La douceur de l’amitié est un réconfort, mais l’apprentissage de la souffrance dessine un chemin solitaire. C’est le drame de l’homme pensant et ressentant. « Personne qui comprenne la douleur d’autrui et personne la joie d’autrui, écrit-il encore. On croit toujours aller l’un vers l’autre et on ne va jamais que l’un à côté de l’autre.