Nous étions au mois de septembre. Un an plus tôt, le jour de mon anniversaire, j'avais reçu une lettre d'avocat me demandant le divorce "pour les raisons que vous savez". Non, je ne savais pas les raisons puisqu'elle était partie, sans préavis d'un coup, à la fin de l'été. Elle avait renversé notre monde comme un plateau d'échecs dans le fracas de toutes les pièces maîtresses et des pions.