul instant que la suite va être tout autant excellente. Le personnage principal à 32 ans, pour une fois on ne suit pas un adolescent dans un shônen et il faut dire que ça fait du bien haha. Kafka est vraiment hyper drôle à suivre et je sens que je vais encore plus adorer ce personnage par la suite.



Carton plein pour ce premier tome qui est d’une efficacité incroyable. C’est drôle, c’est hyper addictif, c’est excellent à lire, les personnages sont hyper intéressants à suivre, l’univers est top. Je n’ai vraiment rien à redire sur ce manga dont on attendait avec grande impatience l’arrivée en France. Et cette fin mais cette fin! Oh comme j’ai hâte d’avoir le second tome dans les mains! Je pense très sincèrement que le succès de ce manga sera au rdv, ce premier tome nous le prouve tant il est dingue!
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Pochi & Kuro, tome 1

Voici un nouveau titre qui va paraitre le 05 juillet aux éditions Kazé. Le même jour vont sortir les deux premiers tomes, puis le tome trois sortira le 13 septembre et le quatrième le 15 novembre. La série est terminée au Japon avec quatre tomes.



L’histoire est assez simple, puisque nous nous retrouvons plongés dans le monde des démons dans lequel nous suivons deux gars un peu paumés, un peu loosers, qui pêchent leur diner, un soir comme un autre. Mais à leur plus grande surprise, ils vont pêcher une humaine, qui est le plat ultime au royaume des démons.



Je vous avouerais qu’avant de commencer cette lecture, j’étais sceptique. Il y a des titres comme ça, qu’on n’ose pas tenter, sur lesquels on se dit que ça va être trop décalé pour nous, qu’on est pas vraiment le public visé. Pour ma part, cela m’arrive assez souvent vu que je teste un bon paquet de titres mais je fait souvent de bonnes surprises.



Et bien là, avec Pochi & Kuro, j’ai vraiment été agréablement surpris. Le titre démarre immédiatement, pas de temps mort. On rentre dans le vif du sujet tout de suite et en un chapitre on adhère déjà au trois personnages de départ (Kuro et Leo, les deux démons, ainsi que Pochi, l’humaine).



L’humour est omniprésent, et il est habilement servi par l’incompréhension du langage entre l’humaine et les démons. Il y a bien des bulles de dialogues pour la pauvre Pochi, mais on ne la comprend pas. (les bulles sont remplies de croix, de rond etc..) Du coup, pour dialoguer avec les démons, elle est très inventive et gesticule beaucoup, ce qui donne un dynamisme et un rythme au manga. Mais n’ayez crainte, même si l’humaine de parle pas vraiment, on comprend tout, c’est super bien fichu à ce niveau.



Et c’est d’ailleurs cette incompréhension entre eux qui va faire que les deux démons ne vont pas manger Pochi. Elle va leur préparer les meilleurs plats de leur vie, et ils vont décider de la garder avec eux, la cachant des autres démons qui eux sont moins sympas. C’est notamment le cas d’Ishizu, le fils du roi des démons, qui veut à tout prix manger un humain, car la légende raconte que celui qui en mange un, devient extrêmement puissant et règne sur le monde des démons.



Je suis conscient que comme ça, cela peut paraitre vraiment étrange comme lecture, mais sur moi, cela fonctionne parfaitement. C’est drôle, dynamique, on ne voit pas le temps passer, et surtout, Pochi et Kuro apprennent à se connaitre au fil de l’aventure (car il y a une aventure mais je ne vous la raconte pas^^) et je les trouve très attachants. De plus il y a une ambiance un peu comme dans Soul Eater ou Blood Lad. Si vous les avez lus, vous reconnaitrez le genre.



Je vous parlais tout à l’heure de l’humour, très présent dans ce titre, et bien il y a un moment dans lequel Pochi doit manger une Wapple (une pomme du monde des démons) qui est hilarant, car la pomme est vivante. Ceux qui l’auront lu, seront du même avis que moi, on ne regardera plus une pomme de la même manière après ça ^^



Les dessins sont correct, rien de révolutionnaire, mais pas moche non plus, disons qu’ils font le job. La traduction est assurée par Sayaka Okada et Manon Debienne, que l’on a pu voir à l’œuvre dans le one-shot La valeur de ma vie chez Akata, ou encore Takane et Hana chez Kazé.



