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3.91/5 (sur 691 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1976
Biographie :

Olivia Elkaim est romancière, dramaturge et journaliste à l'hebdomadaire LA VIE.

Elle a publié plusieurs romans dont Le tailleur de Relizane et Fille de Tunis chez Stock et des recueils de nouvelles.

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Dans cet épisode de L'Intention, la romancière et journaliste Olivia Elkaim nous parle de son neuvième roman, Fille de Tunis, publié aux éditions Stock. Elle y raconte l'histoire d'un personnage haut en couleur : sa grand-mère Arlette. Entre Tunis et Marseille, entre monde de la nuit et vie amoureuse innovante, sa vie ne pouvait qu'inspirer un roman ! Qui est vraiment Arlette ? En nous racontant qui était sa grand-mère, Olivia Elkaim nous dévoile les coulisses de l'écriture de son roman, et la place qu'il tient dans sa vie d'écrivaine. Concept éditorial : Hachette Digital, en collaboration avec Lauren Malka Voix et interview : Laetitia Joubert et Shannon Humbert Ecriture: Lauren Malka Montage, musique originale : Maképrod Conception graphique : Lola Taunay Extrait musical: Monday, Tuesday... Laissez-moi danser (1979) Artiste : Dalida ALBUM : Monday, Tuesday... Laissez-moi danser Compositeur : Cristiano Minellono Adaptateur : Pierre Delanoë Auteur-Compositeur : Toto Cutugno LICENCES : UMG (au nom de Universal Music Division Barclay)

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Citations et extraits (145) Voir plus Ajouter une citation
Nous, on te connaît déjà. Amedeo n'a que toi à la bouche... Jeanne Hébuterne. Jeanne Hébuterne. Jeanne Hébuterne. Il ne s'arrête plus. Il n'a jamais autant travaillé. Il ne peut plus se passer de toi... Il ne peut plus se passer de toi pour peindre.
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Cet été-là, 67 956 rapatriés débarquent dans la région Midi-Pyrénées. C’est beaucoup moins qu’à Marseille, où 450 000 pieds-noirs affluent par l’aéroport de Marignane et par la mer. Chaque jour, les paquebots, cargos, navires-citernes, et même les chalutiers, déversent des milliers de pauvres gens. Face à cette marée humaine, les pouvoirs publics sont dépassés.
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N'oublie pas d'où tu viens, Anita, si tu veux savoir ou tu va.
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« Celui qui ne sait pas d’où il vient ne sait pas non plus où il ira », dit un proverbe algérien.
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- Y a toujours des individus pour se faire de la monnaie sur le malheur des autres, dit Marcel à ses fils avant d’éteindre la lumière. Quand vous serez de grandes personnes, je veux pas que vous soyez du côté de ces gens-là.
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Mon corps se dérobe, mon âme vagabonde, entièrement aspirés pour n'exister qu'immobiles et figés sur les tableaux de Modigliani.
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Hier soir, j'ai prétexté la fatigue pour me retirer dans la chambre. Je me suis couchée, tête posée sur l'écharpe d'Amadeo Modigliani.
J'ai fermé les yeux pour revivre la scène, et tout m'est revenu avec l'exactitude d'une amoureuse.
C'était délicieux.
C'était réel.
J'ai enfoncé mon nez dans la laine et prononcé son nom, comme si je pouvais le convoquer près de moi, dans ma chambre de jeune fille.
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Zborowski lit à haute voix une des seules critiques favorables.
-" La souplesse animale, parfois immobilisée ses abandons, sa faiblesse heureuse, n'ont point encore connu de peintre plus soucieux de les traduire." C'est bon, Modi, tu vendras quelques toiles. Je dis pas la richesse, je dis pas comme Picasso ou Matisse, juste un bon petit début de gloire.
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Alors je sens que, pour un instant, je ne suis plus une Hébuterne, coupée en deux, la partie haute de mon corps asphyxiant la partie basse. Je suis un corps, je suis sienne. Un désir fou a vaincu ma mélancolie.
J'ai réussi à éloigner la mort.
Je vis à toute allure.
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«  D’habitude, je fuis l’amour.
Qu’un homme m’approche, vante ma peau diaphane et les nattes cuivrées qui descendent à mes genoux , et je lui tourne le dos.
J’aime la tranquillité , redoute l’inconstance des sentiments..
Non que je l’aie expérimentée à mes dépens , mais je l’ai lue dans les romans.
Les tocades, les soubresauts des longues passions , ce n’est pas pour moi » ...
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