Nationalité : France
Né(e) le : 30/07/1979
Ajouter des informations
Né(e) le : 30/07/1979
Biographie :
Enfance heureuse, à peu près. Nicolas découvre en même temps l’amour, la lecture, l’écriture, la montagne, et l’apnée.
Inspiré par Prévert, Hugo, Apollinaire, Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé, Verlaine, puis plus tard par André Velter, Antonin Artaud, Yves Bonnefoy, René Char, André du Bouchet, Paul Éluard, Henri Michaux, Bernard Noël, Pablo Picasso, Joë Bousquet, Bernard Chambaz, Abdelhak Serhane, Michel Thion, et d’autres, il écrit des centaines de poèmes pendant plus de 10 ans, parfois au sommet des montagnes.
Vers l’âge de 25 ans, il découvre la solitude, ainsi que d’autres formes que l’écriture poétique (quoi que) : Virginie Despentes, Christian Bobin, Marguerite Duras, Pascal Quignard, Dominique Sampiero, Emmanuelle Pagano, Brigitte Giraud, Olivier Adam, Atiq Rahimi, Muriel Barbery, Valentine Goby, etc. Puis vers l’âge de 30 ans, des auteurs américains. Et un peu plus tard, d’autres auteurs liés au yoga et au développement personnel. Et encore un peu plus tard, d’autres auteurs de séries télé toutes plus addictives les unes que les autres.
Entre 2006 et 2010, Nicolas Fougerousse crée les Éditions Alphabet de l’espace. Seront publiés trois livres + dvd d’André Velter, de Brigitte Giraud, de Dominique Sampiero, et un premier livre de Pascale Arguedas.
Dans la vraie vie, il exerce différents métiers : technicien, aide moniteur-éducateur, commercial, consultant-formateur, rédacteur web, créateur de sites web, etc.
Et parce qu’il ne fait pas de séparation entre le corps et l’esprit : 20 ans de randonnée alpine, 10 ans d’escalade, et en Apnée dynamique monopalme (piscine), la 5ème performance mondiale aux Championnats du monde AIDA 2015, et en 2016 la meilleure performance de France FFESSM en bassin de 25m.
« Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes » est son premier roman.
+ Voir plusEnfance heureuse, à peu près. Nicolas découvre en même temps l’amour, la lecture, l’écriture, la montagne, et l’apnée.
Inspiré par Prévert, Hugo, Apollinaire, Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé, Verlaine, puis plus tard par André Velter, Antonin Artaud, Yves Bonnefoy, René Char, André du Bouchet, Paul Éluard, Henri Michaux, Bernard Noël, Pablo Picasso, Joë Bousquet, Bernard Chambaz, Abdelhak Serhane, Michel Thion, et d’autres, il écrit des centaines de poèmes pendant plus de 10 ans, parfois au sommet des montagnes.
Vers l’âge de 25 ans, il découvre la solitude, ainsi que d’autres formes que l’écriture poétique (quoi que) : Virginie Despentes, Christian Bobin, Marguerite Duras, Pascal Quignard, Dominique Sampiero, Emmanuelle Pagano, Brigitte Giraud, Olivier Adam, Atiq Rahimi, Muriel Barbery, Valentine Goby, etc. Puis vers l’âge de 30 ans, des auteurs américains. Et un peu plus tard, d’autres auteurs liés au yoga et au développement personnel. Et encore un peu plus tard, d’autres auteurs de séries télé toutes plus addictives les unes que les autres.
Entre 2006 et 2010, Nicolas Fougerousse crée les Éditions Alphabet de l’espace. Seront publiés trois livres + dvd d’André Velter, de Brigitte Giraud, de Dominique Sampiero, et un premier livre de Pascale Arguedas.
Dans la vraie vie, il exerce différents métiers : technicien, aide moniteur-éducateur, commercial, consultant-formateur, rédacteur web, créateur de sites web, etc.
Et parce qu’il ne fait pas de séparation entre le corps et l’esprit : 20 ans de randonnée alpine, 10 ans d’escalade, et en Apnée dynamique monopalme (piscine), la 5ème performance mondiale aux Championnats du monde AIDA 2015, et en 2016 la meilleure performance de France FFESSM en bassin de 25m.
« Celle qui écrivait des poèmes au sommet des montagnes » est son premier roman.
Ajouter des informations
étiquettes
Citations et extraits (29)
Voir plus
Ajouter une citation
Vivre en vous n'est pas une paix
C'est une lumière
Aimer en vous n'est écrire la joie
C'est la vivre
C'est une lumière
Aimer en vous n'est écrire la joie
C'est la vivre
Elle avait 16 ans : une nouvelle vie commençait. D’emblée, ses professeurs l’avaient trouvée d’une maturité exceptionnelle pour son âge. Curieuse de tout, elle apprenait vite, et bien. Les premiers mois se passèrent comme elle en avait l’habitude : prendre ses repères, se faire de nouveaux amis, découvrir de nouvelles activités, participer à la vie culturelle de l’école. Elle était dans sa zone de confort, malgré la solitude. Car elle aimait être seule. Une première et une terminale S l’avaient amenée naturellement à poursuivre dans la même voie scientifique à l’université quelques années plus tard. C’est à cette époque qu’elle se forgea une « identité sexuelle » à contre-courant de ce qui lui avait été inculqué au lycée.
