AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Oliver Johnson (14)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Dragon d'or, tome 4 : La malédiction du Pharaon

Une grosse envie de poutrer de la momie ? Les pilleurs de tombe vous énerve ? Votre chanson préférée est "Walk like an Egyptian" des Bangles ? Si vous avez au moins deux oui, alors ce livre dont vous êtes le héros est fait pour vous !



Le gros plus : vu que c'est un titre de la collection Dragon d'Or les règles sont hyper simples et le temps de jeux est limité.



Le gros moins : c'est quand même (trop ?) facile...



Bon, ça reste un agréable moment : de l'action convenue, des méninges peu sollicités, mais des pièges et monstres dont il est difficile de faire l'impasse dans une pyramide maudite. Un conseil pour finir : entre une épée et un sceptre n'hésitez pas. Prenez le plus logique^^



Commenter  J’apprécie          172
Les terres de légende, tome 5 : La Puissance ..

Cinquième tome des Terres de Légende, La puissance des ténèbres introduit la classe des Élémentalistes, appartenant à l'un des quatre éléments de base ( eau, terre, feu, air) ou bien aux Ténèbres. les règles pour jouer l'un d'eux diffèrent légèrement par rapport à celles du Magicien ou du prêtre sans révolutionner le genre. néanmoins cela apporte un peu de fun surtout lorsqu'on interprète un Élémentaliste des Ténèbres, beaucoup plus puissant et dangereux que ses congénères. Il est également plus délicat à jouer.

Un règle additionnelle sur les folies est disponible mais n'apporte pas grand chose en soi, sauf si vous êtes un peu malingre et que vous orientez vos propres scénarii dans ce sens...

Trois scénars vous attendent pour quelques heures de jeu...
Commenter  J’apprécie          70
Les terres de légende, tome 3 : Le secret des..

(Pour la présentation globale de la série, voir ma critique Les terres de légende. 1, le livre des règles.)



Un titre pas nécessaire pour jouer dans le sens où il n'apporte rien de neuf côté technique.

Pas moins de quatre scénarios qui forment une campagne pour rassembler un vieux cristal elfe. de quoi s'occuper à pas cher, comparé au prix des campagnes dans le commerce pour les gros jeux de l'époque.

Par contre, faudra bosser un peu pour rendre la campagne intéressante. le background de la région tient en deux pages, l'histoire est hyper linéaire et propose trop de porte-monstre-trésor.
Lien : https://unkapart.fr/les-terr..
Commenter  J’apprécie          70
Les terres de légende, tome 5 : La Puissance ..

(Pour la présentation globale de la série, voir ma critique Les terres de légende. 1, le livre des règles.)



Volume dans la lignée d'Initiation à la magie, il présente une nouvelle classe de sorciers : les élémentalistes, qui maîtrisent la magie des éléments (avec un nom pareil, on s'en serait douté), eau, air, terre, feu… et ténèbres. Une classe sympa à jouer sans être révolutionnaire.

Les deux tiers du bouquin sont occupés par un gros scénar.
Lien : https://unkapart.fr/les-terr..
Commenter  J’apprécie          60
Les terres de légende, tome 3 : Le secret des..

Ce troisième tome vous emmène au royaume d'Erevorn pour pas moins de 4 aventures.

Il introduit de nouveaux monstres, spécifiques à ce livre, mais qui peuvent servir lors de campagnes ultérieures, ainsi que quelques nouvelles règles, elles aussi spécifiques, ou additionnelles ( le courage, les malédictions et les maladies) qui étofferont encore l’immersion dans cet univers.

Même si les 4 aventures forment une campagne, il vous faudra faire preuve d'imagination ( et de tolérance) envers des scénarii assez basiques mais qui vous permettront néanmoins d'expérimenter vos personnages.
Commenter  J’apprécie          40
Les Porteurs de lumière, Tome 1 : La Forge de..

Alors qu'il est attaqué dans la montagne par deux bandits un vieil homme ne doit son salut qu'à un prêtre qui se dirige dans la cité maudite de Thrull. Une cité qui a vu il y a sept ans la morts de cinquante milles hommes. Appelé dans la cité pour une raison qu'il ignore encore le prêtre est informé par un mourant que son frère, trahis par des propres membres du temple de Reh, va être sacrifié. Blessé par la garde du temple, il ne peut empêcher le sacrifice de son frère, et enchaîné il est conduit devant le Grand Prêtre du Temple où il va découvrir que celui-ci est vivant dans la mort : un vampire.



