Natsumi Konjo

J'avoue que c'est plutôt bien dessiné mais je n'ai guère souscrit à ce récit qui m'a paru assez ennuyeux à la lecture. Certes, c'est plutôt audacieux avec ce sujet sur les otakus version féminine.



L'audace provient du fait qu'une lycéenne éprouve des fantasmes sur les garçons gay. Pourquoi pas, après tout ? Mais bon, il y a sans doute mieux. C'est un pitch de départ pour donner lieu à des quiproquos amusants.



Cependant, c'est trop déjanté pour me plaire. Cela part dans tous les sens. On peut rire de tout mais encore faut-il que cela soit bien réalisé c'est à dire avec subtilité. Plaisanterie et parodie seront au rendez-vous. Une lecture un peu lourde au niveau des dialogues.



Moi, je passe mon tour sur ce titre et c'est sans regret.

Je n'avais pas été totalement emballée par le premier tome. Même si prendre deux otakettes qui doivent faire face à des vrais sentiments est original. Abe et Rumi semblaient bien naïfs et leurs échanges risquaient de s'étaler avant d'être compréhensible pour ces deux étrangers. Heureusement que Konjoh Natsumi a introduit deux autres personnages plus terre à terre et expérimentés. Ainsi cela crée un véritable contraste et aussi apporte la touche humoristique. Car cette fois-ci, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer 30s. Je me suis laissée porter par ces deux histoires d'amour surprenantes et improbables. Toutefois, il y a quand même une remarque à faire sur la mise en page. Parfois, c'est écrit vraiment en tout petit, parfois de façon illisible. Est-ce que c'était présent dans l'édition japonaise ou est-ce du à la traduction? Cela reste désagréable de devoir se coller au manga pour voir le texte. Parfois, je n'ai pas fait l'effort et ça ne nuit pas à la compréhension. Les images ont également leur propre langage. Les lecteurs masculins devraient trouver également leur compte avec Matsui qui porte un bonnet G ce qui permet de faire beaucoup de plan sur sa poitrine très généreuse. Une opportunité aussi de lui faire porter des tenues très sexy comme un bikini ou une robe d'héroïne de manga. Ces jeunes hommes pourront se rincer l'oeil et se retrouver dans les otakus pervers. Un tome qui donne envie de poursuivre la série. 
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Il faut savoir que le manga yaoi est un genre qui parle de relations amoureuse et sexuelles entre hommes à destination d’un public féminin. L’amour décrit dans ce genre n’a rien à voir avec les histoires souvent niaises que l’on peut trouver du côté hétéro. Le jeu de séduction y est plus court pour passer assez rapidement au plus profond du sujet. Rumi, l’héroïne a force de lecture et de visionnage d’animés à une vision assez déformée du monde réel. Tout est vue à travers le prisme de l’homosexualité masculine. Forcément cela amène à des situations assez improbables surtout quand un garçon lui fait du charme. Une histoire assez singulière qui tranche avec ce que l’on peut lire. Par contre, cela ne donne pas une image très valorisante des fujoshis (fan de yaoi). En tout cas, vous passerez un bon moment dans cet univers singulier otakette versus non otakette/otaku. Vous serez pris au dépourvu par cet humour décalé parlant des premiers amours et des gens à part. Natsumi Konjoh propose un dialogue simple, dynamique et efficace donnant un rythme assez ténu à ce premier tome. Que va-t-elle nous réserver pour la suite ?

A peu près toutes les nuances de la drague, mais sans sexe visible et sans profondeur de sentiment?..!

Takahiro est nouveau dans le lycée et en pince pour Rumi. Seulement, la jeune fille s’imagine une romance torride entre lui et Shunsuke, le garçon le plus populaire du lycée. Et Takahiro a beau lui avouer ses sentiments, rien n’y fait. Le quatuor rencontré dans ce premier tome est très drôle et prend en pitié les deux garçons, devenus la véritable obsession de ces otakettes hystériques.Un premier tome très drôle qui m’a un peu perdue avec toutes les notions de fandom. (Otakette, Otaku, Moe, Yaoi, étant les plus simples et bien d’autres qui viennent en veux-tu en voilà !)

Je me demande encore ce qui a bien pu me pousser à choisir ce manga dans ma médiathèque.

Le dessin n’est franchement pas transcendant et les personnages sont agaçants.



Rumi est lourde. Elle est certainement très gentille mais elle est vraiment très lourde. J’avoue être moi même une très grande shippeuse de couples improbables dans les séries mais elle atteint un niveau que je ne pensais jamais voir.



