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Citation de CelinePadawan


P112-113: "je me suis demandée si j'avais bien fait de la rappeler car, en quelques minutes, j'ai reconnu cette sensation mitigée, ce courant glacée et cette question simple : m'étiat il agréable ou non de passer un moment avec Adèle ? Autrement dit, mon déplaisir entamait-il le charme ou l'amitié ? Je n'ai que des réponses compliquées parmi lesquelles ce choix qu'on fait parfois dans la vie d'avoir des compagnons, des partenaires mêmes, qui nous élèvent quoi qu'il arrive, dont on accepte qu'ils nous malmènent pourvu qu'ils nous surclassent, qui nous surclassent parce qu'ils nous malmènent".
P201-2020 : "mon père disait que j'étais l'héritière croisée de Kafka et de James, c'était flatteur, mais les compliments ne m'arrivaient jamais pleinement. Il semblaient toujours entamés, mités, car Adèle, de là où elle était, regardait encore par-dessus mon épaule. Comparés à ses équations différentielles, mes énoncés à moi restaient simples".
P264 (discours d'Adèle) "Bref, ce que je veux dire, c'est que Nicolas, mon fils, je l'adore, je l'aime tellement qure je pourrais tout abandonner pour lui, les maths, la recherche, les prix, toute ma vie. C'est l'ennemi juré de mon ambition alors je dois arbitrer en permanence parce que j'ai le choix entre cet amour et le travail".
P270 : "Arrêter de penser qu'il y a d'un côté les maths, de l'autre le monde, c'est le contraire,. Si vous choisisissez de ne plus faire de maths, vous parlerez la lange des humains mais vous ne parlerez jamais plus la langue du monde".
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