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Critiques de Nicolas Domenach (11)
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"Sarkozy, le petit de Gaulle. On a eu Napoléon le petit. Eh bien là, on aura de Gaulle, le petit."

François Hollande.





Un Sarkozy brut de décoffrage, par Nicolas Domenach et Maurice Szafran, hors micro.





H.B le preneur d'otages de la maternelle de Neuilly:

Sarkozy a vu 8, 9 fois seul, le terroriste armé, et a reçu une médaille du RAID...

Il a eu peur, mais il a des castagnettes, selon lui, pas comme Alain Juppé, toujours selon lui.





Il aime se dresser sur ses ergots (1,68 m), quand il lance, protégé par ses gardes du corps:

" Descends de là, si tu es un homme " à un pêcheur du Guilvinec ou à un homme qui refuse de lui serrer la main:

"Casse toi, pauvre con!"

Sarkozy ne maîtrise pas toujours le petit Nicolas...





2005, enterrement de J.M Gaillard, un ami:

Sarkozy immobile, avec ses Ray Ban aviateur, dans une chaleur infernale( lui qui bouge tout le temps) nous joue une scène du "Parrain",

malgré la sueur qui lui coule dans le cou..





Jacques Chirac:

"Je ne l'ai jamais considéré comme mon père, je ne suis pas fou. Il m'aimait bien parce que j'étais un zélé serviteur. Mais ça me faisait chier de changer des virgules, dans des textes sans idées."

Chira dira:

" Sarkozy ? Il faut marcher dessus, ça porte bonheur!"

Quand Sarkozy est monté dans sa voiture, il s'enfonçait, s'enfonçait, disparaissait presque. On ne voyait de lui que son nez, les sièges n'étaient pas rehaussés.





Bernadette Chirac:

Elle fut incapable de contenir le tremblement des ses mains, et renversa son thé, en entendant parler du "renégat", du Belzébuth à deux cornes. Ses yeux se voilaient, sa voix devenait sourde et grondante, comme si elle arrachait une douleur de ses entrailles...

-Nicolas Sarkozy a touché à mon honneur, je me vengerai!." , à cause des accusations de fraude sur son héritage lancées, pendant la campagne présidentielle. De vraies hommes puantes, de la part de Sarkozy.

"C'est un médiocre, il n'en vaut pas la peine... C'est un voyou, un petit voyou!"





Cécilia :

Ma chérie, mon amour...

Mon chéri, mon amour ( toujours?)

Besoin de se respirer, de se toucher, de jurer leur amour publiquement ( tout juste si ce n'était pas fait par un crieur public!) , comme des ados...

Love story revendiquée, assumée et ...instrumentalisée ! Vous connaissez la suite :-))

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Macron, pourquoi tant de haine !

