Car Isidor se contrefoutait du parti aussi bien que de la fréquentation de l’église. À présent, il lui fallait beaucoup de temps pour réfléchir, se remémorer Ruth, lire, apprendre l’allemand, écrire des lettres, collectionner des timbres, contempler sa lucarne et pressentir, tout doucement, paresseusement, l’ordre de l’univers.