Natsumi Aida

Maintenant le lycée maintenant pour Meguro, elle laisse derrière elle ses amies et ses histoires de collège. Quelle surprise quand elle arrive, elle rencontre les sosies de ses idoles de jeux vidéo. Evidemment, leur caractère est carrément différent de ce à quoi elle s'attend... Surtout Morizono qui est un sacré coureur de jupons. Pourtant, il se comporte bizarrement avec elle...

Nouvelles relations d'amitié pour Meguro, nouvelles frictions aussi mais toujours autant d'humour. Meguro est très expressive quand elle est intimidée ou en colère. J'ai hâte de voir comment tout ça va évoluer avec son nouveau cercle de connaissances. Un bon moment de détente !

Un quatrième tome qui est une sorte d'épilogue sur une première partie. Le collège vit ses dernières heures de l'année et Mito se force pour prendre son courage à deux mains avant un nouveau départ. Un tome plein d'émotions qui amènent Mito vers un nouveau lieu où elle fera des connaissances mais pour cela, il faut finir de la meilleure des façons. Très touchant côté sentiments même si les conseils beauté m'ont un peu agacée... J'ai hâte de savoir ce que va donner le lycée, à suivre tome 5 ! (J'espère que le côté conseils beauté sera moins mis en avant, ce n'est pas ce que je préfère...)

Après la longue, drôle et par moments, lassante série manga Switch girl, j’ai lorgné sur Ugly princess. Cette série a l’air complètement à l’opposé de la série phare de Natsumi Aida. Mito Meguro est une jeune fille au visage un peu joufflu qui vit entre réalité et virtuel avec son jeu vidéo de beaux gosses. Elle tombe amoureuse d’un beau garçon (dans la vraie vie) mais a tellement peu confiante en elle, qu’elle n’ose pas l’aborder. Son quotidien, entre ses déconnexions (« Mode sans frontière ») et ses motivations intérieures pour aborder Kunimatsu, est assez cocasse. Ses petites astuces pour paraitre au mieux sont un peu les mêmes que dans Switch girl, adaptées au registre. J’ai bien rigolé, c’est léger, parfait pour se détendre. Je lirai bien la suite en espérant qu’elle ne fera pas une vingtaine de tomes comme Switch girl.

Meguro, Haru et Maru trainent toujours ensemble mais depuis quelques temps Maru est distante. Un troisième tome qui s'intéresse surtout à l'amitié entre les trois filles. Maru se sent mise à l'écart et coupe tout contact avec Haru et Meguro.

Ce tome reste dans l'histoire mais on ne s'intéresse plus à l'attirance de Meguro pour Kunimatsu. On s'éloigne de l'amour pour voir du côté de l'amitié… Intéressant pour connaitre les sentiments qui agite une élève lorsque celle-ci a été harcelée, ça permet aussi de mieux connaitre les centres d'intérêt de Meguro. Impatiente de retrouver Meguro (…et Kunimatsu !).

Fin de la guerre opposant Nika au professeur Someya qui prend conscience que sa vengeance était vaine et devient un excellent enseignant aimé de tous et début des vacances de Noël. Nika et Arata, plus amoureux que jamais, s'offrent une escapade dans un love hotel mais rien ne se passe comme prévu et leur première nuit n'a rien de romantique.

La popularité de Nika fait remonter la cote du lycée Shuei sur tous les réseaux sociaux, ce qui n'est pas du goût du prestigieux lycée Shutei nouvellement détrôné. Des photos truquées de Nika et Arata circulent sur le net et les font passer pour des débauchés. Le retour au lycée après Noël est donc difficile pour le couple mais heureusement, ils ont des amis fidèles prêts à les aider et à prouver leur innocence. Renvoyés du lycée pour huit jours, les deux adolescents en profitent pour s'infiltrer à Shutei où ils découvrent que la vie n'est pas facile pour les étudiants.





