Où qu’on pose le regard, on trouve des bactéries. Bien que ces créatures unicellulaires soient si petites qu’on ne peut en distinguer les individus qu’au moyen d’un microscope, leur poids collectif excède celui de tous les animaux et plantes réunis. Il y a dix fois plus de bactéries dans votre corps que de cellules. Elles se trouvent en majeure partie dans votre intestin et sur votre peau.
On découvre fréquemment de nouvelles associations, ce qui fait du dépistage génétique un moyen toujours plus efficace d’entrevoir l’avenir. Devrions-nous savoir comment nous pourrions mourir ? Et, sur le plan sociétal, les assureurs, les gestionnaires de régimes de retraite ou les employeurs devraient-ils avoir accès à cette information ?