Enquete très intéressante, donnant tous les actes, paroles, décisions qui ont rendu impopulaire ce petit homme. Mais il soulève surtout tant de questions sur notre propre démocratie, car à lui seul, il cumule tous les errements et les dangers que permet notre démocratie : comment un seul être peut à ce point décider du mal qu'il fait - à ce point franchir le Rubicon. Constitution et institutions aidantes, et surtout combien de temps encore le peut-il tranquillement sans aucun contre-pouvoir. Il nous montre (trop) régulièrement les limites de ce qui était sensé nous protéger. Macron serait-il un serpent, sans colonne vertébrale, animal à sang froid ? Ce qui justifierait que ça ne passe pas (plus !) : le serpent qui tente d'infantiliser pour mieux manipuler quand il ne détruit pas l'Eden tout simplement, c'en est fini - si ça a seulement commencé. C'est acté : c'est la fin de son lien avec notre modèle de démocratie et d'avec son peuple : on a compris le venin : il y a overdose. P. Besson écrira : "il fallait une boussole, on a une girouette". Vraiment ? Et si c'était tout le contraire ? Il semble que le détricotage, même avant la Présidence, de ce qui fait notre pays, ses valeurs, son "modèle" est plutôt une constance, une envie, une volonté, une idéologie même : c'est de l'ordre du dogmatisme - et c'est là le danger, l'aveuglement. On est en pleine incurie d. Qui est-il pour se permettre d'ainsi tout détruire au fil des semaines ? Quand décide-t-on d'être le plus mauvais des Présidents ? Pas seulement le plus impopulaire, mais le plus détesté, provoquant une envie folle et collective de le voir démissionner (enfin !). Quand décide-t-on qu'appauvrir sa population sera un acte politique de premier choix ? Quand rêve-t-on que sa propre légitimité repose sur la seule violence policière et que le mensonge à outrance sera la méthode exemplaire ? A force de faire du vent (ruineux le vent de surcroît), on en arrive à faire préférer le bruit des casseroles. Du jamais vu ! Quand se dit-on "je serai le visage du mépris et de l'injustice" ? L'Histoire ne pardonnera pas, et ce sera fondamentalement légitime. C'est tout cela que tente d'expliquer cet essai. Franchement : quand il en arrive à nous faire regretter d'autres Présidents, c'est qu'il est urgent qu'il s'en aille, lui et toute sa clique d'indigents et d'intriguants brutaux et incompétents. Les Hommes d'honneur savent la beauté du geste, ce n'est pas donné à tout le monde a priori. La crasse politique peut guider tout un quinquennat. Pire : deux. Effroyables années politiques : si cela pouvait amener à un mieux... Il paraît qu'on a les hommes politiques qu'on mérite ! CQFD. Qui sommes-nous pour laisse faire ? La faiblesse d'un peuple se jauge à l'autoritarisme de sa gouvernance. On comprend mieux la facilité avec laquelle certains régimes ont pu s'installer...
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Macron, pourquoi tant de haine !

Il faut en principe se méfier de ces livres politiques de circonstances écrits par des journalistes, que personne n'aura plus l'idée de lire dans cinq ans (pour être optimiste). Seuls sont plus dépourvus d'intérêt les ouvrages d'hommes politiques, surtout en période électorale.

J'ai cependant été attiré par le titre du livre de Safran, qui reprend une question que je me suis moi-même longtemps posée. Pourquoi tant de détestation en effet pour un homme dont la politique, bilan fait, n'est pas pire que beaucoup, et se révèle même meilleure que certaines.

Cette haine est sans exemple dans l'histoire de la République, et il faut remonter aux derniers jours de l'Ancien Régime, à Louis XVI qui d'ailleurs n'en méritait pas tant, pour en trouver l'équivalent. Parallèle intéressant puisque certains des ennemis les plus enragés de notre Président l'ont fait avec leurs guillotines de carton.

Hélas le livre n'apporte pas de réponse vraiment nouvelle, autre que les oppositions classiques some where - Nowhere, enracinés -mondialises, français périphériques -bobos des centre-villes - et, ce qui pourrait tout résumer, pauvres contre riches : mais qui ne résume pas tout. On ne hait pas les proverbiaux "grands patrons du CAC 40" comme on hait Macron. Car il y a un "plus". le en-meme temps ? Les célèbres "petites phrases", d'autant plus maladroites que certaines semblent renvoyer au fameux "Qu'ils mangent de la brioche !" (,que la pauvre Marie-Antoinette n'a d'ailleurs jamais dit)?

Oui, il y a quelque chose des haines révolutionnaires, aussi injustes et " en même temps" aussi justes.

" Puissiez-vous vivre des temps interessants !" est, dit-on, une vieille malédiction chinoise.

Je me laisse emporter par le plaisir de filer la métaphore et ne crois pas que nous en soyons là car le monde a changé depuis les temps révolutionnaires. Cependant je pense que l'on tient un principe explicatif.