Natsumi AIDA fait souffler le chaud et le froid sur ses héros qui passent d'une déclaration d'amour très romantique à un renvoi du lycée en passant par une nuit d'amour rocambolesque. L'humour est toujours présent grâce à Nika qui se bat sans cesse contre ses tendances au laisser-aller. Drôle et touchante à la fois, elle symbolise bien la jeune fille d'aujourd'hui qui veut plaire sans renoncer à son confort et finit par se retrouver dans les situations les plus embarrassantes pour avoir voulu trop bien faire. Ces scènes très réalistes ne nous épargnent aucun détail scabreux, de la chasse aux poils pubiens qui dépassent des dessous en dentelles à l'épilation et aux démangeaisons qui en découlent. mais AIDA soigne aussi ses seconds rôles avec toute une galerie de personnages farfelus, comme par exemple la vieille et libidineuse réceptionniste transexuelle du love hotel qui filme ses clients pour se repasser les cassettes dans ses moments de solitude.

Bref, un tome haut en couleurs, dynamique et rafraîchissant, à l'image de son héroïne, qui se termine en territoire ennemi au lycée Shutei pour des aventures qui s'annoncent réjouissantes, à retrouver dans le prochain tome.

Aku Hayakama, influenceuse de son état, est du genre totalement superficielle, matérialiste et égoïste. A même pas 17 ans, elle collectionne les fiancés - en même temps - pour avoir le choix du meilleur parti qui fera d'elle une épouse riche. Ce qu'elle veut dans la vie ? : statut, richesse, liberté, et également créer l'envie chez les autres. Bref, ce n'est pas vraiment quelqu'un de bien. Et elle le reconnaît elle-même. Mais lorsqu'un soir elle se fait poignarder, elle fait un saut dans le temps et se réveille en... 1983 ! le seul lien qu'elle conserve avec le présent est son smartphone qui lui permet de communiquer avec ceux de son époque et le seul moyen pour elle de revenir au temps présent est d'aider un certain Kojiro Chôgoku à concrétiser son amour.



Natsumi Aida nous offre ici une histoire totalement dépaysante dans le paysage des shojos. Oubliez la guimauve et les petites fleurs bleues, place à Aku, une antithèse de l' héroïne parfaite, totalement hilarante dans tous ses défauts. Ouh la, qu'elle n'est pas gentille cette adolescente qui ne pense qu'à elle et à l'argent. Mais la voilà punie avec ce voyage temporel qui la renvoie dans les années 1980. Aku va devoir remettre en question sa façon de vivre et de se comporter avec les gens.

Culte de l'apparence, impact des réseaux sociaux, consumérisme outrancier, l'auteure n'hésite pas à dénoncer tous les travers de notre société actuelle. Mais dans les années 1980, quand est-il ? Notre petite peste, que l'on ne peut s'empêcher d'aimer, va devoir s'adapter à un monde où tout cela n'existe pas encore et peut-être redécouvrir l'importance des relations humaines et de l'imprévu. On plonge allègrement dans les années 1980 où looks improbables et objets aujourd'hui très kitch font leur apparition. le beau gosse de service est pour le coup loin des stéréotypes habituels, et cela fait du bien.



Ce shojo révèle finalement que ces mangas sont finalement loin d'être cantonnés à un seul type d'histoire. Cynique, drôle, irrévérencieux, potache, "Analog drop" nous entraîne dans un monde sans langue de bois, plus réaliste, et malgré tout, touchant par certains aspects. J'adore !



La série est courte (2 tomes) alors ne gâchons pas notre plaisir et lisons très vite la suite !

Très prenant ce sixième et avant dernier tome ! Mito assiste à une rencontre organisée entre filles garçons, une soirée qui ne lui laisse pas de bons souvenirs et pourtant, elle accepte de sortir avec un garçon. Entretemps, les altercations avec Morizono sont toujours aussi fortes… il y a de l’électricité dans l’air et les remarques de Mito ont touché le jeune homme.

Il y a un peu de Switch girl dans ce tome avec la coordinatrice de la rencontre. J’aime beaucoup l’humour de Natsume Aida, la forme de visage reflète bien l’angoisse, la colère. Elle arrive même à rendre drôle des moments touchants. Que réserve donc le dernier tome après ces dernières pages fortes en émotions ?

