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4/5 (sur 66 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Neuilly-sur-Seine , le 26/03/1976
Biographie :

Olivier Babeau est professeur à l’Université de Bordeaux depuis 2014 et porte-parole du think tank économique Fondation Concorde.

Il est ancien élève de l’ENS de Cachan, diplômé de l’ESCP, titulaire de diplômes de troisième cycle en économie et en philosophie, agrégé d’économie et docteur en sciences de gestion.

Proche de la droite, Olivier Babeau a été la plume de Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat des Relations avec le Parlement de 2007 à 2009, et a fait un passage éclair au cabinet de François Fillon à Matignon.

Il est président de l'Institut Sapiens, un organisme à but non lucratif dont l’objectif est de peser sur le débat économique et social.

Il s’intéresse à la transition numérique et en particulier à l’évolution des industries culturelles. Conférencier et essayiste, il a publié de nombreux livres dont : "Jean Zay, ministre du front populaire, résistant et martyr" (Ramsay, 2007), "Le management expliqué par l’art" (Ellipses, 2013), "La Nouvelle Ferme des Animaux, fable politique et économique à l’usage des hommes" (Les Belles Lettres, 2016), "L’Horreur politique, l’Etat contre la société" (Les Belles Lettres 2017).

Il a également rendu public plusieurs rapports et études.

Twitter : https://twitter.com/OlivierBabeau
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Source : Wikipedia
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Thomas Porcher, Olivier Babeau et Aurélien Rousseau - C à vous - 29/09/2022


Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Le divertissement est comme une drogue. Plus on s'amuse, plus on vide le temps de sa substance, plus l'amusement est convoqué comme illusoire solution. Il est comme une boisson maudite qui attiserait la soif qu'elle serait censée étancher.
C'est, hélas !, le divertissement qui a conquis nos vies, absorbant comme une éponge les minutes de temps libre gagnées.
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Nous n'avons jamais autant tous fait la même chose que depuis que nous avons la possibilité d'agir différemment. Le grégarisme règne en maître. Les réseaux sociaux sont de vastes plaines où des gens s'agrègent en troupeaux d'affinités, pour mieux s'opposer à d'autres.
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Notre problème, à bien des égards, c’est la facilité de la vie. On a oublié combien elle était difficile pour nos aïeux. Et pourtant, ces gens qui mouraient souvent jeunes étaient capables d’édifier des œuvres qui figurent parmi les plus belles productions de l’humanité. Ce qu’il faut comprendre peut-être, c’est que la force de tant de créations et d’exploits était donnée grâce aux obstacles de la vie, et non en dépit d’eux.
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L’occupation de son temps libre est un art
qui n’est pas enseigné.
...
Le loisir est tout sauf un élément anecdotique de nos sociétés : il est à la fois leur plus grande faiblesse et la
clé de leur évolution.
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Il faut avoir « fait » tel pays. Cocher le plus de cases possible. Les voyages à répétition ne sont au fond que les nouveaux signes de distinction sociale. L’équivalent du nombre d’abonnés sur les réseaux sociaux. Les clichés des premiers alimentant d’ailleurs l’accroissement des seconds.
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Les oiseaux avaient aussi pour consigne de voler moins vite, car, comme l’annonçait un communiqué répété dix fois par jour par le rossignol, « 95 % des collisions en vol entre oiseaux sont liées à la vitesse ». On interdit aussi aux oiseaux de mâcher des brindilles en volant, car cela les distrayait de leur vol et accroissait le risque d’accident.
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En 1950, on recensait en France 3 794 téléviseurs. Soixante-dix ans plus tard, on compte 200 millions d’écrans dans notre pays, soit plus de 7 par foyer.

(GFK, étude Référence des équipements connectés (REC), 2015)
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La bonne nouvelle, c'est que nous vivons à une époque où le loisir triomphe.
La mauvaise, c'est que ce triomphe est, sans qu'on s'en doute, l'un des plus grands défis jamais lancés à l'humanité.
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Petit, je pensais mon père ennuyeux et austère. Il m'a fallu plus de maturité pour comprendre qu'il était en fait un homme passionné, éperdument épris des délices de l'esprit. Ses aventures à lui ont été intellectuelles. Je revois cette attitude qu'il avait souvent lorsqu'il lisait, levant les yeux dans le vague; immobile et concentré comme Socrate à l'écoute de son daimon, profondément absorbé par des pensées que sa lecture venait de faire naître.
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La mort des personnes aimées est toujours une souffrance. C'est aussi une opportune remise en cause de sa propre vie. On parvient, dans ces moments-là, à prendre beaucoup de distance avec ce qu'o tenait pour important.
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