Au début du roman il ne se dégage pas vraiment d'intrigue, le récit se développe sur fonds de sur des conflits larvés entre seigneurs locaux... une fantasy somme toute assez classique. Ce n'est que plus tard dans le roman que va se dégager, un peu tardivement l'intrigue sous forme d'une prophétie où le prêtre de Reh, surnommé le Héraut , pourra aider le Porteur de Lumière, un autre personnage central à bannir les Ombres du monde et sauver celui-ci de l'agonie. L'auteur reprend les ingrédients classiques du genre et n'apporte pas vraiment quelque chose de novateur.



Le monde créé par l'auteur est plutôt restreint car la grande partie du récit se déroule intra-muros dans la cité de Thrull, ce n'est que vers la moitié du roman que l'auteur daigne pour faire un peu sortir de ces murs. C'est par un flash-back sur le passé du prêtre de la femme que va s'élargir quel que peu notre horizon, avec la présentation du monastère de Forgeplaine ou le jeune homme a suivi sa formation et s'est découvert ses pouvoirs.



Si au début du roman en nous présentant une Cité sinistre, à l'agonie, livrée dés la tombée du jour aux vampires – les Morts en Vie – qui de nuit en nuit étendent leur emprise sur le monde pour qu'il devienne une nuit sans fin, malheureusement l'auteur ne confirme pas par la suite cette ambiance glauque, angoissante, faite de terreur. L'on aurait aimé que l'auteur poursuive dans cette voie et fasse monter crescendo cette ambiance sombre, mais il recentre le récit uniquement sur les personnages centraux et ne développe pas ce qui les entoure.



Si au départ le récit s'annonçait sombre à souhait, à la fois mâtine de Dark-Fantasy et même d'une légère pointe de Sword and Sorcery, l'histoire tourne rapidement à la High-Fantasy classique, la noirceur promise n'y est plus. L'auteur nous gratifie même d'un cliché du genre, érodé de puis des siècles : l'ail repousserait les vampires, on aurait aimé plus d'imagination.



Les descriptions, restreintes toutefois avec un récit en vase clos, sont assez visuelles pour que l'on puisse se projeter dans le récit. Et l'auteur nous offre un panthéon plutôt original avec un Seigneur des Vers et des morts, une déesse de la Chair... un des points positifs de ce roman. Si la partie descriptive de l'histoire ne généreusement pas vraiment de longueurs, l'auteur en génère quelques unes avec les introspections du personnage principal. L'action est peu présente, pas de combats, pas de retournements de situation, le récit se révèle linéaire, l'on est clairement dans une longue introduction puisqu’il faudra attendre les tomes suivants pour que l'intrigue puisse amorcer un développement.



Si le personnage du prêtre de la Flamme avec un passé difficile, avec une formation faite de brimades et coups se révèle très intéressant avec ce côté déchiré, introverti, il n'est est pas de même pour les autres protagoniste peu développés. Là une fois de plus il faudra attendra la suite pour enfin voir de l'interaction entre eux et les découvrir pleinement, jusqu'alors ils n'ont été qu'esquissé. Le leader des Morts en Vie, maître de la cité , n'est que fort peu présent dans le récit, alors qu'il représente les forces du mal. La lutte entre le Bien et le Mal, facteur moteur du récit s'avère pour le moment tout ce qu'il y a de plus manichéen.



Le point fort du roman, bien qu'un peu hésitant parfois, est le style de l'auteur, les chapitres malgré le maque d'action s'enchaînent rapidement, l'écriture de l'auteur est fluide.



Un premier tome, au début pourtant prometteur, qui ne parvient pas à convaincre entièrement le lecteur. Seul le personnage principal arrive à sauver l'histoire qui manque cruellement d'action, on espère que dans les opus suivants on pourra le découvrir dans exercice de ses pouvoirs. Une intrigue, certes classiques, mais qui ne démarre que vers la fin du tome.
Commenter  J’apprécie          40
Le Port des assassins

La quête de la lame de l'épée de légende dans la port est originale, mais j'ai eu beaucoup de mal a vaincre les trois démons des anciens temps invoqués par le prince susurrien avant de me rendre compte J'ai aussi particulièrement apprécié le passage avec le Djinn et la ruse sadique du voleur. Ca m'a rappelé un comte d'enfance mais je ne me souviens plus du titre. Bref, encore un super ldevlh !
Commenter  J’apprécie          42
Le Maître des Rêves

Encore un très bon livre dont vous êtes le héros qui entame l'intrigue. L'idée aussi de pouvoir faire un groupe est très bien. J'ai particulièrement apprécié la rencontre avec les loups-garous et leurs serviteurs ! Je ne m'y attendais pas !
Commenter  J’apprécie          20
Les Porteurs de lumière : La dernière étoile de l..