Mito a peur que l'orage abime le tableau alors elle se précipite à l'école pour le protéger. Elle est surprise de voir que Kunimatsu a eu la même idée qu'elle… Un second tome où les évènements avancent assez rapidement. Accompagnés d'amis, Mito et Kunimatsu vont faire une sortie où quiproquos et non-dits vont s'enchainer… Mito n'ose toujours pas avouer ses sentiments, Masuki essaie de lui mettre des bâtons dans les roues mais Kunimatsu est toujours aussi gentil, un peu sur sa planète et un peu maladroit. Quels sont ses sentiments envers Mito ? Dommage qu'il y a moins de mode sans frontière pour Mito, peut-être le fait d'être avec celui qu'elle convoite l'empêche de déconnecter…

La seconde moitié du manga peut se passer dans une réalité alternative, Mito essaie de trouver les moyens de se faire belle pour attirer le garçon de ses rêves. J'avoue que cette partie m'a moins passionnée. Vite un tome 3 pour essayer de comprendre l'énigmatique Kunimatsu et voir comment Mito va s'y prendre pour arriver à ses fins…

Nika, Arata, Masamune et Ninohara, infiltrés dans le prestigieux lycée Shutei, découvrent un monde cruel où règnent jalousie et suspicion. Les défaillances y sont sévèrement réprimées par des lynchages publics et la méfiance est le maître mot des rapports entre élèves. C'est dans ce contexte difficile que les quatre adolescents enquêtent pour découvrir la vérité au sujet des photos truquées qui ont valu un renvoi temporaire à Nika et Arata. Pendant qu'ils se démènent entre trahisons et révélations, à Shuei la résistance s'organise pour défendre l'honneur de Nika, avec à sa tête Queen Guenon, sa meilleure ennemie. Face au machiavélique conseil des élèves de Shutei, nos héros pourront-ils éviter un renvoi définitif et rétablir la vérité ?





Un tome moins drôle que les précédents, même si l'ensemble reste loufoque. Cette infiltration dans le lycée rival fait la part belle aux rôles secondaires et Nino et Masamune opèrent un rapprochement plus proche de l'amour vache que de la romance. L'histoire entre Nika et Arata reste en stand by au profit de l'intrigue autour de Shutei et des manigances du conseil des élèves. L'ambiance est plus grave, on suspecte une trahison mais c'est l'amitié qui finalement triomphe.

Comme toujours, Natsumi AIDA intervient dans le cours de l'histoire pour rapporter ses soucis typiquement féminins (retirer un point noir, s'épiler), toujours sur le mode humoristique de façon à dédramatiser ces problèmes dont on se fait parfois une montagne. Elle manie l'auto-dérision à merveille et offre des bouffées d'oxygène dans un récit plus sérieux.

Un tome sympathique même si on a hâte de retrouver Nika dans des aventures plus joyeuses.

A 17 ans, Nika Tamiya est la coqueluche de son lycée, aussi appréciée par les filles que courtisée par les garçons. Belle et souriante, elle est aussi un bout-en-train qu'on s'arrache dans les karaokés. Mais sitôt derrière les murs de son appartement, le masque tombe! Nika se met en mode "OFF" et se laisse complètement aller sur tous les plans. Mal habillée, mal coiffée, elle se goinfre des mets les plus répugnants, oublie tout savoir vivre et passe ses nuits à jouer en ligne. Seule Nino, son amie depuis la maternelle, connait cette face cachée de sa personnalité et Nika compte bien que cela ne se sache jamais au lycée. Mais pourra-t-elle garder son secret alors que Arata Kamiyama, un nouvel élève, a tout découvert en un rien de temps?





Un premier tome très efficace qui va directement au coeur du sujet et où les évènements s'enchaînent très rapidement.

Le contraste entre Nika en mode "ON", jolie comme un coeur et très élégante et son mode "OFF" débraillé est vraiment très bien rendu et très drôle. Avec sa soeur et sa mère, construites sur le même modèle, elle forme un trio bruyant mais sympathique qui écume les supermarchés pour y dénicher les promotions.

