Nationalité : France
Né(e) à : Rio de Janeiro , 1985
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Né(e) à : Rio de Janeiro , 1985
Biographie :
Nicolaï Pinheiro est un scénariste et dessinateur de BD. Né au sein d'une famille franco-brésilienne, il vit au Brésil jusqu'à l'âge de dix-huit ans.
Il arrive à Montpellier, le temps de faire des études d’Arts Plastiques et de publier sa première BD, "1907, les vendanges rouges" en 2007.
Arrivé à Paris en 2008, il diversifie ses activités d’illustrateur, tout en poursuivant son travail dans la bande dessinée : il collabore régulièrement au mensuel humoristique Psikopat et publie un triptyque d’albums d’aventure aux Éditions Clair de Lune.
En 2012 sort "Venise", un roman graphique noir, dont il signe le scénario et le dessin. "La drôle de vie de Bibow Bradley" (2016) d’après le roman de Axl Cendres est sa première BD.
En plus de la bande dessinée, il travaille comme storyboarder dans l’animation, comme professeur de dessin et comme illustrateur sur différents supports, ayant notamment participé à la création de spectacles de son et lumière projetés dans plusieurs pays.
+ Voir plusNicolaï Pinheiro est un scénariste et dessinateur de BD. Né au sein d'une famille franco-brésilienne, il vit au Brésil jusqu'à l'âge de dix-huit ans.
Il arrive à Montpellier, le temps de faire des études d’Arts Plastiques et de publier sa première BD, "1907, les vendanges rouges" en 2007.
Arrivé à Paris en 2008, il diversifie ses activités d’illustrateur, tout en poursuivant son travail dans la bande dessinée : il collabore régulièrement au mensuel humoristique Psikopat et publie un triptyque d’albums d’aventure aux Éditions Clair de Lune.
En 2012 sort "Venise", un roman graphique noir, dont il signe le scénario et le dessin. "La drôle de vie de Bibow Bradley" (2016) d’après le roman de Axl Cendres est sa première BD.
En plus de la bande dessinée, il travaille comme storyboarder dans l’animation, comme professeur de dessin et comme illustrateur sur différents supports, ayant notamment participé à la création de spectacles de son et lumière projetés dans plusieurs pays.
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La drogue c'est comme une femme. Elle ne te pardonnera pas si tu dépasses la mesure avec elle.
Le courage se reconnaît à la guerre, la sagesse à la vie, l'amitié au besoin.
Après la pluie, le soleil. Ça ça ne change pas. Mais, et le temps, Ivo ? À quel moment tu t’es dit que le temps pouvait être de ton côté finalement ? Que tout n’était pas perdu, malgré les apparences ? Que tu pouvais peut-être jouer avec lui ? Peut-être même, va savoir, le battre à son propre jeu ? À quel moment, Ivo, tu t’es mis à courir après le soleil ?
Venise, c'est la capitale de l'humidité.
Puisque personne ne vous comprend jamais vraiment, autant être avec quelqu'un qui ne vous comprend pas du tout. ça évite les malentendus. (p.64)
Des soladats américains, j'en ai dézingués à la pelle. Certaines fois, j'ai même pas attendu qu'on tombe sur des viets.
L'absurdité de la situation s'était imposée à moi, comme une révélation. Rien ne justifiait qu'on tue les uns plutôt que les autres.
On était tous venus ici se faire buter, alors, je me disais, qu'on en finisse. (p.45)
L'absurdité de la situation s'était imposée à moi, comme une révélation. Rien ne justifiait qu'on tue les uns plutôt que les autres.
On était tous venus ici se faire buter, alors, je me disais, qu'on en finisse. (p.45)
J'ai su longtemps plus tard qu'elle avait été la fin du lieutenant Chadwick. Comme beaucoup d'autres gars, une fois la guerre finie, il a pété les plombs. Il s'est fait sauter le caisson le lendemain de son retour aux USA.
Il y a des gens qui font la guerre pour la paix.
Et puis il y a ceux qui font la guerre pour la guerre. (p.39)
Il y a des gens qui font la guerre pour la paix.
Et puis il y a ceux qui font la guerre pour la guerre. (p.39)
« je sais pas, j’avais l’impression qu’il y avait tout le temps un… comme un danger qui rôdait, autour de nous […] t’as pas senti ça ? Comme si à tout instant ça pouvait basculer » (Fabio à Joanna)
Si tout le monde est prêt à mourir pour quelque chose, personne n'est prêt à souffrir pour toujours. (p.86)
Un fils, c’est un peu comme une explosion dans ta vie. Un truc qui t’arrive et que tu contrôles pas.
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