Alors, quand son téléphone vibra doucement sur le lit, l’écran s’illuminant pour montrer le selfie de Thomas qui l’enlaçait gentiment, alors qu’ils étaient emmitouflés dans leurs écharpes et manteaux en sortant de chez Éric, et qui remplaçait l’éternel fond noir…A ce moment-là seulement, Théo se demanda ce qu’il devait ressentir à l’idée de tout ceci.
Ou plutôt, ce qu’il voulait ressentir.
C’est compliqué, avait-il dit à l’homme.
Il n’y avait rien de plus faux. Ni de plus vrai.