Mais bien sûr, Switch girl!! est avant tout un shôjô et se profile à l'horizon une histoire d'amour compliquée entre Nika et Arata, le nouvel élève qui semble lui aussi avoir bien des secrets. Tantôt sympathique tantôt distant, on sent bien qu'il ne va pas se laisser apprivoiser facilement.

Bref, une entrée en matière réjouissante pour un manga où humour et romance font bon ménage. A lire.

Dans ce deuxième tome, nous retrouvons notre jeune influenceuse Aku toujours bloquée en 1983. De part son voyage dans le temps et au contact de ses nouveaux amis, la jeune fille a déjà bien évolué, développant des qualités et des dispositions beaucoup moins égoïstes qu'auparavant. Mais le temps tourne et Aku doit permettre à Kojirô - auquel elle s'attache - de réaliser son amour avec Shinobu. Accompagnée de son nouveau trio d'amis, Aku enquête sur cette dernière pour en savoir un peu plus. Mais il semblerait que Shinobu n'est pas du tout celle qu'elle prétend être.



Deuxième et dernier tome de cette série très courte mais très bonne. Ce shonen en forme de comédie romantique nous procure un très bon moment de lecture où l'humour, l'action et des valeurs positives sont mis en avant. Notre jeune héroïne prend conscience de tout le mal qu'elle a fait et de tout le mal qu'elle se fait en vivant par procuration, via les réseaux sociaux et les apparences, une vie faite de mensonges et d'égoïsme. L'autrice atteint ici son but : montrer la valeur des relations humaines - et non virtuelles - et dénoncer les dérives de notre monde actuel ultra connecté. La, série est courte et donc certaines scènes un peu "tombées à pic" mais peu importe. le message est passé, les personnages sont sympathiques et cette plongée dans les années 1980 très agréable.



Un diptyque très fun.

Dernier tome de la série Ugly princess. A la fin du sixième et avant-dernier tome, une envie de connaitre le dénouement final, tout proche. Mito s'ouvre à ses amis, essaye de s'affirmer. Tout se bouscule, des décisions sont prises, ça va très vite... Je l'ai lu d'une traite, la conclusion s'imposait d'elle-même après les deux précédents tomes. La manière m'a un peu dérangée mais c'est une belle fin. Un peu déçue que ce soit déjà la fin, on se marrait bien avec Mito. Son adolescence, la découverte de l'amour, ses échecs... J'ai préféré cette série à Switch girl, trop longue, trop axé corps, maquillage et soin. Je vais regarder ses autres séries, un peu d'humour, de légereté de temps en temps, ça fait du bien au moral.

L'ambiance n'est pas au beau fixe pour Nika et ses amies depuis qu'un nouveau professeur a imposé un règlement très strict au lycée : uniforme de rigueur et relations amoureuses interdites ! Nika n'hésite pas une seconde avant de prendre la tête de la rébellion. Mais le professeur à l'origine du changement, Monsieur Someya, lui propose un défi pour adoucir le règlement. Comment est-il possible que ce nouveau venu, très jeune en plus, impose si facilement ses désirs à l'administration du lycée ? Qui est-il ? Que cherche-t-il à faire ? Il semble vouloir s'en prendre au couple que forment Nika et Arata...Pourquoi ? Et surtout, réussira-t-il à séparer les amoureux si complices ?





Un tome très éprouvant pour Nika ! D'abord c'est son secret qui est à deux doigts d'être dévoilé quand ses amies débarquent à l'improviste à son appartement. Ensuite, le sombre professeur Someya vient semer la zizanie dans son couple. Et voilà que les amoureux connaissent leurs premières difficultés. Sauront-ils les surmonter ? En tout cas, Arata est très contrarié et Nika patiente en attendant son pardon.

Toujours beaucoup d'humour, des situations et des dessins cocasses contrebalancés par des moments plus sombres, incarnés par Someya, nouveau personnage très secret dont on attend beaucoup pour la suite. Décidément, ce manga et très réjouissant et sait se renouveler au fil des tomes. A suivre.

