Kaoru Ochiai

Fin du XVIIIe siècle. Rose Tascher de la Pagerie est une jeune fille très aimante qui vit avec sa famille sur l'île de la Martinique. Elle passe de bons moments avec son petit Agathon et ses soeurs. Quand elle a seize ans, elle est envoyée à Paris pour se marier au vicompte de Beauharnais. Mais la vie auprès de son mari, dans la grande ville de Paris, n'a rien à voir avec celle sans attraves dans les îles...

J'avais envie d'en savoir plus sur cette Joséphine qui est devenue impératrice. J'ai hésité à me lancer dans une nouvelle série mais en savoir plus sur cette femme, sur cette époque me faisait très envie. Sur les îles, les nobles s'installent pour profiter de la belle vie, ils ont des domestiques à leur service. Bien racontée la vie de Joséphine dans ce shojo bien documentée par Yumiko Igarashi. Une romance biographique qui se lit facilement même si parfois, les jeunes filles se confondent avec leurs coiffures de l'époque. Joséphine, encore nommée Rose, est effarée de la vie parisienne, son mari n'est pas aussi agréable qu'il le montre en public. On est loin de l'image de couverture mais on sait à quoi s'attendre.

Très prenant, j'attends impatiemment la suite de cette romance même si je connais les grandes lignes !

L'Histoire est belle mais cruelle... L'auteur avait laissé Joséphine alors que Napoléon partait batailler en Italie. Le temps passe plus vite dans ce tome, c'est bien d'une conclusion qu'il s'agit là. Il ne faut pas oublier qu'elle va obtenir son titre d'impératrice... J'ai aimé connaitre l'histoire de Joséphine mais aussi à travers elle, celle de Napoléon Bonaparte et les divers agissements politiques pour arriver à rester au pouvoir, l'amour n'a que peu de possibilités de se révolter dans ce cas-là. La France de la fin du XIXe siècle est très dure ! J'ai envie d'en savoir plus, je chercherais d'autres ouvrages mais ce shojo historique est une bonne manière de connaitre cette époque (mais il a peut-être des approximations aussi).

Ce troisième tome est centrée sur Rose et Napoleone Di Bonaparte qui font faire connaissance. L'Histoire de France reste en fond mais on voit surtout le rapprochement progressif entre ces deux personnages. J'ai aimé apprendre ce aspect plus romantique de l'histoire. Je ne sais pas dans quelle mesure, la narration de Ochiai Kaoru est fidèle à l'Histoire mais c'est très agréable à lire même si on dirait que Joséphine est encore une toute jeune fille avec ses yeux qui brillent toujours... Le quatrième et dernière tome cloturera cette série.

Joséphine retourne en Martinique avec sa fille Hortense pour voir sa famille alors que son garçon Eugène reste avec son père. Les retrouvailles sont dures mais intenses. Pendant ce temps, à Paris, la tension monte, des personnes sont arrêtées, des têtes sont coupées, c'est la Révolution Française...

Ce second tome est plus sombre que le précédent, le passé qui rattrape Joséphine, les complots, les arrestations, on fait connaissance avec Saint-Just ... et même un personnage célèbre ! Le dessin fait très fille avec les cheveux bouclés des dames et parfois jeunes garçons, les yeux grands, profonds et pétillants qui donnent des personnages à l'apparence délicate et très sensibles.

A suivre bien évidemment, redécouvrir l'histoire de cette façon ne manque pas d'intérêt !

Après Cesare, je continue dans la veine des mangas historiques avec Joséphine donc.

Laissez moi vous dire que nous sommes dans un style assez différent, cette fois c'est vraiment du shojo, j'ai l'impression de revoir Georgie (pour celles et ceux qui ont connu...): des coiffures et des robes vaporeuses, une petite fille débordante de vitalité et complètement inconsciente des conventions sociales, mais avec un cœur très généreux.



Alors si certains fait historiques sont exacts, je ne sais pas trop quelle place accorder à d'autres... les détails ne correspondent pas toujours: la sœur de Joséphine vient de décéder quand la demande en mariage des Beauharnais arrive et elle remplace sa sœur... L'abbaye de Penthemont où elle trouve refuge lors de sa séparation d'avec son premier mari est présentée comme un lieu de débauche et de plaisir... Les infidélités des maris nobles sont présentées comme monnaie courante mais celles de leurs femme également ce qui était moins vrai, ou du moins moins affiché. Quand aux rapports entre les classe sociales, aux protestations du peuple face aux excès de la cours, à la montée de la révolution, ils sont évoqués de façon très succincte.