Les auteurs, qui ne sont pas sans bienveillance à l'égard de l'objet de leur étude, lui font cependant un reproche injustifié : selon eux, le premier confinement n'aurait été qu'un palliatif au nombre insuffisant de lit de réanimation. Ils oublient que lesdits lits ne sont souvent que l'antichambre de la mort ou d'une diminution irrémédiable, et que le confinement a justement évité des placements en réanimation. Mais plus loin ils le louent d'avoir acquis les compétences d'un epidemiologiste par ses lectures. le compliment peut paraître excessif. Et cela montre à quel point il est difficile, non pas de se faire une opinion sur ce diable d'homme mais de s'y tenir longtemps.

C'est en tout cas ce qu'il en est pour moi, même si j'oscille seulement entre l'approbation mitigée et l'énervement caractérisé.

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Macron, pourquoi tant de haine !

Dans ce livre, Szafran et Domanach épinglent Pascal Praud. Alors lettre à Pascal Praud :



J'en profite pour vous saluer chaleureusement. Il est probable que sans vous, je regarderais moins la télé.

Dans votre chronique du soir, vous avez mis l'accent sur cette maternité d'un hôpital de Marioupol littéralement soufflée par une bombe. Il me semble juste avant avoir entendu sur votre canal que cette opération militaire avait fait quelques blessés ; et vous avez demandé à vos invités de commenter ces images qui selon vous s'imposaient d'elles-mêmes. On vous a repris sur la fiabilité de vos sources, vous avez laissé entendre puisque ça circule en boucle, c'est péremptoire, ce sont les russes ; le ton monte et la réprobation de vos propos s'installe.



Je sais bien que vous n'avez pas l'expérience des guerres, mais je vous rapporte ceci qui vous invitera je pense à en apprendre sur les guerres



Alors moi je suis allé vérifier sur les canaux russes. La maternité a été vidée au préalable par les nationalistes. Des mitrailleuses ont été postées sur les toits. Dans la résidence toute proche, des chars nationalistes se planquaient prêts à intervenir, technique de guerre que de se planquer à l'ombre des civils. Et dans la foulée, le Président Zilenski s'est fendu d'un tweet disant que ce n'est plus possible, qu'il lui faut des renforts dans les airs pour contrer l'offensive russe ..(avec images à l'appui)



L'information, c'est comme les oreilles, ça se nettoie. Il est pertinent me semble-t-il pour avoir une information convenable de recueillir sans cesse les versions des deux côtés, oui puisqu'il y a deux protagonistes dans cette affaire. La chose la plus naturelle, me semble-t-il est d'aller vérifier auprès du belligérant concerné si c'est lui qui a fait ça et si on n'a pas maquillé cet épisode dans le seul but de désinformer.



Merci de votre attention Pascal Praud, bon vent. Avec toute ma sympathie. PG
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Macron, pourquoi tant de haine !

Macron pourquoi tant de haine ? est peut-être un essai plus accessible que Le traître et le néant. Les journalistes s’attardent à présenter le quinquennat Macron face aux remous sanitaires et à la fracture sociale des gilets jaunes ; de façon claire avec une argumentation précise et factuelle.



Ici pas de citation, pas d’interview de membres de gouvernement ou de témoins de la vie politique, c’est uniquement un portrait du président et de ses actes. On y apprend son parcours inédit et on revient sur les différentes polémiques qui dressent une personnalité atypique dans le champ politique de ces dernières décennies.



Pour un bon résumé de ces cinq dernières années au niveau politique intérieure comme internationale, tournez vous vers celui-ci.
Lien : https://topobiblioteca.fr/
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Les histoires vraies des coucheries de nos hommes politiques... Autant l'idée de savoir que par désir, un roi est prêt à créer une religion, comme Anne Boylen a inspiré l'anglicanisme, est fascinant autant les libidos de nos dirigeants sans autre conséquences que celle que l'on connait déjà (proximité avec le monde journalistique, les conflits d'intérêts, détournements de fonds et autres corruptions) n'est pas franchement captivant !
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"Off", dans le jargon journalistique, désigne ces moments où le reporter éteint son magnétophone pour une plus grande complicité, pour permettre des explications ou autres avec son interviewé. Plus généralement il s'agit de tous ces instants de vies partagés, de fait, entre deux personnes, dont on ne trouve trace dans les journaux ou reportages.