Depuis leur retour des sources chaudes, Nika et Arata filent le parfait amour. Apaisé, le jeune homme s'est réconcilié avec sa mère et Nika est heureuse d'avoir un petit ami qui s'accommode de son mode "OFF". Même Queen Guenon, son ennemie de toujours, semble revenue à de meilleurs sentiments à son égard. Cependant, le calme est de courte durée. Une élève du lycée, Miki Aso dit être harcelée sexuellement par un professeur. Nika ne peut s'empêcher de se mêler de cette affaire mais faut-il croire les allégations de cette Miki qui est peu fiable? Nika et Arata vont mener l'enquête.





On connaissait la Nika en mode "OFF", celle qui court les bonnes affaires avec sauvagerie, qui mange pour quatre et pourrait tuer pour une place assise dans le métro. On savait aussi qu'en mode "ON", elle était douce et élégante. Là voilà qui montre une autre facette de sa personnalité : la Nika "bon samaritain" prête à tout pour venir en aide à l'une de ses camarades. Un trait de caractère qu'apprécie particulièrement Arata puisqu'il en a lui même bénéficié. D'ailleurs, il n'hésite pas à s'impliquer personnellement dans l'enquête de sa petite amie pour démasquer le professeur coupable, quitte à faire le sacrifice de sa petite vie tranquille. Mais que ne ferait-on pas par amour?

Un tome où l'humour se mêle à un sujet plus sérieux pour le plus grand plaisir du lecteur qui s'attache de plus en plus à ce couple atypique. A suivre.

Depuis qu'ils ont joué ensemble dans la pièce de théâtre du lycée, Nika sait qu'elle est amoureuse d'Arata. Quand il accepte de l'aider à réviser ses cours, la jeune fille imagine déjà un rapprochement possible, surtout qu'il commence à se livrer un peu. Pourtant, ce début de complicité va sérieusement être perturbé par Meika et Masamune, deux élèves du lycée de Shibuya qui vont user des stratagèmes les plus retors pour les séparer. Suite à leurs interventions, la pauvre Nika voit en même temps s'éloigner le garçon qu'elle aime et son secret à deux doigts d'être révélé.





Un deuxième tome encore plus déjanté que le premier! Nika, victime d'un odieux chantage, ne se laisse pas impressionner. Ce n'est pas une surprise, on savait déjà qu'elle était dotée d'un sacré tempérament mais on lui découvre aussi des qualités d'écoute et une belle sensibilité qui la rendent aussi touchante qu'attachante. Arata, quant à lui, ne semble pas indifférent et on sent bien qu'il commence à s'attacher à sa camarade de classe mais il est loin d'être prêt à avouer ses sentiments. La suite au prochain tome.

Mito Meguro est une collégienne complexée par son physique qui subit des brimades et moqueries de ses camarades à cause de son physique depuis plusieurs années. Elle se réfugie dans un jeu virtuel pour trouver du réconfort et le courage d'affronter le regard des autres, même si la théorie est plus facile que la pratique dans le monde réel... Jusqu'au jour où un garçon fait preuve de sollicitude envers elle et l'amène à sortir de l'auto-appitoiement.



Le personnage principal est totalement crédible. Certes, le côté fantasmes mielleux à gogo m'a parfois agacée, mais, là aussi, il faut bien avouer que cela permet de construire une collégienne complexée très réaliste.

Le graphisme de Natsumi Aida reflète parfaitement les métamorphoses et ses tentatives. Le parallèle avec les contes de fée dans le scénario est également très finement pensé.



Un manga qui aborde le sujet de la différence et du rejet à l'adolescence ainsi que celui du harcèlement de manière plus réaliste que dans A Silent Voice. Certains passages amènent à réfléchir aussi bien sur le comportement adopté par les harceleurs que sur celui de la collégienne harcelée mais aussi sur celui des tierces personnes : les "spectateurs passifs".