Et l'histoire est menée tambour battant, ce qui fait qu'on n'en oublie un peu les sentiments que le lecteur devrait ressentir: le décès de la sœur de Joséphine est réglé en trois pages du début de sa maladie à son terme... de toute façon les personnages secondaires sont assez effacés et on n'avait eu que peu d'occasion de la voir apparaître, et aucune de s'attacher.

Joséphine, ou du moins Rose puisque c'est encore sous ce nom qu'elle est connue, parait parfois bien écervelée et futile, puis à d'autre plus profonde...



Les dessins par contre sont assez jolis et j'avoue que j'ai été tentée par la couverture qui réinterprète la scène du couronnement de David en version manga.



Je ne sais pas si je continuerai cette série, bien qu'elle ne soit qu'en quatre volume, ou peut être à cause de çà justement... le sujet étant traité trop rapidement, sans réel profondeur ni exactitude.

Martinique, 1773. Une jeune fille court dans la campagne, vit au soleil, avec ses deux soeurs et ses parents. La famille est noble, mais les moeurs dans les îles sont plus relâchées, et la jeune Rose vit en harmonie avec les domestiques. Elle apprécie tout particulièrement le petit Agathon, fils bâtard de son père et de la responsable des domestiques, de six ans son cadet. Les enfants jouent au soleil et vivent heureux, tout en rêvant de Paris où l’on fait, dit-on, des fêtes somptueuses dans des tenues de rêve. Les jeunes filles, pourtant, grandissent, et on entend bientôt parler de demande en mariage, de la part d’Alexandre de Beauharnais. La jeune Rose doit donc quitter son île pour un interminable voyage vers la France. Mais avec elle, elle emmène le petit Agathon, qui ne devra jamais la quitter ni se départir de son dévouement et de son attachement à sa jeune maîtresse. Et voici comment arriva à Paris celle qui deviendra, des années plus tard, Joséphine, épouse de Napoléon Ier et impératrice des Français.



Je dois avouer que j’étais sceptique: pourquoi faut-il que ce soient des auteurs japonais qui mettent en lumière l’histoire de France? Mais bon. Mettons notre rigueur historique et chauvine de côté et savourons ce petit manga joliment romancé. Toute l’histoire est racontée du point de vue d’Agathon, ce témoin anonyme au regard innocent, dans l’ombre de la grande histoire future. Tout est fait pour faire de lui un oublié: le fils bâtard du maître de maison avec un domestique a donc des liens du sang avec ces nobles dont il observe le train de vie avec curiosité. C’est touchant de le voir passer de compagnon de jeu à domestique lui-même, et c’est un crève-coeur de voir cet enfant aux joues rondes et aux boucles fournies se mettre à appeler Rose “madame” et lui rappeler qu’elle ne doit pas être trop familière avec lui.

C’est aussi très intéressant de suivre son avis sur la société noble dont le caractère corseté est exacerbé dès qu’il débarque à Paris. En effet, avant même son mariage, le futur époux fait preuve de son infidélité et l’amour ne semble que bien peu compatible avec le mariage pour ces gens de la haute. Y a-t-il un couple qui ne soit pas artificiel? Le fossé entre les classes, que l’origine insulaire de Rose tendait à réduire, se creuse de façon très cruelle. Ce manga réussit donc à poser quelques questions et ne se contente pas de dresser un portrait touchant à la Sissi Impératrice, même si on en est parfois pas loin.

Pour ce qui est de Rose, la future impératrice, et de son histoire, il faut avouer que l’auteur a su retrouver des petits détails romanesques et les exploiter, comme le fait que son prénom d’impératrice lui ait été donné par Napoléon et ne soit pas celui qu’on lui donnait dans sa jeunesse, ou encore cette fameuse voyante qui lui prédit qu’elle deviendra “plus qu’une reine”. L’ensemble a un petit côté romance historique douce et florale, accentué par les dessins qui ont la candeur des animés de notre enfance, ressemblant beaucoup à Candy par exemple.