J’ai largement préféré les garçons qui sont des caricatures sur pattes.

Takahiro est un loser et Shunsuke jour à merveille le rôle du séducteur.



Les quiproquos sont sympathiques au départ mais finissent par tourner en rond tellement Rumi s’obstine à ne pas voir ses erreurs. Au bout d’un moment, il serait quand même temps qu’elle ouvre les yeux.



En revanche, le récit est parsemé de clins d’œil plus ou moins subtils qui font référence au genre et qui sont parfois très drôles.
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Ca fait plusieurs mois que j’ai lu le tome précédent. Il m’a fallut un peu de temps pour remettre un nom sur chaque personnage. Les deux héroïnes me rappellent des amies. Je les trouve attendrissantes. C’est un manga à lire avec le cerveau en mode off. Les personnages secondaires prennent une place plus importante. Momose s’impose comme un élément essentiel de l’histoire. La romance avance à pas de limace.

Je crois que je ne suis pas dans une bonne disposition pour lire ce manga. Vu que c’est une amie qui m’a offert les premiers tomes, je vais donc lire la série en entière. J’aimais bien le concept d’une histoire d’amour avec des fans de Yaoi. Mais tout est très prévisible, trop ! Il y a juste le baiser entre Abe et Chiba qui pimente un peu l’histoire. Momose devient la grande méchante de l’histoire. La partie yaoi disparaît peu à peu pour laisser place à la romance et aux problèmes bien plus réels des adolescents.

La fin de la série approche comme le montre ce tome. J’ai un peu rit en voyant les personnages faire face aux examens, le cauchemar des étudiants. Voir la passion des deux jeunes filles pour une série est mignon. On voit les conséquences sur elle, mais pas le contenu de leur projet. Un couple fait un grand bon en avant, alors que l’autre fait du sur place. Momose n’évolue pas, donc pas très intéressant. Un autre personnage refait son apparition, pour mon grand plaisir. Tout se concentre sur les sentiments. Tout suit son petit bout de chemin. Pour ma part, ce n’est pas un grand succès.

La série se termine et ça ne me fait ni chaud ni froid. L’exclusion temporaire d’Abe a pris fin. C’est mignon de voir ses retrouvailles avec Rumi. Leur relation commence vraiment à être lourde. Momose a le droit à un Happy End. C’est bien pour le personnage, mais ne me fait pas pour autant l’apprécier. Il y a très peu d’humour ou de décor dans ce tome. Si j’avais aimé les derniers tomes, je pourrais me sentir frustrée par la fin. Elle laisse plein de questions et ne permet pas de s’imaginer la suite des relations.

Tout simplement génial ! Je me suis marrée du début jusqu'à la fin, en plus on apprend plein de truc (bon, j'en connaissais déjà pas mal maaaiiis…).

Bref.



Moi aussi je suis pourrie !!

Il n'y a pas que des jeunes femmes qui lisent des manga yaoi, comme le montre le personnage de Tsukamoto. L'histoire n'avance pas beaucoup. Cela en devient frustrant. Ce sentiment est renforcé, par le caractère extrêmement naïf des personnages. Asai et Matsui se rapprochent. Plusieurs pages sont consacrées au changement d'uniforme. Bref, il n'y a rien de bien nouveau, en dehors de Tsukamoto et ses sentiments.

J'ai adoré la série !!!!! J'ai lu la série d'un coup !! Au se dis qu'ils sont vraiment coincés, qu'ils sont parfois idiot mais je n'ai pu m'empêcher d'éclater de rire la plupart du temps tellement certaines scènes sont comiques. Il faut par contre être plus âgé que 10 et demi au moins pour lire ce manga car quelques rare scène peuvent choqué.

Otaku girls est donc une histoire d'amour assez compliqué vu que 3 des héros sont attirés par la même fille. Les 4 héros sont donc Abe Takahiro, Chiba Shunsuke, Matsui Yasuko et enfin Asai Rumi. Abe est attiré dès le début tandis que pour Chiba ça a l'air d'être surtout pour ennuyer Abe qu'il est attiré par Asai. Et enfin Matsui qui a surtout l'air d'être la meilleure amie d'Asai mais qui n'hésite pas à l'embrasser sans raison particulière ... De son côté, Asai ne comprend pas très bien ce qu'il se passe et ne voit pas pourquoi quelqu'un serait attiré par elle.



