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Citations de Natasha Farrant (18)


Mamie convaincue que les mails nous pourrissent le cerveau, nous interdit de nous connecter sauf en cas d'urgence : Flora a décrété que c'était un cas d'urgence.
- Et je peux savoir en quoi, jeune fille? s'est emportée mamie.
- Je n'ai pas donné de nouvelles sur Facebook depuis si longtemps que mes copains vont me croire morte !
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Ce sont les forêts de chênes qui abritent le plus grand nombre d'espèces : plus de 2 300 oiseaux, mammifères, insectes, lichens et champignons dépendent d'eux.
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Chaque arbre est précieux. Et chacun est différent. Exactement comme les humains.
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Certaines relations sont plus compliquées à appréhender que d'autres. Ce sont en général les plus importantes.
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"L'Épervier rassemblait toutes ses forces contre la marée, mais la marée était plus forte encore. L'air était froid, le ciel bas, la mer toujours calme, mais d'un calme différent. Quelques minutes plus tôt, elle semblait endormie. À présent, elle gonflait, montait en puissance. Il n'était plus temps de regretter les canaux paisibles, le vert paradis de la campagne anglaise, la relative sécurité de la Tamise ce matin au lever du soleil, la présence réconfortante de la côte et de la Wilhelmina. Tout ce qu'il leur restait à faire, c'était de garder le cap et de prier pour arriver au port avant que la tempête n'éclate. Frank tenait la barre. Ben demeura près de lui tandis que, dans la cabine, Lotti essayait de réconforter les chiens pris de panique.
Les minutes s'écoulaient, plus longues que des heures. Centimètre par centimètre, de haute lutte, la côte française se rapprochait.
- Calais, souffla enfin Frank, désignant une tache blanche qui se laissait deviner à l'horizon."
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Regardez la balançoire suspendue au vieux chêne, les cerisiers plantés tout autour de la maison. L'un d'eux est si près d'une fenêtre que, l'été venu, la petite fille qui habite ici peut cueillir des cerises en tendant la main. Vous vous rendez compte, pouvoir cueillir des cerises par la fenêtre de votre chambre ?
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Ce silence, il le devina, avait quelque chose de l’eau sur le point de bouillir, d’un bébé sur le point de hurler ou d’une bombe sur le point d’exploser. Autant dire que ce silence était vraiment bruyant.
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C’est étonnant à quelle vitesse on s’habitue à l’illégalité quand on se trouve dans une situation désespérée.
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Il n'y a pas que la peur et les défis dans la vie. Parfois, la simple beauté du monde vous coupe le souffle. (p. 136)
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[...] je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Mais je pense avoir trouvé ce dont j'ai besoin. (271)
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Les arbres n'existent pas pour servir les humains, tu sais, quoi qu'ils puissent en penser. Nous ne sommes pas là pour inspirer des poèmes, pour vous rendre riches, ou pour absorber le carbone que vous produisez. Nous ne sommes pas responsables de vous. Vous, en revanche, quand vous décidez de vous immiscer dans nos vies..
Nous voilà alors sous votre responsabilité.
Cela devient votre devoir de nous protéger, et non l'inverse !
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La porte se rouvrit, et cette fois apparut une petite dame aux cheveux grisonnants, la soixante avancée. Elle poussa un cri - Albert su qu'il n'oublierait jamais ce cri.
C'était un vrai de surprise, dincredulite, de nostalgie de joie et de peine tout à la fois mais, surtout, c'était un cri d'amour. La dame aux cheveux grisonnants ouvrit les bras et Lotti s'y jeta.
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On dit toujours que, dans un groupe de trois, il y en a toujours un qui se sent mis de côté.
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Tandis qu'elle s'approchait du verger, Olivia sentit le parfum des pommes avant même de les voir. Leurs senteurs, portées par la brise, évoquaient les tartes et les gâteaux, les pique-niques et les feux de joie d'automne. Olivia inspira avec bonheur et ouvrit la porte. A l'intérieur, des brassées de corolles l'accueillirent, allant du rose le plus profond à un blanc éclatant aux reflets presque verts. En tendant l'oreille, la jeune fille décela, par-dessus le bruissement du vent dans les arbres et le pépiement des oiseaux, le vrombissement de petites ailes. Olivia sourit. Le pays des fées. pg 128
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La grand-mère de Lotti l'aimait comme jamais Hubert Netherbury ne pourrait l'aimer.
Et s'il y avait une chose que la guerre avait apprise à Albert, c'est que les enfants ont besoin d'être aimés.
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[...] de même qu'il n'y a pas de courage sans peur, la déception et la perte sont inséparables de l'amour. (p. 167)
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Ici, c'est comme si on était dans un roman. Tout est si grand! Je crois que ça me donne envie de faire des grandes choses, moi aussi. (p. 135)
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Toutes les histoires ont une fin. C'est triste, mais c'est pour laisser la place à de nouvelles histoires. (p. 124)
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