Pochi & Kuro est donc un titre qui surprend, qui propose un bon moment de détente si vous adhérez à l’ambiance. La série comptera quatre tomes et sera donc édité chez Kazé dès le 05 juillet. Comptez entre 40 et 50 minutes de lecture pour ce premier tome, ce qui est dans les standards des shonen.


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Kaiju n°8, tome 1

Alors que ce titre est grandement plébiscité à sa sortie, je me l'étais gravé dans un coin de ma mémoire. Après un an, le voilà dans les rayons de ma biblio, avec hâte je m'en empare. Je veux savoir si vous avez tous raison ! Si la promesse de la couverture, les on-dits sont bien réels, OK pas de suspense, je vous rejoins. C'est cool d'avoir un héros trentenaire, rêveur, looser ET courageux ! Kaiju n°8 est un titre avec de la niaque, de la baston, des personnages mystérieux. Un shonen comme je les aime et que je vais suivre, cela va sans dire !
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Kaiju n°8, tome 1

Pour les amateurs de bons gros délires qui ne lésinent cependant pas sur de l'action bien solide, voici Kaiju No.8 ! Un très gros succès au Japon avec une popularité explosive dès le premier tome et qui vient de rentrer en fanfare en France par le biais des éditions Kaze qui n'hésite pas à viser haut avec ce shonen déjà bien reconnu au Japon. .Sans doute l'un des shonens les plus importants de cette fin d'année...



Au niveau de l'intrigue, Kaiju repose cependant sur du postulat un peu classique avec une humanité en guerre des monstres, en l'occurence, ici les Kaiju. Pour rappel, les kaiju sont des créatures emblématiques du cinéma fantastique japonais parmi lesquelles on peut relever en chef de file le fameux Godzilla... Désormais, ces fameux gros monstres nippons ne sont plus seulement des stars de l'écran, ils viennent aussi réellement détruire l'archipel et transformer les grandes villes en ruines. Fort heureusement, Les Forces de Défenses japonaises tiennent cependant le cap contre l'apparition de ces grosses bêbêtes.



Notre héros Kafka ( quel nom bien porté ! ) est un personnage relégué à l'équipe de nettoyage. Ceux qui nettoient la ville des cadavres titanesques de kaiju, un travail horrible mais indispensable. Kafka est cependant rongé par les regrets que lui ont procuré ses échecs successifs pour rentrer dans les forces de défenses. Cependant, il s'autorise une dernière chance grâce aux conseils d'une nouvelle recrue... avant de se voir subir, bien malgré lui, une transformation radicale en kaiju humanoïde pour le pire et pour le meilleur !



Ce premier volume est surtout centré sur notre héros Kafka Hibino et sa radicale transformation en guerrier kaiju. Cette métamorphose n'est pas de tout repos et le mangaka Naoya Matsumoto la rend aussi drôle que bad-ass avec un Kafka qui ne comprend absolument pas ce qui lui arrive et qui multiplie les "pertes" de contrôles du à ce changement précipitée. La force de ce premier tome provient de son rythme très maîtrisé et bien équilibré entre un humour très présent , de l'action et des personnages plutôt sympas qu'on cernent rapidement. En un mot, Kaiju n°8 se dévore avec aisance et , même si dans les grandes lignes, ce premier tome peut paraître parfois classique avec, notamment, l'habituelle épreuve de sélection... il n'en reste pas moins le début réussi d'un shonen qui coche avec facilité les cases du divertissement. Pour le comparer à un autre mastodonte, Kaiju No.8 , c'est un peu le penchant décalé de SNK avec une bonne dose d'action.