Un quatrième volume qui clôt cette série qui nous présentait Joséphine de Beauharnais, femme de Napoléon. Ce dernier volume est égal aux précédents. On assiste enfin au sacre de Napoléon. Joséphine devient impératrice, ainsi qu'on le lui avait prédit lorsqu'elle était enfant. Mais là s'arrête le conte de fées. Napoléon est toujours en campagne, ils se voient très peu. Joséphine s'ennuie loin de lui et les cadeaux qu'il lui envoie quotidiennent ne font que l'encombrer mais ne soulagent pas sa tristesse. Et puis il faut compter sur sa belle-mère qui ne l'aime vraiment pas, la trouvant trop vieille pour son fils. Et d'ailleurs, elle arrivera à ses fins puisque les époux décideront de se séparer afin que Napoléon ait une chance d'avoir un héritier qu'elle ne peut lui donner (sur les dessins elle semble toujours avoir 15 ans alors qu'elle a la quarantaine).



Donc, un manga en quatre volumes dont je ne sais réellement que penser car l'histoire a été vraiment beaucoup modifiée afin de coller à l'esprit "shojo", c'est-à-dire romantisme à souhait, amour absolu et sens du devoir et de l'honneur. Ca se lit facilement mais il ne faudrait pas le prendre comme un manga historique...
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J'ai bien aimé les tomes 1 et 2 de cette histoire mais là on s'éloigne de plus en plus de la réalité.. l'auteur réinvente l'Histoire de France à sa sauce et nous brosse le portrait d'un Napoléon niais et ridicule dans son amour pour Joséphine... j’achèterai le tome 4 pour finir la collection mais je suis de moins en moins convaincue

Rose apprend la mort de sa sœur cadette et décide de retourner en Martinique avec sa fille, pour se recueillir sur sa tombe et revoir ses parents. Eugène et Agathon restent en France, avec Alexandre.

La révolution française éclate alors qu'elle est toujours dans sa famille et elle rentre en France en catastrophe afin de retrouver ses proches.

Son mari est arrêté et, en voulant le faire libérer, elle se fait conduire également en prison, où elle retrouve Alexandre et fait la connaissance d'une jeune fille, Thérésia Cabarrus.

Rose vit en Martinique avec sa famille, jusqu'à ce que la famille d'un jeune noble, Alexandre de Beauharnais, lui fasse parvenir une demande en mariage.

Elle quitte alors son île et entreprend la traversée de deux mois vers la France avec son demi-frère, Agathon, fils de son père et d'une esclave. Sa belle-famille l'accueille chaleureusement, mais son beau mari ne l'aime pas et la trompe plus ou moins discrètement avec plusieurs femmes, allant jusqu'à partir en Martinique avec l'une d'elle.

Rose, abandonnée avec ses deux enfants, s'installe avec son beau-père après avoir séjourné dans un couvent, dans lequel elle a appris ... l'art d'être une femme fatale.

A la fin de ce premier tome, Rose n'a pas encore changé de prénom, elle n'a pas non plus rencontré l'homme qui l'aimera plus que tout et attend que les promesses de la voyante se concrétisent: elle doit devenir "plus qu'une reine".

Les dessins sont superbes et l'histoire captivante. Rose a vraiment eu un destin hors du commun..

Manga très agréable à lire, acheté au musée du Luxembourg après la visite de la superbe expo consacrée à Joséphine (jusqu'au 29 juin 2014)

Vie passionnée et intense, j'ai hâte de lire les 3 suivants pour voir de quelle manière ils décrivent l'évolution de Rose rebaptisée Joséphine par Bonaparte.

On poursuit les aventures de Josephine sous la révolution avec le personnage d'Agathon un peu plus au devant de la scène. Ce deuxième tome m'a moins plu, j'attends la suite qui devrait davantage me plaire avec l'arrivée du général Bonaparte dans la vie de Josephine.

Manga très agréable a lire. On est loin d'un livre historique documenté mais on prend plaisir a découvrir en détails la vie de l'impératrice Josephine de la Martinique a Paris. J'ai hâte de découvrir le tome deux.

Je tiens tout d'abord à remercier Babelio et les Editions Pika pour m'avoir envoyé ce superbe manga !



Yumiko Igarashi voue un culte à Joséphine, la femme de l'empereur Napoléon Bonaparte. C'est dans une saga de 4 volets qu'elle décide alors de nous raconter la vie de cette femme qui passa d'une famille noble mais pauvre au statut d'impératrice.



Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de Rose en Martinique, dans les années 1760. Intrépide, énergique et grande combattante des injustices, la jeune Rose s'épanouit auprès de ses deux petites sœurs et de son ami Agathon et vit une enfance paisible en Martinique. Mais quand le malheur frappe sa famille, elle est envoyée dans un couvent afin de parfaire son éducation et de lui apprendre à se plier aux règles. Des années plus tard, Rose s'en va pour Paris, ville de ses rêves, afin de se marier. Elle espère bien réaliser le destin que lui a prédit une voyante. Un destin "plus grand que celui d'une reine"...