Alors pourquoi, se demande-t-on, un tel ouvrage, qui semble plutôt faire provocation ?



Notons d'abord que le sujet n'est pas des plus anodins: Nicolas Sarkozy, président de France, en fin de quinquennat.

Et le sous titre explicite: ce qu'il n'aurait jamais dû nous dire..."Nous" : il s'agit de deux journalistes-écrivains connus et reconnus dans le monde du journalisme politique, Maurice Szafran, PDG du journal Marianne, et Nicolas Domenach, son acolyte à Marianne et journaliste à l'Edition Spéciale et sur I-télé.



Ils nous décrivent un Nicolas Sarkozy rencontré il y a des années, jeune, alors que sa loyauté oscillait entre Jacques Chirac et Edouard Balladur, bravant les erreurs de jugement dignement, s'accrochant toujours à une ambition qui aurait paru à beaucoup démesurée. Nicolas Sarkozy n'a rien de l'énarque ou de l'aristocrate dont la figure est beaucoup plus courante dans la scène politique française. Sa jeunesse reste un peu floue, entre bohème et bourgeoisie.

Mais il s'agit aussi et surtout du portrait d'un homme d'affect, plus que de raison : qu'il s'agisse d'élans d'affection ou de colère, rien n'est, ou ne semble mesuré. Mais qui est finalement cet homme politique au tempérament exubérant, parlant sèchement, parfois même vulgairement, mais maniant des discours politiques non moins efficaces?

Certains épisodes laissent le lecteur mal à l'aise tant le président semble y être dévoilé, qu'il s'agisse de sa rupture avec Cécilia, ou de son remariage avec Carla Bruni...

Les deux auteurs n'avaient pas en tête de faire un (autre) livre de politique, mais de parler de psychologie, et de ses conséquences (mais là le lecteur est laissé libre de les appréhender sur la gestion d'un pays, les deux auteurs ne faisant pas le pont eux-mêmes entre les faits relatés et les conséquences sur le fonctionnement de notre vie politique).

Reste que beaucoup des débordements ici relatés demeurent connus des caméras et ont beaucoup tournés sur nos divers écrans (exemple le plus facile, le fameux "casse toi pauv' con" lancé à un agriculteur qui refusait de lui serrer la main).

Mais l'on pourra aussi s'interroger sur cette autre question: où, dans notre époque, et plus précisément dans notre monde occidental, se situe encore la délimitation entre le privé et le public?

Qu'est-ce que ce "off" devenu publiable, si ce n'est peut être la rupture de cette digue, qui délimitait ces deux domaines?

A une époque où explosent dans les médias les émissions de télé réalité, où les réseaux sociaux sont à leurs sommets (facebook, twiter...), on ne peut que se demander: Nicolas Sarkozy, exception ou symptôme? Est-il responsable d’avoir entraîné le monde politique dans certaines des dérives de la bulle médiatique de son époque ? On ne manquera pas pourtant de se rappeler que ce sont les président Pompidou et surtout Giscard qui, les premiers, ont fait entrer les caméras dans leur vie privée.

Les auteurs croient à l'exception de ce personnage hors normes, dans ses forces comme dans ses faiblesses. On ne saura jamais vraiment ce qui relevait de la maîtrise ou de la perte de contrôle dans ces moments secrets qui constituent la matière de ce livre.



Pour conclure, nous emprunterons la réponse du philosophe Emmanuel Kant (Qu'est ce que les Lumières?) sur la distinction entre les libertés de l'homme représentant une fonction et celles de l'individu: si l'usage public de la parole et de l'opinion est bien le chemin des Lumières, son usage dans le cadre d'un fonction étatique doit être clairement limité pour ne pas nuire à cette même liberté.



