Au bout du compte, tout ce qu'il reste de nous, ce sont nos possessions. Sans doute est ce pour cela que je n'ai jamais rien pu jeter. Sans doute est ce pour cela que j'ai accumulé le monde : avec l'espoir qu'à ma mort, la somme totale de mes possessions évoquerait une vie plus vaste que celle que j'ai vécue.