Mise en scène par Yumiko Igarashi et scénarisé par Kaoru Ochiai, Joséphine Impératrice est une saga de mangas de quatre tomes. Publié aux Editions Pika, ce premier tome d'environ 200 pages se lit à la manière traditionnelle des mangas, ce qui m'a un peu décontenancée au départ car je ne suis pas grande lectrice de manga. Après un petit temps d'adaptation, j'ai fini par dévorer cette histoire.



Nous sommes dans les années précédant la révolution. Notre héroïne se nomme Rose. C'est un personnage adorable, qui rêve beaucoup mais doit faire face à ses désillusions. Elle est magnifiquement bien dessinée et je me suis très rapidement attachée à elle. Elle est intrépide dans sa jeunesse et devient une femme au grand cœur.

Un autre personnage secondaire que nous suivons durant tout le livre, il s'agit d'Agathon, l'ami d'enfance de Rose, qui l'accompagnera partout où elle ira. J'ai beaucoup aimé ce personnage, tellement dévoué à sa maîtresse, qu'il aime d'un amour sincère. Il vit dans l'ombre, agit toujours dans l'intérêt de Rose : C'est un cœur pur, une vraie perle !



L'histoire m'a totalement envoûtée, autant que les dessins que j'ai trouvés sublime. Ce premier tome stoppe au début de la révolution et j'ai découvert avec émerveillement, teinté de tristesse, les premières années de vie de la future Joséphine, un personnage historique que je connais peu. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et j'ai trimbalé le manga partout avec moi jusqu'à l'avoir fini. Je l'ai littéralement dévoré et je vous le recommande fortement !



Bonus à la fin du manga où l’auteure nous raconte son séjour à Paris.



Conclusion



Ce manga historique est tout simplement un ravissement, autant au niveau des dessins qui sont sublimes, mais aussi au niveau de l'histoire, palpitante et tumultueuse, qui raconte la vie de Joséphine l'Impératrice. Si vous ne connaissez pas ce personnage historique, je vous recommande chaudement ce premier tome d'une saga de quatre, qui saura parfaire vos lacunes historiques de manière agréable.

J'ai dévoré ce manga et je le recommande à tous, pour un public à partir de 13/14 ans !
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Je me suis laissée tenter par ce manga en tête de gondole parce que j'aime bien les BD historiques et je connais très peu la période de Napoléon, je me suis dit que ça serait un premier pas pour en connaître un peu plus. Comme dans tous les mangas de ce genre écrits par des japonais, les dessins nous présentent des personnages féminins très beaux, très romantiques, très "shojo", assez loin de ce qu'on a l'habitude de voir en France.



L'histoire commence par l'enfance de l'héroïne, qui, étrangement s'appellera Rose pendant tout le récit (sauf une exception où le narrateur l'appelle Joséphine et on se demande d'où ça sort). Le narrateur est le fils de la servante de la maison, il s'appelle Agathon et est en quelques sorte le meilleur ami de Roe, même s'il est plus jeune qu'elle. Rose est une jeune fille passionnée, espiègle, qui n'hésite pas à se ridiculiser pour aider les gens dans la misère. Lorsqu'elle apprend qu'elle doit se marier avec le beau et jeune Vicomte de Beauharnais, elle est surexcitée, surtout qu'elle rêve depuis toujours d'aller vive à Paris, elle qui vient de Martinique.



Mais la déception est grande une fois que son mariage prend effet : Le Vicomte a une maîtresse, comme toute personne de la haute société qui se respecte, et Joséphine n'a guère que ses deux enfants avec qui s'occuper. Mais quand son mari la rejette définitivement, Joséphine décide de se reprendre en main et intègre un étrange couvent où les pensionnaires vont lui apprendre à séduire les riches parisiens.



Un manga sympathique à lire mais pas palpitant non plus. Ce manga est un peu trop naïf, un peu trop petite fille. C'est un peu le risque lorsqu'un manga shojo reprend les grands personnages de l'histoire. J'attend la suite pour me faire un véritable avis. Mais lorsqu'on sait que la série ne comprendra que 4 tomes, c'est encourageant, et je peux dire avec certitude que je lirai les trois suivants!


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Ce quatrième et dernier volume débute par le mariage de Joséphine et Napoléon.

