Booktrailer de PLUS JAMAIS SEULS, le double spin-off de DIS-MOI POURQUOI et NOS AMOURS IMPOSSIBLES.
Je vais m'attirer les foudres.
Mais que je n'ai pas aimé.
Oh que c'était long ,niais , et du pure eau de rose....
Romantique à souhait .
Ennuyeux à pleurer.
Longuet à aller se faire 10 cafés entre deux pages.
Non , vraiment je n'ai pas aimé. Je ne suis pas pour ce type de livre.
J'ai beaucoup de mal avec des romans tirés par les cheveux.
Des histoires d'amour qui ressemblent aux séries navrantes " Santa Barbara ou les feux de l'amour " ..
Un premier amour qui habite à l'autre bout de la planète, mais qui s'aiment à la folie. ..."
Mes excuses pour les 6 autres critiques et lecteurs qui ont apprécié cet ouvrage.
Ce n'est que mon ressenti de petite lectrice qui doit sans doute faire preuve de plus de largesse d'esprit hein !
— J’ai fait beaucoup d’erreurs…, murmuré-je, honteux.
— On en fait tous, tu sais. Pour la simple et bonne raison qu’on est tous imparfaits. Tu as fait des bêtises, certes, mais tu t’es ressaisi, et désormais, tu t’efforces de marcher sur le droit chemin. Et ça, c’est la preuve que tu es quelqu’un de bien.
Il y a des gens qui nous touchent plus que d’autres, sans doute parce que, sans que nous le sachions nous-mêmes, ils portent en eux une partie de ce qui nous manque.
Lorsqu'une heure plus tard, elle monta sur la terrasse, elle fut tellement subjuguée par la vue qu'elle en eut le souffle coupé. Devant elle s'élevaient les fameuses arènes de Vérone, éclairées par des spots qui mettaient en valeur leurs vieux murs de pierre. [...] Ici, dans la ville des deux amants malheureux, elle ressentait un mélange de tristesse et d'espoir. Tristesse de n'avoir pas pu vivre pleinement leur belle histoire, qui n'avait duré qu'un infime instant. Espoir que tout cela serait bientôt terminé.
— Ça me manquait.
— Quoi ?
— De te voir sourire.
Après tout, ce n'était pas de l'attirance qu'il ressentait pour elle, mais de la pitié, ni plus ni moins, sans comprendre exactement pourquoi. Elle lui faisait de la peine, et il aurait aimé faire quelque chose pour elle, pour la soulager dans sa tristesse. Et puis, il se sentait un peu seul, lui aussi.
Je m’appelle Marie, et je suis votre mère. Je souhaite que vous soyez heureux, que vous construisiez votre vie aux côtés de la personne que vous aimez, et qui vous aimera tout autant en retour. Que vous fondiez une famille. Que vos foyers soient remplis de rires, de joie, et surtout d’amour.

Paul sourit, et Camille ne put s'empêcher de le trouver charmant.
- Quand il me parlait de sa rencontre avec ma grand-mère, mon grand-père disait toujours : "Ça ne se commande pas ces choses-là". Je n'avais jamais compris ce qu'il voulait dire jusqu'à ce que vous entriez dans ma chambre, il y a exactement 6 semaines. Je sortais à peine de toutes ces opérations, j'étais plein d'hématomes, et pourtant j'ai tout oublié dès l'instant où je vous ai vue. Et puis ensuite, j'ai eu l'occasion de vous observer. Non seulement vous êtes très belle, mais vous êtes douce, patiente, gentille, aimable, polie, serviable...
- Arrêtez! le coupa Camille, qui était écarlate. Ça suffit!
- Désolé, murmura Paul.
Camille posa la main sur la poignée de la porte. Avant de sortir, elle se retourna. Paul la regardait toujours de son regard triste. Elle prit une grande inspiration avant de lui poser la question qui lui brûlait les lèvres.
- Pourquoi dites-vous que vous n'avez aucune chance?
De nouveau, il eut ce petit rire ironique.
- Vous m'avez regardé? Je comprends que vous ne vouliez pas d'un handicapé comme moi, qui ne peut même pas bouger d'un millimètre sans risquer la paralysie!
- Vous voyez, vous ne me connaissez pas! répliqua-t-elle, fâchée, en se rapprochant de lui. Je vais vous dire le fond de ma pensée : non seulement rien ne sera possible entre nous pour la simple et bonne raison que je suis infirmière dans ce service et que vous êtes mon patient - je ne pense pas que ce soit autorisé niveau ethnique - mais en plus, et surtout, je ne voudrais absolument pas d'un homme qui dit des bêtises aussi énormes et qui n'arrête pas de se plaindre de son sort! Il y a pire que vous, vous savez! Vous deviez vous estimer encore heureux d'être encore en vie!
Sur ces mots, elle sortie de la chambre, laissant un Paul totalement ébahi par sa réponse.
Après avoir longtemps hésité et tergiversé, je me décide aujourd’hui à prendre une feuille et un stylo pour vous écrire. Cela me paraît étrange d’écrire à un inconnu. Ne pas savoir qui va lire mes lignes est assez terrifiant – ce qui l’est d’autant plus, pour être franche, c’est d’imaginer qui pourrait les lire. Pourtant, lorsque j’ai lu cette annonce, dans le journal, au mois de décembre, qui proposait de correspondre avec un détenu, j’ai trouvé l’idée excellente, et je me suis tout de suite sentie poussée à participer à cette action. Mais maintenant que je suis devant le fait accompli, je suis stressée et je doute que ma démarche soit judicieuse.

- Sans l'aide de ton frère, nous ne nous en sortirons pas. Nous avons donc demandé à Darko ce qu'il en pensait et la solution qu'il propose me semble être judicieuse.
Depuis que Milo n'est plus là, Darko a comme qui dirait pris sa place. Or, ce n'est pas le fils de mes parents ni mon frère. Il n'a aucune autorité sur moi. Je le défie du regard, bien décidée à ne pas le laisser s'immiscer aussi facilement dans notre vie de famille. Je refuse qu'il manipule mes parents de la sorte. Mais venant de lui, ça ne m'étonne même pas. C'est comme une seconde nature de manœuvrer pour obtenir gain de cause. Je me tourne vers mon père, attendant la suite.
- Nous allons te marier.
Mon sang se glace. Pas de façon imagée, non, pour de vrai. Une vague de froid me parcourt de part en part. Je ne respire plus. Mon cœur s'est arrêté de battre, lui aussi, pour ce que j'en sais. Je suis choquée. Vraiment. Je ne m'attendais pas à cette annonce radicale.