L'histoire est amusante et j'ai pu bien rire plusieurs fois. Cela dit il faut quand même connaitre un tout petit peu les mangas pour bien entrer dans le jeu. Les personnages ont chacuns une bonne personnalités et il n'y en a aucun que je n'ai pas aimé. J'ai un petit faible pour Matsui, qui avec son langage cru et son amour pour les mangas (et les yaoi) me fait penser à moi-même (en plus jolie).



Le dessins de l'auteur est super (c'est un style que j'adore) et les faces des personnages sont très expressives. On dirait presque des smileys par moment. On peut aussi retrouver pas mal de privates jokes pour les amateurs de mangas.



En bref, un manga que j'ai adore, je suis impatiente d'avoir la suite. Je crois que je le relirais juste pour m'amuser et je le conseille à mes amis dingues de japonaiseries.
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Tout aurait pu commencer comme un Shôjo classique : Takahiro Abe est secrètement amoureux de l’innocente et naïve Rumi Asai. Seulement voilà, Rumi est une Fujoshi : une fan de yaoi, des histoires d’amour entre deux garçons, et ses fantasmes dépassent bien trop souvent la réalité. Un soir, après son cours d’art plastique, la jeune fille surprend Abe et son meilleur ami, Chiba en train de chahuter. Son esprit d’otakette s’emballe : Chiba et Abe vivent un amour brimé digne de ses mangas favoris. Et comme si ce n’était pas assez, elle ne cesse de les encourager à exposer leur amour au grand jour. Le pauvre Abe voit ses chances de conquérir l’adolescente s’envoler. Encouragé par Chiba et Matsui, une autre otakette, Abe va tenter de percer le secret des Fujoshi pour conquérir le cœur de la jolie Rumi.



Edité par Doki-Doki, ce manga de Natsumi Konjoh est une bouffée d’air frais. Dès les premières pages, le ton est donné : il faudra compter sur un humour décalé et décapant. On sourit des quiproquos, on se moque ouvertement d’Abe. Les dialogues sont simples, efficaces et reflètent bien la réalité. L’auteur a su retranscrire avec brio la vie d’un groupe de quatre adolescents vivant dans le monde d’aujourd’hui. Ajoutez à cela des dessins expressifs et superbement réalisés, et vous obtenez un manga complètement déjanté.



Parodiant gentiment les fans de Yaoi, le mélange Shôjo et Seinen saura plaire aussi bien aux garçons qu’à un public féminin. Natsumi Konjoh surprend en écrivant, avec Otaku Girls, un manga destiné à un plus large public alors que l’auteur était une habituée des mangas adultes. Il convient pourtant de préciser que, sans être vulgaire, le langage, parfois un peu cru, pourrait choquer les plus jeunes.



Avec le début des vacances et l’arrivée du soleil, je vous conseille vraiment ce roman qui vous surprendra grâce à son scénario brillant. De plus, pas besoin d’attendre pour connaître le dénouement de l’histoire, le septième et dernier tome est sorti depuis mars de cette année. Une bonne raison de vous laisser tenter !


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Rumi est une jeune lycéenne qui, au lieu de s'intéresser aux garçons de son école, préfère se plonger dans les mangas. Véritable otaku (fan obsessionnel de manga, de jeux vidéos et d'animés japonais), elle se passionne particulièrement pour les mangas Yaoi (qui mettent en scène des amours entre garçons destinés à un public féminin) et finit par voir des homos partout. Surprenant une scène portant à confusion, elle est persuadée que Chiba, le play-boy du lycée, entretient une relation amoureuse avec Takahiro, son meilleur ami.

Le seul problème est que Takahiro est amoureux de Rumi et cherche tant bien que mal à lui faire comprendre. Il accepte de poser pour ses séances de dessins, espérant ainsi passer du temps avec elle. Mais c'est sans compter Chiba, qui commence à s'intéresser à Rumi et la belle Matsui qui en pince pour ce dernier...

Bref il s'agit ici d'une comédie romantique faite de quiproquos, d'humour et d'amours adolescentes.

Rumi, complètement emportée dans ses délires d'otaku est une caricature assez drôle de ces fanatiques qui voient la vie comme un manga. Takahiro le romantique est un gros looser qui se plie aux caprices de la belle et s'emmêle les pinceaux quant il s'agit de séduction alors que Chiba, poursuivi par toutes les filles de l'école, tourne tout en dérision.



Un manga classique dans ses dessins et sa narration mais assez réjouissant pour son traitement original et humoristique d'un sujet qui passionnera les afficionnados !

A réserver aux avertis, donc !
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