— ça me semble fou, Gabriel. Complètement fou...
— Parce que ce que nous vivons ici n'est pas fou ? Les Limbes, la Nef, la possibilité de contrôler les rêves des autres... Ici, rien ne semble impossible. Il y a encore à découvrir, j'en suis certain. Je le sens.
Je remarque que la matière noire commence à se répandre sur nos jambes, à remonter le long de nos pantalons.
— Il vaudrait mieux que tu partes, maintenant. Ce rêve est souillé. Je crois que j'ai envie de rester un peu seul...