AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.29/5 (sur 33 notes)

Nationalité : Irlande
Né(e) à : Elphin, Comté de Roscommon , le 10/11/1728
Mort(e) à : Londres , le 04/04/1774
Biographie :

Oliver Goldsmith est un romancier, poète, dramaturge et essayiste irlandais.

Après des études de théologie, il étudie la médecine à Édimbourg et Leyde, puis voyage en France, en Suisse et en Italie (1755-1756). Il s'installe à Londres où la pratique de son art le laisse impécunieux ; plusieurs autres professions ne lui réussissent pas non plus.

Il se lance dans les lettres en 1758 et fonde la revue L'Abeille en 1759. Membre fondateur du Club (1765) de Johnson, Oliver Goldsmith publie Le Voyageur (1764), poème qui le rend assez célèbre pour qu'il puisse faire paraître un roman écrit en 1761-1762, Le Ministre de Wakefield (souvent traduit sous le titre Le Vicaire de Wakefield, 1766), son chef-d'œuvre.

Ajouter des informations
Bibliographie de Oliver Goldsmith   (7)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Oliver Goldsmith
Je lui faisais voir que les livres étaient une compagnie douce et irréprochable pour les malheureux, et que, s'ils ne pouvaient pas nous procurer les plaisirs de la vie, ils nous apprenaient du moins à la supporter.
(Le Vicaire de Wakefield - 1857)
Commenter  J’apprécie          260
On l'a remarqué mille fois, et je dois le remarquer une fois de plus, l'heure de la contemplation d'un bonheur en perspective est plus douce que celle de la jouissance.
Commenter  J’apprécie          120
Oliver Goldsmith
Lorsqu'une femme charmante s'abaisse jusqu'à la folie,
Et découvre trop tard que l'homme l'a trahie,
Quel charme peut consoler sa mélancolie ?
Quel artifice peut laver sa honte ?
Commenter  J’apprécie          70
Je m'efforçai d'être de bonne humeur, mais jusqu'à maintenant la bonne humeur n'a jamais été obtenue par un effort de volonté qui en soi est pénible.
Commenter  J’apprécie          50
La petite république à laquelle je donnai des lois obéissait aux règles suivantes : au lever du soleil nous nous réunissions tous dans la salle commune, le feu ayant été préalablement allumé par la domestique. Après nous être salués avec toute la gravité requise (car j’ai toujours considéré comme souhaitable de maintenir des formes inhérentes à une bonne éducation, sans lesquelles la liberté finit toujours par détruire l’amitié), tous nous nous inclinions pour manifester notre gratitude envers l’Être qui nous gratifiait d’un jour de plus. Ce devoir accompli, mon fils et moi vaquions au-dehors à nos occupations habituelles, tandis que ma femme et mes filles s’employaient à préparer le petit déjeuner, qui était toujours prêt à heure fixe. J’accordais une demi-heure de liberté pour ce repas – et une heure pour diner -, temps passé par ma femme et mes filles à s’amuser innocemment, tandis que mon fils et moi nous engagions dans des discussions philosophiques.
Commenter  J’apprécie          23
Si nous jetons un coup d’œil sur notre passé, il nous paraît très bref, et quoi que nous pensions du reste de notre existence, il nous semble encore plus court car, à mesure que nous vieillissons, les jours nous donnent l'impression de raccourcir et notre familiarité avec le temps toujours abrège notre perception de la durée.
Commenter  J’apprécie          20
La religion présente à l'homme heureux une continuité de bonheur ; au malheureux, un changement de misère en bonheur.
Commenter  J’apprécie          30
J'ai vu que, dans tout le pays, la richesse était un nom qui remplace celui de liberté, et qu'il n'y a pas d'homme si ami de la liberté qui ne voulût soumettre la volonté de quelques individus à la sienne.
Commenter  J’apprécie          20
(...) car mon avis a toujours été que, pour l'homme, jamais l'heure du retour au bien n'est passée, le coeur se découvrant toujours aux traits du reproche, pour peu que l'archer vise juste.
Commenter  J’apprécie          20
Oliver Goldsmith
Je n'en tirai, cependant, que quelques conclusions, que la monarchie pour les pauvres constitue le meilleur gouvernement, comme la république pour les riches, que l'aisance en général est dans tous les pays un autre nom pour la liberté et que nul n'est à ce point amoureux de cette liberté qu'il ne désire soumettre dans la société la volonté de certains individus à la sienne propre.
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Oliver Goldsmith (63)Voir plus

Quiz Voir plus

Dieux et Déesses de la Mythologie Grecque

Déesse de la sagesse, je suis la protectrice d' Athènes, je protège les héros dans leur quête et je suis la patronne des Artisans

Déméter
Aphrodite
Héra
Athéna

10 questions
415 lecteurs ont répondu
Thèmes : mythologie grecque , dieux grecsCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}