Quand elles parlaient de leur projet et de leurs destinations, des amis, pourtant proches, n’hésitaient plus à affirmer haut et fort leur sentiment presque raciste à l’endroit de certains états, notamment ceux du Maghreb. Peur, intolérance, incapacité à se mettre à la place de l’autre, les deux amantes n’en revenaient pas. En regardant de plus près, aucune de leur connaissance n’était français ou française « pure souche ». Il suffisait souvent de remonter à trois, voire deux générations pour s’apercevoir que les plus sceptiques étaient également issus de l’immigration.
Elle savait que les mots ne suffisaient pas, et jamais ne suffiraient à exprimer ce qu'elle ressentait dans ces instants. Pour elle, le cinéma était la parfaite équation de son amour pour les livres, de son amour pour les gens, et de son amour pour la musique : des mots mis en scène, des acteurs assoiffés de vie, des notes qui d'un coup la remplissaient d'une énergie incroyablement forte. Elle voyait peu de films, lisait peu de livres, mais ceux vus, ceux lus, ceux aimés, l'étaient éternellement.
Il ne faut pas plus de temps pour vivre, mais il faut vivre plus intensément le temps que l'on a.
Vous avez pris de ma chair ce qu'il y avait de plus tendre. Je vais laisser dans votre sang des mots. Oui, dans votre sang, j'écrirai des poèmes au sommet des montagnes.
. La sédentarisation des gens n’était que très récente, au regard de l’histoire. Que ferait-on des populations océaniques fuyant la montée des eaux à cause du changement climatique provoqué par les pays les plus riches ? Que ferait-on des familles fuyant les régimes oppressifs pour la sécurité de leurs enfants ? Et que ferait-on tout simplement de ces hommes et de ces femmes qui partent pour un ailleurs économique qu’ils espèrent meilleur?.
Elle aimait, elle était aimée en retour, et inversement. La vie dans ses veines ressemblait à s'y méprendre aux couleurs de l'arc-en-ciel, au détail prêt que les teintes de ce dernier étaient féroces, violentes, crues, originelles. À quelques mois du départ, c'est à l'origine du monde qu'elle remontait, l'origine sanguine de son monde à elle pour lequel n'avait existé qu’une seule personne à ses yeux lorsqu’elle n’était qu’une enfant : son père.
Un livre. C’était un livre. Un livre de poche. Le prix avait été recouvert d’une gommette noire. Il retourna l’objet, regarda à peine la couverture, l’ouvrit, à la recherche d’un mot, d’une feuille, de quelque chose. Instinctivement, il porta le livre à son nez. Seulement l’odeur du papier neuf, rien de plus. Il le referma, puis lut le titre :
Les Quatre Accords toltèques, d’un certain Don Miguel Ruiz, avec pour sous-titre La voie de la liberté personnelle.
— Qu’est-ce que c’est encore que ce truc ? pensa tout haut Marcus.
Il retourna encore le livre, puis lut le résumé au dos. « Encore un de ces livres qui vous expliquent comment être heureux », se dit-il. Il reprit l’enveloppe kraft à moitié déchirée, regarda à l’intérieur. Un petit carré de papier était resté au fond.
C’EST LE TROISIÈME ET DERNIER MOT.
Les Quatre Accords toltèques, d’un certain Don Miguel Ruiz, avec pour sous-titre La voie de la liberté personnelle.
— Qu’est-ce que c’est encore que ce truc ? pensa tout haut Marcus.
Il retourna encore le livre, puis lut le résumé au dos. « Encore un de ces livres qui vous expliquent comment être heureux », se dit-il. Il reprit l’enveloppe kraft à moitié déchirée, regarda à l’intérieur. Un petit carré de papier était resté au fond.
C’EST LE TROISIÈME ET DERNIER MOT.
Je me suis laissé surprendre assez rapidement dans l'histoire. Il y a longtemps qu'un livre ne m'avait pas transporté ainsi. J'ai aimé suivre les personnages dans ces lieux familiers comme Paris, Annecy, ou encore imaginer les Dolomites que je ne connais pas. Beaucoup d'émotions avec l'intrigue et je dois aussi faire remarquer que c'est la première fois qu'un livre a transformé ma santé avec des notions de développement personnel. J'en ai adopté l'un des conseils. Merci infiniment
Acheter les livres de cet auteur sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Auteurs proches de Nicolas Fougerousse
Quiz
Voir plus
Cendrillon (pièce de théâtre de Joël Pommerat)
Dans quel type de maison habitent la belle-mère de Sandra et ses deux filles ?
Une maison en acier
Une maison en bois
Une maison en paille
Une maison en verre
12 questions
95 lecteurs ont répondu
Thème : Cendrillon de
Joël PommeratCréer un quiz sur cet auteur95 lecteurs ont répondu