Les personnages sont vites sympathiques entre un Kafka qui apparaît comme un héros sur le tard, souvent vanné à cause de son âge, son amie d'enfance plutôt discrète dans ce premier volume mais sur qui règne un véritable charisme, la nouvelle recrue dont le tempérament oscille entre froideur et loyauté et enfin la jeune gosse de riche qui est aussi le talent prodige du concours. Une bonne galerie face à ces monstres. Pour l'heure, à l'exception des derniers chapitres, nous n'avons pas trop de confrontations dantesques face au kaiju, le mangaka préférant se focaliser sur la transformation inopiné de Kafka ce qui n'empêche pas ce premier volume d'être riche en vitamines et d'introduire déjà le visage d'un certain antagoniste décisif en fin de tome. Toujours est t-il que l'intrigue de Kaiju est loin d'être totalement remarquable avec une énième confrontation entre une humanité et une titanesque menace. Nous restons en terrain connu.



Pour l'heure, Naoya Matsumoto privilégie donc l'efficacité avec son dessin qui oscille entre un style monstrueux tout en force associé à une bonne touche de burlesque et une intrigue tout en entrain qui multiplie les gags, moments de bravoures et présentation ultra-rythmé des différents personnages.



En somme, ce premier tome de Kaiju No.8 en impose et se démarque surtout par son tempérament comique qui apporte un véritable tempo à cette entrée en matière. Pour l'heure, Kaiju pose les bases d'une intrigue un peu classique mais qui ne manque ni de panache visuel ni d'un capital sympathie certain.
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Kaiju n°8, tome 1

Premier manga pour ma part. Conseillé par mon fils car je souhaitais essayer ce genre. Et c’était vraiment très sympa.

Le pitch est simple : Des monstres assoiffés de sang attaquent la ville et une brigade dédiée est mobilisée pour les anéantir. On suit un héros sympathique dont le but est d’entrer dans cette brigade spéciale mais qui n’a jamais réussi à passer les tests d’admission. J’en dirai pas plus !



Les personnages sont émouvants et le lecteur est directement placé dans le vif du sujet dès les premières pages de ce premier tome.

Les dessins sont fantastiques et les touches d’humour sont nombreuses et finement placées.

J’ai beaucoup aimé ce tome et je lirai sûrement le prochain !
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Kaiju n°8, tome 3

Encore des combats de haute volée ! Kafka se bat contre le Kaiju n°9 sous sa forme de kaiju.. ce qui va entraîner un sacré combat contre son vice-commandant ! Chaque tome se lit toujours avec délice et rapidité. Ca tabasse et c'est un tome qui s'est dévoré. Je suis toujours aussi conquise par le rythme, les personnages et l'histoire.
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Kaiju n°8, tome 1

Au pays des Kaiju (monstres super-grands-super-méchants) vit Kafka, la trentaine un peu paumée qui a l'impression de passer à côté de sa vie. Alors que son rêve était d'intégrer les Forces de défense, pour éradiquer ces monstres,il se retrouve à nettoyer les rues après leur passage pour effacer les traces des combats... Tandis que Mina, son amie d'enfance, a réussi en devenant la chasseuse la plus douée de sa génération. Mais Kafka, systématiquement recalé au concours, a jetté l'éponge. Du moins jusqu'à sa rencontre avec Reno. Reno c'est un petit jeune de vingt ans plein d'ambition, qui ne compte pas rester cantonné au nettoyage. Plutôt imbu de lui-même, il veut passer le concours et rejoindre les forces de défense, ce qui titille Kafka qui finit par s'inscrire également.

Mais suite à une attaque de kaiju spectaculaire, un des monstres s'introduit dans le corps de Kafka, le dotant de capacités surhumaines, mais aussi parfois de reflexes "kaijuesques" ... Saura-t-il les utiliser à bon escient ?



Je ne m'y connais vraiment pas en manga, mais j'ai beaucoup aimé cette lecture. Parce que c'était drôle du début à la fin !