Après quatre tomes, dans l'ensemble, il faut le reconnaître, plutôt décevants, c'est avec La Dernière Etoile de l'Aube que se termine cette série qui est en VO une trilogie. Si les premiers opus ont été scindés en deux, ce fait n'a rien changé au fond du récit et l'on a du mal à se dire que Les Porteurs de Lumière ait été classée en Dark-Fantasy tant les personnages présente des faiblesses de caractère. En effet, le fait qu'ils nous apparaissent comme de véritables marionnettes auquel s'ajoutent les contradictions de l'auteur tout au long du récit et les trop grandes facilités à échapper aux difficultés ne permettent pas de faire figurer cette histoire dans cette sous-catégorie du genre.



Dans ce dernier volume, l'auteur transpose, avec ses deux dieux survivants, Reh, le dieu de la Lumière et Iss, celui des Ténèbres, à sa manière le conflit des Dieux Grecs.



Dans le tome précédent on avait assisté à la chute de l'ancienne cité des dieux Lorn malgré que les troupes ténébreuses du Maître des Nations de la Nuit, que ce dernier avait été repoussé dans le territoire des Ombres. L'on s'attendait donc a voir les trois compagnons, toujours poursuivis par Faron, poursuivre leur route vers Iskiard pour retrouver le dernier artefact manquant,... mais non !



Une fois de plus l'auteur nous propulse dans le passé pour revenir à Thrull à l'instant où le jeune Fazan Falarn avait pu être sauvé grâce à l'aide de Jayal Ilgill. Pendant plusieurs chapitres l'auteur nous narre cette fuite par le bais de la rencontre avec l'ancien sénéchal du baron. Une fuite qui sera narrée une seconde fois lorsque les deux protagonistes arrivent à Galastra, une île volcanique, après avoir échappés aux Mort-en Vies.



Si cette partie sert à l'auteur à développer un peu son univers celui reste très restreint, à peine ébauché alors que l'on se trouve dans le dernier opus. Au vu du nombre de retour en arrière, ce n'est pas pour éviter des longueurs que ce point n'a pas été travaillé. En effet, ni la découverte de Tiré Gand qui est la copie conforme ce la cité de Thrul avec des habitants qui vivent dans la crainte perpétuelle dans la crainte en sachant quel est le destin qui leur est résevé, ni la cité d'Iskiard qui pou changer des Morts-en-Vie et des Ombres nous fait découvrir des Fantômes gris. Un manque certain d'imaginations de l'auteur est constaté.



Puis l'auteur revient sur les protagonistes principaux et alterne le récit principal avec l'histoire du jeune adolescent, et comme à l'accoutumée les nombreux retours en arrière créent encore des gros blocs descriptifs et malgré que l'on assiste entre quelques escarmouches entre le groupe et les morts en vie que relève Faran au cours de son périple pour s'emparer de Thalassa celles-ci insuffisamment exploités ne parviennent pas à donner du rythme au récit. Le récit alterne en permanence entre les quatre groupes, il y a également le Doppelganger qui précède les héros. L'on est totalement indifférent à ce monde à sauver car le synopsis reste le même on a une course poursuite qui ne prend pas de rythme le récit se traîne et les personnages principaux ne parviennent pas à nous séduire par manque de psychologie et d'évolution. Un deuxième point, force est de constater, qui lui non plus n'a pas été travaillé.



Le rythme de la lecture est très poussif, de nombreux paragraphes narratifs, descriptifs et introspectifs se succèdent, et l'action est quasiment inexistante ou ne présente pas d’intérêt. Le lecteur n'arrive pas à sortir de sa torpeur et saute de plus en plus de paragraphes.





Comme l'on pouvait s'y attendre depuis l'annonce de la prophétie, le final n'offre pas de surprises, hormis quelques petits détails le lecteur s’attendait à ce dénouement.



Une saga qui n'apporte rien à la Dark-fantasy, à moins qu'il vous manque quelques tomes pour terminer un challenge sur le sous-genre.
Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          10
Les terres de légende, tome 5 : La Puissance ..

Pas trop mal même si je préfère Défis Fantastique.
Commenter  J’apprécie          00
Les Porteurs de lumière, Tome 4 : Les nations..