Et c'est parti pour les sources chaudes! Toute la classe de Nika part en voyage scolaire grâce au succès de leur pièce de théâtre. C'est l'occasion rêvée pour Nika de séduire Arata et sa grosse valise renferme tout un attirail de séduction massive! Mais une fois sur place, les choses ne se passent pas exactement comme prévues...





Un tome où la mangaka s'est fait plaisir à cumuler les gags et les situations les plus burlesques. Quand Nika veut séduire, elle n'y va pas avec le dos de la cuillère! Mais l'humour débordant laisse aussi la place à des moments plus émouvants quand Arata ouvre son coeur à Nika. On comprend enfin pourquoi il se méfie des femmes et peine à leur accorder sa confiance. Mais il baisse enfin la garde et embrasse Nika.

Toujours aussi plaisant, toujours aussi drôle, ce troisième tome tient toutes ses promesses.

Switch girl, tome 24... Ça commence à être un peu long ! Mais celui-ci est l'avant-dernier tome... Ouf ! Natsume Aida dilue bien la sauce de l'histoire amoureuse d'Arata et Nika et de leurs aventures : des historiettes décalées, des questions intimes étonnantes des lectrices et même à un moment des nouvelles de l'adaptation du manga en film.

Parenthèse. Dans ce tome, l'aparté consiste à raconter la recherche sur son avenir professionnel, interlude qui m'a intéressée puisqu'en ce moment, je pense aussi au mien... Fin de la parenthèse. L'ensemble reste léger et drôle même si beaucoup de répétitions sur la fameuse rupture. Le geste de Nika va-t-il arranger les choses ? Allez, vite le dernier tome !

Nika Tamiya, 17 ans est très vite devenue la fille la plus populaire et la plus jolie du lycée… en mode « ON » du moins, car elle cache bien son jeu et possède un mode OFF. Où l’on découvre une Nika complètement débraillée, pas maquillée, mal coiffée, en jogging ou pyjama, etc. Puis un jour un nouvel élève débarque dans le même lycée et lui aussi est un switch boy…



Switch girl est un mangé génial, qui plaira à toutes personnes de la gente féminine et ce peu importe l’âge, vous vous reconnaîtrez à un moment ou un autre dans le personnage de Nika.

Impossible de ne pas se tordre de rire durant la lecture, votre compagnon vous regardera d’ailleurs d’un air soupçonneux car bien évidement il ne pourra pas comprendre pourquoi vous riez à ce point, quand bien même s’il lisait ledit manga. Il faut penser comme une fille pour comprendre pleinement toutes les subtilités de ce manga.



Les personnages sont totalement loufoques et drôles. La relation qui se crée entre Nika et Arata n’est pas des plus simples et c’est ce qui m’a plu. Leur relation est plus réelle que les histoires d’amours que l’on découvre dans d’autres séries manga, ce qui nous permet de nous rapprocher encore plus des personnages.



L’autre côté sympa ce sont les interventions de l’auteure qui nous explique pourquoi certains choix, ou qui aborde certaines anecdotes marrantes qui lui sont arrivées. Nous avons également droit à certains conseils de beauté ou d’autres explications sur l’épilation, l’extraction des points noirs etc.



Donc les filles, il ne vous reste plus qu’a lire !

Ça y est, il faut que j'admette la triste réalité... Je suis accro à ce shojo !!! Dans ce tome, nous continuons à suivre les aventures de notre switch héroïne de la fin de l'épisode précédent (son démêlé avec la sale garce mouahaha) jusqu'au voyage de classe vers les sources chaudes et un repos bien mérité... Enfin ça c'est vous qui voyez ^^



Pas le temps de s'ennuyer une seule seconde avec Nika cela rebondit dans tous les sens. Et même si certaines situations sont cousues de fil blanc... Ça fait du bien de lire une héroïne avec des travers qui nous ressemblent ^^

PS : Je ne sais pas pour vous, mais... J'aime bien les petites parenthèses de l'auteur sur les situations tirées de sa vie. Et dans ce tome nous avons le privilège de lire le one shot initial de Switch Girl ^^ Bref; ça valait vraiment le coup ! Vite, vite le tome 4.