J'ai beaucoup apprécié de retrouver un personnage dans la trentaine, qui n'a pas encore trouvé sa place- je trouve qu'on peut facilement s'identifier à Kafka , prisonnier de sa vie ordinaire en ayant des rêves extraordinaires. Il doute, se sent vieillir face au jeune Reno, s'interroge ... Tout cela rend ce personnage très attachant.

Pour le reste le comique est omniprésent dans les dialogues comme dans les dessins ! L'ensemble m'a un peu rappelé le dessin animé Martin Mystère que j'aimais beaucoup petite, mais avec plus de profondeur. Je vous recommande donc vivement cette lecture, même si vous redoutez les mangas : je suis sûre que vous passerez un bon moment!

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Kaiju n°8, tome 4

Ahhh cette série, comme j’attend chaque tome avec impatience désormais! Autant j’avais énormément apprécié le premier, autant plus les tomes sortent et plus je trouve que cette historie est tout bonnement géniale! Chaque tome est aussi bon que le précédent, c’est un pur plaisir de se plonger dans la lecture à chaque fois. Cet univers si passionnant et si fascinant, ces personnages qu’on aime suivre, cette histoire qui devient de plus en plus intéressant. Clairement un shônen que j’aime par dessus tout!



Dans ce quatrième tome, un raid aérien s’abat sur la base de Tachikawa. Les membre des Forces de Défense réagissent rapidement et parviennent à repousser les yoju, tandis que le vice-commandant Hoshina libère sa puissance maximale pour affronter le méga-kaiju qui dirige l’attaque! Alors que le combat semble tourner à l’avantage du sabreur, un changement inattendu se produit chez son adversaire… Cette nouvelle menace est sérieuse car elle met immédiatement en alerte le sixième sens de Kafka…



Ohlala mais ce tome a été incroyable du début à la fin! Et tout ce qu’i ls’y est passé va changer énormément de choses pour ne pas dire tout. Suite à l’attaque de la base, Kafka va devoir réagir très rapidement, peut être trop rapidement. Je ne dirais pas la nature de sa réaction mais je pensais bien que ce moment allait arriver, mais je ne m’attendais pas à ce que ça se passe si tôt. Désormais tout ne sera plus jamais pareil et la fin nous annonce un cinquième tome encore plus incroyable que celui là. J’ai vraiment hâte de voir comment Kafka va pouvoir s’extirper de cette mauvaise posture.. Ça ne sent pas bon pour lui mais on sait d’avance qu’il va s’en sortir. Comment, là par contre c’est tout la question qui reste en suspens…



Un tome avec beaucoup de combats pour mon plus grand plaisir, j’adore le personnage de Hoshina d’ailleurs. Ce tome ci donne un bon gros coup de boost pour la suite. Les évènements de ce quatrième tome a vraiment tout bouleverser et la suite va être encore plus palpitante à suivre. Là clairement l’attention du lecteur est clairement retenu et ça donne encore plus envie de continuer de lire ce manga. Un très très bon shônen comme je les aime qui nous en met plein la vue tome après tome!
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Kaiju n°8, tome 1

Le Kaiju, un monstre typiquement japonais qui représente la force de la nature. Godzilla, Mothra... j en passe et des meilleurs... et un thème que je n'avais encore jamais rencontré en manga.

Drôle sans en devenir lourd, ce 1er tome annonce du bon pour peu que la série garde cet esprit bon enfant. Les illustrations sont simples mais efficaces. On sent une petite touche à la My Hero Academia qui n est pas pour déplaire. À suivre...
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Kaiju n°8, tome 1

Aujourd'hui j'ai lu le tome 1 de Kaiju n°8  publié aux editions kazé manga de Naoya Matsumoto.

J'ai découvert ce manga grâce à le titre m'a fait penser à pacific rim,ou la aussi les kaiju apparaissent.



Le mangaka naoya Matsumoto nous offre un manga vraiment passionnant.

La narration est très divertissante, on rentre vite dans l'histoire qui est fluide. On a un bon rythme de lecture, il y a de l'humour on ne lâche rien. J'ai apprécié les moments de relâchement (quand il faut être sérieux, Naoya y ajoute de l'humour) la transformation de Kafka n'est pas trop mal c'est assez drôle et vibrant.