A la fin du tome précédent l'on avait quitté le groupe formé des quatre protagonistes principaux et des villageois réfugiés dans une tour alors qu'il subissait l'attaque du loup mythique Fenris envoyé par le Maître des Nations de la Nuit. C'est donc là qu'on le retrouve puisque le tome VO est scindé en deux pour la version française. Une méthode qui casse le rythme de la lecture puisque celle-ci survient dans les d'un rares moments d'action.



Mais l'on ne retrouve pas immédiatement nos amis puisque l'auteur nous fait découvrir l'Homme de Bronze, Champion du Dieu Reh et dernier survivant de la Guerre des Dieux qui s'est déroulée des millénaires plus tôt. Une fois de plus on retrouve les références à la mythologie celtique assez récurrentes dans la fantasy.



L'auteur, avant d'enchaîner sur le récit proprement dit, revient sur ce qui s'est passé vers la fin de l'opus précédent ce qui, avec la présence de blocs descriptifs ou narratifs importants, n'est pas sans créer une certaine lourdeur à l'histoire.



Puis l'on reprend la courte poursuite contre la montre pour sauver Thalassa, mais aussi pour échapper à Faran et ses sbires, et aux démons et autres engeances dépêchées par le Maître des Nations de la Nuit, pour les empêcher de rejoindre la cité de Lorn, ancienne résidence des Dieux sur ce monde. Le rythme de lecture s'accélère, les événements s'enchaînent, l'on se situe dans la partie la plus dynamique de la saga depuis le début de la lecteurs.



Malheureusement cela ne dure pas, l'auteur retombe dans ses travers : des descriptions trop longues ainsi que des introspections des personnages un peu trop répétitives et qui n’éclaire en rien le lecteur car elles n'apportent pas de profondeur sur ceux-ci qui demeurent peu approfondis.



La référence au Calice d'Argent qui seul peut sauver Thalassa de la Mort en Vie qui la guette n'est pas sans rappeler la Quête du Graal, en définitive cette saga, pour le moment, n'apporte rien de neuf au genre.



Dans la dernière partie du récit, l’auteur lève le voile sur l'origine d'Uthred et l'on se demande quel va être l'intérêt du dernier tome car le monde est a priori sauvé. Ces révélations ne sont pas également sans générer quelques longueurs supplémentaires et c'est avec une certaine circonspection que l'on va aborder le dernier opus.





Au final, hormis l’ambiance on a beaucoup de mal à trouver d’autres points positifs au récit narré par l'auteur, malgré qu ce tome soit le meilleur depuis le début.


Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          00
Les Porteurs de lumière, Tome 3 : Les nations..

Au tome précédent l'on avait quitté les protagonistes alors encerclés par les Morts en Vie dans les marais entourant Thrull sur la pile d'ossements des morts de la bataille qui s'était déroulée sept ans plus tôt. Téléportés par la Dent-du-Dragon, l'un des artefacts qui doivent sauver la monde des Ténèbres, on les retrouvent, au-delà des montagnes, en route Pour les Nations de la Nuit.



Avec pour postulat de départ la quête d'objets magiques l'histoire s'avère plus classique que dans les deux premiers opus.



Avec le flash-back de la fuite du Baron Illgill, sept ans plus tôt l'univers s'élargit quelque peu, si à proprement parler découvrir des paysages de montages glacées offre un peu de diversité. Toutefois l'auteur complète historiquement son monde, notamment avec la guerre entre les Dieux quelques milliers d'années plus tôt. Avec ce passage l'on retrouve des références aux mythologies grecques et celtiques. Mais une fois de plus il ne faut pas s'attendre à découvrir quelque chose de nouveau.



Quand à l'histoire elle se résume à une course poursuite entre le groupe et ce qui reste des troupes de Faran après la chute de la cité de Thrull.



Les descriptions sont très détaillées, peut être un peu trop, l'on n'a aucun mal à se plonger dans l'univers de l'auteur qui devient de plus en plus sombre, virant au fil des passages à une escalade de monstruosités. D'importants blocs descriptifs où l' lecteur s'ennuie et à de plus en plus envie de poser le livre sans le terminer car il ne se passe pratiquement rien hormis la confrontation du prêtre avec les Spectres de Glace. Mais pour une fois qu'il y a un peu d'action, le combat est insuffisamment exploité et s'avère peu visuel.



