Le lendemain, j’écris : Il y a des jours où tout semble vide, où rien ne progresse. Le temps qu’il évolue, se stabilise, m’use moralement et nerveusement.
Aurais-je le courage de continuer et d’attendre, deux, trois, voire quatre fois plus de temps ? Pour quels résultats ? Va-t-il s’en sortir et avec quelles séquelles irréversibles ?
Redeviendra-t-il l’homme que j’ai tant aimé ?
C’est incontestable, je suis de nouveau en dépression. Ma déception est immense, avec tous les problèmes que cela entraîne.