Les planches sont bien réalisées, bien animées et bien présentées.  Les personnages sont attachants et très expressifs. Franchement ça donne envie d'engloutir la suite et bon sang le Cliffhanger dans les dernières pages est à couper le souffle. 🤩🤩

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Kaiju n°8, tome 1

Extrait :

Nouvelle série acquise par Kazé, elle a fait un grand bruit lors de sa sortie, mais que vaut elle vraiment ? Cette série méritait-elle autant de publicité ? Et bien, pour ma part, même si c’est un bon titre, il y en a beaucoup d’autres qui le surpasse est parfois de loin, donc une aussi grosse publicité n’était pas nécessaire du tout. Celle-ci a même eu l’effet opposé sur moi, donc autant dire que j’ai bien réfléchi à deux avant de l’acheter, et avec autant de parlote autour du sujet… et bien… je m’attendais à beaucoup mieux ! Surtout avec les bonnes séries qui ont signées leur glas de fin cette année (SnK ou encore TPN).



Ma chronique ne tiens qu’à moi, chacun est libre de dire qu’il a aimé ou non. Pour ma part, ce n’est pas que je n’ai pas aimé, mais juste que je n’ai rien trouvé de particulier dans ce titre pour le moment… La façon dont le héros se transforme apparaît déjà dans Parasites, par exemple, les monstres géants c’est également souvent présent. Quant aux personnages, autant le dire que beaucoup ont un caractère identifiable rien que par leur apparence (surtout si vous êtes un habitué des mangas/animés).



[...]



Je vais quand même essayer de cité quelque chose qui m’a plus… Pour le coup, c’est le design du Kaiju n°8 !! Voilà, c’est tout, le reste n’a pas vraiment de grande valeur, car c’est également présent dans d’autres séries…



[...]



En bref, je ne pense pas prendre la suite pour l’instant, car même si ce premier tome est sympathique, j’ai déjà beaucoup de séries à suivre et malheureusement sans un petit plus, il n’est pas prioritaire. Je vous conseil de commencer la série sur la plateforme avant toute chose et d’attendre un éventuel coffret, beaucoup d’autres séries mériteraient un coup d’œil avant celle-ci. J’espère beaucoup des prochains tomes, qui me feront peut-être changer d’avis au sujet de cette sur médiatisation…
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Kaiju n°8, tome 1

"Kaiju n°8" est un titre qui bénéfice d'un marketing et d'une hype de folie. Au-delà de cela il bénéficie d'un graphisme, et d'un scénario qui savent attirer.

De plus, il sort à une bonne période, où on cherche des titres pour se faire des frissons.

Néanmoins, je ne m'attendais pas du tout à autant aimer ce titre, à être si conquise dès le départ, à m'en mettre plein les yeux, mais aussi à beaucoup rire, notamment

grâce à des situations très décalées.

Vous avez peut être déjà croisé le mangaka MATSUMOTO Naoya sur "Pochi et Kuro", manga en 4 tomes chez Kazé qui est dans ma longue wishlist, pas encore eu l'occasion de le lire.

Ce nouveau titre est en cours avec 4 tomes au Japon, et vient de se lancer en France avec 1 tome.

Dans leur Japon, il y a d'effroyables monstres qui surgissent nommés les Kaijus, il y en a de différents types. Nul doute qu'ils ont profondément remis les choses en question,

et bouleverser bien des vies. Nous le verrons déjà en partie, et nous avons sans doute encore bien des histoires à découvrir.

Evidemment, ils sont assez monstrueux à voir et pourraient vous donner des cauchemars.

Dans ce premier tome, j'ai particulièrement aimé qu'au-delà des combattants, on parle des nettoyeurs, de travailleurs de l'ombre, de la nécessité de ce qu'ils font mais le tout sans que personne n'y fasse vraiment attention.

