À genoux, yeux clos, il prononce avant de se coucher la prière en latin que son père lui récitait enfant pour l'apaiser : procul recedant somnia, et noctium phantasmata, puissent-ils rester loin de nous, les songes et les chimères de la nuit. Mais rien ne peut sauver son âme et calmer ses troubles. Mengele ne dort plus.