Finalement, la seule chose positive, dans le bilan de sa relation, c’était d’avoir renoncé à ce métier pour lequel elle n’était pas faite. Sans réelle activité, la précarité dans laquelle elle vivait, ressemblant au rien qui l’habitait, avait fini par lui convenir. Elle aurait voulu, au jour de ses 30 ans, pouvoir tout effacer, repartir à zéro, envisager le lendemain comme le véritable commencement de sa vie.