Et il y a fort à parier que cette nuance entre "fonction" et individu" ne s'estompe de plus en plus dans les années à venir...



Un livre sans détours, qui a le courage de soulever cette question.



Léa Breton

Emma Breton
Lien : http://www.madamedub.com
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Livre passionnant sur une personne, plus, un personnage qu’est monsieur Sarkozy. Il s’agit de quelqu’un pour qui je n’ai pas forcément de la sympathie, et dans le caractère et surtout sa manière de se prendre pour...
Lien : http://djbeltounes.wordpress..
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Marianne fut le premier journal politique à poser en toutes lettres la question du psychisme d’un homme politique puis d’un président de la République. La démarche divise encore aujourd’hui.



Ceux familiers des plumes de Maurice Szafran et Nicolas Domenach ne seront pas dépaysés. « OFF » brosse le même portrait de Nicolas Sarkozy que dans les colonnes de l’hebdomadaire. Un sanguin calculateur capable d’allier la vulgarité et une habileté politique de premier ordre, un tribun, meilleur plaideur de sa propre cause, mais peut-être son propre pire ennemi. Comme chaque fois que le héros est omniprésent, c’est parmi les adjuvants et les opposants qu’il faut chercher le sel de l’histoire. Ici, les rencontres avec Cécilia, Bernadette Chirac ou Dominique de Villepin.



La surprise de l’ouvrage vient moins du récit que des conteurs, qui révèlent à dessein leurs recettes. Une cuisine que d’aucun jugeront peu ragoutante, mais qui reste effectivement éclairante sur les rapports entre journalistes et politiques. Les auteurs expliquent leur démarche dans les première pages : « Nous sommes des cambrioleurs de sens et d’âme (…). Nous nous voulons gentlemen cambrioleurs qui procédons avec délicatesse civilité. Nous savons que les coupures de presse cicatrisent difficilement et que l’homme politique qui prétend avoir le cuir épais est en fait un hypersensible qui prend une égratignure pour une atteinte à sa dignité. » Ils assument la part de rapprochement puis de trahison qui constituent ce processus.



Reste à savoir si la somme des trahison dont résulte l’ouvrage vaut vraiment la peine. Posant (une fois encore ?) le débat des connivences entre journalistes et hommes politiques, tout se passe comme si Nicolas Sarkozy forçait chacun à prendre parti. Aucune alternative entre la retranscription de parole publique et le déballage privé. Il est des questions auxquelles on n’a jamais fini de répondre.



(A mon sens, « OFF » est à mettre en parallèle avec M. le Président, de Franz-Olivier Giesbert. A quand une critique croisée ?)



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Macron, pourquoi tant de haine !

Une chronique qui aurait pu s'intituler "le Président de la République et la mort" tant cette thématique est davantage abordée que celui de la haine suscitée par le Président Macron. Écrit dans le contexte de la pandémie, cet essai décrit comment le pouvoir exécutif a traversé cette crise d'envergure sans en percevoir la dimension historique inédite pour la société française du XXIème siècle.



Si certaines réflexions sont pertinentes, j'ai trouvé le récit globalement peu intéressant et souvent répétitif, notamment pour qui a pu lire d'autres ouvrages du genre (je pense notamment au Traître et Néant de Davet et Lhomme, qui m'a laissé un souvenir plus marquant dans sa description du spectre politique du macronisme). On apprend finalement peu de choses, et ce ne sont pas les entretiens "exclusifs" du Président, d'une dizaine de pages, qui viennent donner de la substance au récit.
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Livre écrit par deux journalistes de Marianne sur les petites phrases du président de la république en exercice, de son ancienne épouse, de ministre au détour de petits-déjeuners, déjeuners, conversations téléphoniques ou autres.



Si j'avais des doutes quant à l'importance de la presse dans la sphère politique française, avec ce livre, mes doutes se sont estompés.



Il y a bien un quatrième pouvoir en France, comme aux Etas-Unis : la presse.
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