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Citation de Ladybirdy


Ses hanches étaient les crescendos de sa partition, sa poitrine représentait l’accent de sa musique sourde ; la baguette imaginaire et les bras de Standor brassaient l’air de l’appartement pour jouer la musique des jambes, genoux, épaules et fesses de Solveig. Cette prosodie silencieuse chantait les notes muettes pour rebondir en écho jusqu’au tunnel du passage Choiseul ; une sonorité que seul Louis-Ferdinand Céline aurait entendue s’il avait encore habité le lieu.
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