Le lecteur se retrouve dans une très longue mise en contexte ennuyante, certes on peut invoquer le constat de la découpe de ce volume en deux parties dans la version française, mais le constat est là : on est très loin d'un roman d'héroîc-fantasy annoncé.



Avec de telles longueurs on aurait pu espérer voir les personnages évoluer, se densifier au niveau psychologique mais là encore il n'en est rien.



Malgré des phrases des phrases généralement courtes, le rythme de lecture est très, très lent, le style est lourd, trop descriptif, on avance pas dans le récit qui piétine. On a l'impression que l'auteur a voulu faire du volume, amener le côté horrifique jusqu'à un degré de paroxysme élevé, en fait il ne porte ses efforts que sur l'ambiance .



Malgré un ton plus intense que précédemment l'histoire manque complètement de clarté et le lecteur à du mal à en extraire les passages essentiels à la suite du récit. La deuxième partie, on l'espère deviendra peut être plus intéressante.
Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          00
Les Porteurs de lumière, Tome 1 : La Forge de..

Je termine le livre 4 et commence à me lasser des événements répétitifs où les héros se trouvent en situation désespérée, menacés par toutes sortes de monstres plus terrifiants et efficaces les uns que le autres (démon, dragon, loup géant immatériel, messager des dieux passeur du "Styx", tornade, tremblement de terre et autre déchaînement des éléments) et s'en sortent en puisant dans une magie impossible à maîtriser, mais qui apparaît fort opportunément à la dernière seconde.

L'univers et la quête sont intéressants, mais ça tire en longueur !

A lire néanmoins, mais sans espérer une oeuvre d'antologie
Commenter  J’apprécie          00
Les Porteurs de lumière, Tome 2 : La forge de..

Le résumé de la quatrième de couverture est un peu trompeur : on a l'impression que Thalassa et les gens qui l’accompagnaient avaient quittés Thrull, or il n'en est rien. Dans le tome précédent Urthred, le prêtre de Reh avait seulement réussi à sauver Thalassa, la Porteur de Lumière du temple de Sutis.



L'histoire reprend donc où l'on s'était quitté au tome précédent, le groupe s'enfonce dans les catacombes pour trouver les derniers éléments de la prophétie. Ils sont donc toujours dans Thrull, poursuivis par Faran Gaton et ses serviteurs. De ce fait l'univers ne se développe pas, on a bien une carte et les descriptions sommaires d'autres endroits du monde mais l'on reste en vase clos.



L'auteur revient sur le passé des événements qui se sont déroulés sept ans plus tôt et s'attarde également sur le personnage de Jayal Illgill et sa double personnalité, un côté Lumière et une part Ombre qui suite à des crises de folie dans sa jeunesse un exorciste à séparé en deux ces personnalités. Il est donc affublé de l'entité qui l'habitait naguère et qui se manifeste comme un jumeau sous la forme d'un Doppleganger. De ce fait le récit piétine avec un ton surtout descriptif avec peu de dialogues et une action inexistante, l'on a hâte que la quête annoncées dans la première partie débute mais lle développement de l'intrigue ne se dessine que dans la dernière partie . Après une prophétie dans le tome précédent, la recherche d'artefacts pour les tomes à venir s’annonce des plus basique.



Récit peu intéressant il faut poser régulièrement le livre car les longueurs et les répétitions ne parviennent pas à captiver l'attention du lectorat. L'auteur se réclame de Gemmell mais on est carrément à l'opposé de ce que le maître de l 'Héroic- fantasy nous présente dans ses romans, l'auteur ne fait que balader le lecteur d'un personnage à l'autre sans vraiment approfondir ceux-ci l'évolution symptomatique de Jayall qui ne nous offre pas vraiment d'ouverture.



On dénote aussi des coquilles et au vue du prix auquel était vendu ces deux volumes qui n'en faisait qu'un à l'origine c'est inadmissible une relecture sérieuse aurait du s'imposer.



Au final, cette deuxième partie s'avère ennuyante et la révélation de l'identité du Porteur de Lumière ne crée pas de véritable surprise car dès la délivrance de Thalassa par le Héraut la chose était attendue. En espérant que les tomes suivants présenteront plus d'intérêt.










Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Oliver Johnson (104)Voir plus

Quiz Voir plus

La mer et la fantasy

Dans quel contexte se situe la trilogie « Les rois navigateurs » de G. Kilworth?

Polynésie
Malaisie
Mélanésie

10 questions
94 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , maritimeCréer un quiz sur cet auteur

{* *}