Nous rencontrons entre autre Kafka Hibino, déjà la trentaine, il rêvait d’intégrer les Forces de Défense mais finalement nettoie leurs cadavres. Le fait que le petit nouveau Reno Ichikawa, 18 ans, les rejoignent va commencer à remettre les choses en perspective. Ils formeront au final un duo assez solidaire et comique.

Une autre chose va tout remettre en question, donner plus de force à Kafka Hibino, mais également nous interroger.

Cela donne tout de suite une nouvelle dimension à l'histoire, et en même temps les scènes les plus drôles et décalées.

Le graphisme est super et happe nos yeux, il y a quelques pages couleurs pour commencer. C'est dynamique, stylé, intéressant, percutant, des liens d'enfance, de nouveaux liens, très drôle.

Cela se laisse lire avec une grande facilité et le lecteur sera très vite et de plus en plus conquis.

Kafka Hibino va-t-il se battre pour ses rêves ? Jusqu'où ira-t-il ? Comment et combien cette nouvelle vie va tout changer pour lui ? Comment vivre ainsi ?

Et l'air de rien, ce qui lui arrive nous pousse à nous poser bien des questions aussi.

Nous allons déjà rencontré pas mal de personnages badass, puissants, hauts en couleur, notamment une jeune demoiselle qui ne nous fait pas la meilleure des premières impressions.

Entre les chapitres, il y a quelques fiches sur les personnages.

A la fin, nous avons une page sur l'univers, et une page de teasing pour le prochain tome qui arrivera le 8 décembre normalement.

Le seul souci finalement c'est que la fin donne une furieuse envie de dévorer la suite.

Ainsi, le départ de cette série est dantesque, une très belle surprise, très prometteur, et on n'a qu'une envie pouvoir lire la suite. Il est fort probable que si vous commencez par après, avez le temps et plusieurs tomes sous la main, vous les dévoriez, surtout si sa qualité et son originalité savent se tenir sur la durée.
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Pochi & Kuro, tome 3

Vous le savez sans doute, j’avais vraiment adoré les deux premiers tomes de ce nouveau manga. Et bien une fois de plus, ce tome-ci fut un vrai régal. Ce titre est celui qui me surprends le plus car je n’en attendais rien et au final, j’adore. Je trouve dommage que la série se termine avec le quatrième tome, car j’aurais aimé poursuivre ma lecture encore et encore.



Dans ce troisième tome, le voyage vers Sunkust commence enfin et nous retrouvons notre joyeuse bande avec toujours autant de plaisir. Mais vous vous en doutez si vous connaissez l’univers de Pochi & Kuro, rien ne se déroule vraiment comme prévu, et à bord de leur vaisseau très particulier, les choses vont vite mal se passer. Nos amis vont donc devoir faire escale dans une ville pour se ravitailler et gagner un peu d’argent.



J’ai bien aimé cette partie du tome car cela reste léger, bon enfant, loufoque, mais en même temps la relation entre Kuro et Pochi avance à son rythme, avec de petites touches par-ci par-là, avec Léo qui joue les entremetteurs. La pomme Wapple a elle aussi bien évoluée, c’est à présent un personnage à part entière, et je trouve que c’est vraiment une bonne idée. Si dans le premier tome elle faisait office de mascotte, elle s’est affirmée dans le tome suivant, et à présent, elle a gagnée sa place dans l’équipe. Très belle évolution pour ce personnage.



Le personnage de Léo a lui aussi passé un palier. Alors, bon pour les combats il est toujours aussi faible, mais pour ce qui est de l’aventure, du pilotage du vaisseau, il ressemble de plus en plus à son père, et je trouve que cela le rend plus attachant. Il n’est plus simplement le copain idiot de Kuro.



L’autre partie du tome va enclencher sans doute la dernière ligne droite du titre puisque nous allons découvrir les autres membres de la famille Nofertal. Les deux frères et la sœur de Ishuzu sont eux aussi à la recherche de Pochi pour les même raisons que leur petit frère. Sauf que ce dernier est clairement moins fort qu’eux du fait de sa corne simple.