On a ensuite de longues pages sur les victoires de Napoléon en Italie et ses relations avec sa femme.

Ce volume m'a semblé moins intéressant, avec les différentes campagnes du général.

La mort de Joséphine est très rapide, et on ne sait presque rien du second mariage de Napoléon et de son exil; j'aurais aimé aussi avoir plus de nouvelles d'Aimée, la cousine de Joséphine.

Rose a été libérée et est partie retrouver son amie Thérésia, qui l'introduit dans la société mondaine post-révolutionnaire.

C'est dans le salon de son amie que Rose va faire la connaissance d'un petit militaire anonyme au nom étranger: Napoleone Buonaparte.

Agathon va favoriser leur relation par sympathie pour Napoléon, qu'il a croisé dans le volume 2 et qui lui avait donné un conseil judicieux; c'est lui aussi qui va se débrouiller pour subvenir aux besoins de sa maîtresse et de ses enfants en attendant des jours meilleurs.

Rose ne se rend compte de rien; le personnage d'Agathon est vraiment très attachant et débrouillard.

J'ai maintenant envie de connaître la fin de cette saga, je viens de commander le volume 4 (le dernier). Il va me falloir attendre un peu pour le lire; j'espère qu'il sera à la hauteur de mes attentes...

Et voici le quatrième et dernier volume de la série manga Joséphine Impératrice, de Yumiko Igarashi et Kaoru Ochiai, publié par les Editions Pika et vendu à 7,50€. Une série manga qui avait commencé par un coup de cœur et qui est allé en décroissant dans mon appréciation. Je suis ressortie très mitigée de ce dernier tome. J’ai trouvé le personnage de Bonaparte stupide et celui de Joséphine agaçant. Seul Agathon remonte le niveau. J’ai cependant apprécié les révélations proposées par l’auteur.



J’aurais eu plaisir à lire cette série manga mais je ne pense pas en garder un très grand souvenir…
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La série se conclue [...] avec cet ultime volume qui n'aura aucunement été une lecture pénible, loin de là, c'est juste que parfois le filtre Shojo est un peu trop présent, qu'il aurait pu être intéressant de travailler tout les personnages avec la même exigence !
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La couverture est somptueuse. Toujours sur un fond de toile peinte de la révolution française et de jolis dessins manga retraçant Joséphine ornent merveilleusement bien cette couverture et nous avons hâte de nous plonger dans l’histoire.



Nous sommes très heureux de retourner auprès de Joséphine et de voir un évènement tant attendu depuis la fin du tome précédent.

Nous sommes heureux de voir que ce moment se passe bien, mais nous attendons de voir comment vas réagir notre héroïne face à une chose qu’elle ne s’attendait pas à entendre. Nous sommes un peu tristes pour elle par la suite à cause de ça.

Nous nous angoissons quand nous voyons que deux personnes proches d’elle vont partir pendant des mois.

Par la suite, nous sommes choqués de voir des personnes être aussi odieuses envers Joséphine et à vrai dire, ça nous énerve beaucoup, car nous sommes tellement pris dans l’histoire que c’est comme si nous vivions au temps de la révolution française.

Ce qui est plaisant, c’est que nous voyions évoluer tous nos personnages dans leur vie et c’est un manga vraiment complet qui retrace toute la vie de Joséphine, ses enfants, son frère et aussi celle de Napoléon. Nous sommes plus pris dans ce genre d’histoire via un manga que sur des livres d’histoire de l’école. C’est plus attrayant et nous apprenons beaucoup de choses.

Mais revenons-en à l’histoire.

Nous voyons Joséphine s’épanouir dans sa vie, mais par la suite, l’angoisse va refaire son retour et nous sommes assez triste pour elle.

Ses proches sont de moins en moins présents, jusqu’au jour où un drame survient. La tristesse vient terminer cette histoire, mais nous réalisons que dans les quatre tomes que comportent cette saga, la vie de Joséphine a été retracée de sa naissance à sa mort et cela nous fait vraiment plaisir.





Est-ce que j’ai aimé ce livre ?





Ce fut une très belle lecture ! Ce tome est pour moi le meilleur de toute la saga et j’ai pris beaucoup de plaisir à connaître la vie de Joséphine. Moi qui n’aimais pas l’histoire, je peux vous avouer que je pense lire beaucoup de romans et livres documentaires retraçant l’histoire France.

Si un de vos enfants à du mal avec l’histoire, cette saga va lui donner envie de se plonger dedans. C’est vraiment un coup de cœur pour moi !


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