Citations de Noely N. (30)
- Je suis désolé mon ange, tellement désolé de t'avoir abandonnée, de ne pas t'avoir protégée, de ne pas t'avoir dit au revoir. J'aurais dû croire plus en toi, te dire mille et une fois que j'avais foi en toi, que tu étais toute ma vie, que j'aurais mis le monde à tes pieds. Si tu savais comme je suis en manque de toi et aucun traitement ne pourra jamais soigner cette addiction. Ta peau, ton odeur, tes caresses, ton rire, tout ceci n'existe désormais plus que dans ma mémoire. Mais malgré toute cette douleur que je traine, je sais qu'un jour, oui un jour, nous nous retrouverons. J'ignore où, quand et comment, mais ça arrivera. Et à ce moment-là, toute cette peine en moi sera effacée pour de bon,.
Je peux sentir sa souffrance comme un parfum qui se serait invité en moi. La douleur a une fragrance qui prend aux tripes.
Plus il s'intéresse à ma vie et moins je m'intéresse à la sienne.
Je finis mon verre cul sec pour me donner du courage. Une semaine avec un mec qui sort de taule...... ça va le faire ça va le faire. La méthode Coué semble être le meilleur moyen de m'en convaincre. Gwen Salut le frérot avant qu'alan nous présente enfin monsieur Prison Break. Crâne rasé à la militaire t-shirt bleu marine avec une tête de mort blanche dessus jeans noir et rangers de la même couleur. Pas de piercing ni de tatouage apparent et une gueule d'ange. Incroyable on lui donnerait le bon dieu sans confession avec ses pupilles vertes,tendres et sa petite barbe de trois jours et une mâchoire carrée offrant une bouche pulpeuse. Il est un peu plus mate de peau qu'alan et est vraiment beau gosse.
Dommage qu'il est cette dégaine,putain il fait vraiment taulard.
- Comment pourrais-je aimer une autre femme comme je t'ai aimée toi ? Cassandra, tu es l'amour de ma vie, mon âme sœur. Et même si tu t'en es allée, dans mon cœur, tu vis toujours et nous sommes heureux.
Tu as été et tu resteras toujours la femme de ma vie, peu importe combien de vies nous séparent.
Je pense que depuis que Cassy nous a quittés, j'ai vécu bien plus de souffrances que n'importe qui. Et la culpabilité de ne pas être parvenu à la sauver est un fardeau que je trainerai jusqu’à mon dernier souffle.
- J'aime la cocaïne, l’héroïne, Stephen. Tous ces trucs qui rendent accro. Bien plus accro que toi.
Le manque est plus fort que ma raison. Je penche ma tête vers l'avant et cale le bout du billet roulé sur le début de mon rail. Une inspiration et me voilà partie loin. Ailleurs. dans une autre réalité.
Stephen ne pourrait pas comprendre. Il est tellement parfait et il croit en moi. Sauf que je ne crois absolument pas au sevrage. J'ai essayé, vraiment essayé pour lui. Mais la douleur était trop forte, le manque également. Je ne peux pas lui parler de ça, il ne connait pas ce monde. C'est beaucoup trop sombre pour un cœur aussi pur que le sien.
Mon ange noir m'a brisé en millions de morceaux. Jamais je n'oublierai cette dispute.
- Mais John, c'est Cassy qui se drogue, elle qui sniffe de la cocaïne. Et lui, il croit en son amour si parfait. Tu parles d'un amour pur, aussi pur qu'un rail de coke qu'elle s'envoie !
Il y a des réveils qui marquent plus que d'autres. Avec Cassy, j'ai eu droit à des réveils chaotiques, des réveils où elle pleurait, criait, tremblait, mais le pire, ce fut le matin où elle n'était plus là.
Bon, OK, si j'ai appris quelque chose en côtoyant Cassy, c'est que moins tu en demandes, mieux c'est. En gros, pour savoir quelque chose à son sujet, mieux vaut ne pas poser de questions et attendre qu'elle fasse le premier pas. Miss Favretti est une éternelle gosse. Elle aime l'interdit et s'y jette constamment tout entière. Une fois que l'on comprend ça, alors il est possible de nouer des liens avec elle. Maintenant que j'ai saisi ça, je peux dire que notre relation démarre bien. Enfin... relation est un bien grand mot.
- Je vais te faire du mal. - Pourquoi ? - Parce que c'est ce que je fais de mieux.
- Espèce de con... Mais sinon, qu'est ce qu'elle aime dans la vie ? - Toi, répond-il comme si ça coulait de source. - T'es naze. Pour son anniversaire, elle m'a invité, il faut que je lui achète un cadeau ! - Enroule un joli ruban sur ta bite, elle sera ravie.
- Écoute ma cocotte, que tu sois en zone rouge ou que tu sois frustrée sexuellement ne te permet pas de t'en prendre à tout le monde comme ça.
J’aimais la vie, lui la mort. Je voulais mourir, lui me sauver. Bien qu’une existence ne soit pas grand-chose, la mort, elle, n’est rien du tout. Et ma rencontre avec Milan était tout ce dont j’avais besoin pour continuer à vivre.
— Milan, que fais-tu ici ? Enfin, je veux dire… à cette heure-ci ?
— Je… Je voulais changer de destination.
— Mais pour aller où ?
— Dans le passé.
— Je suis Milan Bontella, ma poule.
Ma poule… Non, mais l’autre ! Il s’entend parler au moins ?