Si le Prozac avait été disponible aux siècles derniers, le ""spleen"" de Baudelaire, les humeurs d'Edgar Allan Poe, la poésie de Sylvia Plath et les lamentations de tant d'autres poètes, tout ce qui a une âme aurait été réduit au silence...
Si les grandes entreprises pharmaceutiques pouvaient éliminer les saisons, elles le feraient sans doute, pour en tirer un profit, bien sûr.