Je n'en tirai, cependant, que quelques conclusions, que la monarchie pour les pauvres constitue le meilleur gouvernement, comme la république pour les riches, que l'aisance en général est dans tous les pays un autre nom pour la liberté et que nul n'est à ce point amoureux de cette liberté qu'il ne désire soumettre dans la société la volonté de certains individus à la sienne propre.