J’ai vraiment adoré la présentation de cette famille, cela développe un peu plus l’univers et l’on comprends mieux pourquoi Ishuzu est si revanchard. Les tensions qui règnent dans la famille Nofertal sont très intéressantes et on se demande comment ils vont se débrouiller, si Pochi repart dans son monde.



Pour l’instant nous n’avons vu que Ijulia dans un combat et même si elle est très puissante ce n’est rien en comparaison de la démonstration de force de Ishar qui semble intouchable. Je pense que pour le tome suivant, une alliance entre Ishuzu et Kuro semble inévitable, sinon je ne donne pas cher de la pauvre Pochi.



Bref, vous l’aurez compris, ce troisième tome de Pochi & Kuro ne déçoit pas, il est dans la suite logique des deux tomes précédents. On y retrouve tous les ingrédients qui font que ce manga me plait beaucoup, à savoir de l’humour, des combats, de l’amour et un univers décalé et parfaitement bien maitrisé.



Les dessins ne sont pas en reste, car même sans être magnifiques, ils sont vraiment dans les standards des shonen actuels. Mon seul regret sera vraiment le fait que ce manga ne fasse au final que quatre tomes. Je pense qu’il y avait matière à creuser un peu plus l’univers et faire une série qui avoisinerait les 20 tomes. D’ailleurs, il me fait beaucoup penser à Blood Lad sur de nombreux point et qui vient de se terminer en 17 tomes.


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Kaiju n°8, tome 1

Le résumé me faisait un peu penser à Neon Genesis Evangelion, mais c'est vraiment autre chose.

J'ai beaucoup aimé ce premier tome. Déjà le fait que Kafka ait la trentaine. Pour une fois, ce n'est pas un ado. Bon, on reste dans le cliché du gars qui ne réussit pas ses épreuves mais bon, c'est aussi ce qui fait son charme.

J'ai aussi apprécié le fait qu'on s'intéresse un peu aux personnes qui nettoient les carcasses. D'habitude on ne s'en occupe même pas. Le héro tue la bestiole, et c'est tout. Même si je pense que ce n'est que pour le début du manga, c'était pas mal. Et ça a rajouté pas mal d'humour.

Niveau humour, il y en a! Surtout dans les dialogues entre Kafka et Ichikawa. Même si Ichikawa a un certain respect pour Kafka.

On découvre aussi le personnage de Kikoru. Je m'attendais à ce qu'elle joue surtout la peste. Mais je pense qu'elle va être plus importante que ça. J'ai hâte de voir ce qu'elle va devenir dans les prochains tomes.

C'était un bon tome. J'ai passé un bon moment. Depuis le temps que je devais lire ce manga!
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Kaiju n°8, tome 8

Tome 8 beaucoup centrer sur Reno qui porte un modèle numéroté sur le terrain prêt à abattre un Honju qui apparaît tous les 5 ans, mais il se régénère très vite ce qui pousse Ichikawa à augmenter ça puissance, mais malheureusement un gros problème va survenir ce qui va provoquer une perte de contrôle. Iharu va aussi avoir une importance majeure dans ce tome et on va aussi découvrir que sa puissance est instable, il est du même type que sont supérieurs, les combats sont vraiment géniaux quand il s’allie Iharu et Reno arrive à venir à bout du Honju en peu de temps. Du coter de Kafka, il apprend la nouvelle que Reno va devenir un élément majeur dans le futur de l’histoire, mais aussi un peu inquiet de la dangerosité de ce que provoque un modèle numéroté, Kafka va avoir le moral dans les baskets, je vous laisse découvrir pourquoi. La fin m’intrigue particulièrement, qu’est-ce que Kafka Hibino voit-il ? Est ce vrai ? Hâte de découvrir la suite
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Kaiju n°8, tome 6

C'est si rapide... Les tomes de Kaiju n°8 se lisent beaucoup trop vite ! Ce tome est rempli d'action, de moments épiques mettant en valaier nos personnages ! C'est vraiment super bon. Un début de mystère est en train de s'installer et enfin la fin est plein d'incertitude sur le prochain tome. J'ai si hâte...
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