Nationalité : France
Né(e) à : Angers , le 07/05/1971
Né(e) à : Angers , le 07/05/1971
Biographie :
Olivier Supiot est un dessinateur et scénariste de bande dessinée.
Il fut révélé à Angoulême dont il gagna le concours Graine de Pro' en 1997. Après des études d'Arts Graphiques effectuées à Tours, il aborde la publicité. Quelques unes de ses planches sont publiées dans Fluide Glacial puis, en 1998, les Éditions du Cycliste éditent son premier album, "Erzurum", dont il assure le scénario.
Avec Eric Baptizat au scénario, ils créent une nouvelle série en octobre 1999 chez Glénat: "Marie Frisson", univers absurde où des monstres spectaculaires sont effrayés par une adorable chipie. Lancée par Tchô!, le magazine de Titeuf et sa bande, "Marie Frisson" fait l'objet d'un album tout en étant publiée dans Console Mania, un nouveau magazine de Jeux Vidéo.
En 2003, il obtient le Prix du dessin au festival d'Angoulême pour "Le Dérisoire". En 2005, il publie "Féroce", toujours avec Éric Omond, une histoire de rédemption se déroulant dans le grand nord.
Par la suite, Olivier Supiot s'attaque seul, durant 3 ans, à la trilogie "Les Aventures oubliées du Baron de Münchhausen" (publiée chez Glénat, entre 2006 et 2008).
En 2010, il s'associe au dessinateur Boris Beuzelin pour nous livrer, chez Treize Étrange, le premier épisode du "Narval". En 2014, il publie "La patrouille des invisibles".
Avec "Le cheval qui ne voulait pas être une œuvre d'art" (2016), Olivier Supiot inaugure une nouvelle collection, collaboration entre Delcourt et Le Louvre, destinée à la jeunesse. Il avait déjà inauguré en 2015, toujours chez Delcourt, la collection Les enfants gâtés, avec "Pieter et le Lokken".
page Facebook : https://www.facebook.com/olivier.supiot.1
+ Voir plusOlivier Supiot est un dessinateur et scénariste de bande dessinée.
Il fut révélé à Angoulême dont il gagna le concours Graine de Pro' en 1997. Après des études d'Arts Graphiques effectuées à Tours, il aborde la publicité. Quelques unes de ses planches sont publiées dans Fluide Glacial puis, en 1998, les Éditions du Cycliste éditent son premier album, "Erzurum", dont il assure le scénario.
Avec Eric Baptizat au scénario, ils créent une nouvelle série en octobre 1999 chez Glénat: "Marie Frisson", univers absurde où des monstres spectaculaires sont effrayés par une adorable chipie. Lancée par Tchô!, le magazine de Titeuf et sa bande, "Marie Frisson" fait l'objet d'un album tout en étant publiée dans Console Mania, un nouveau magazine de Jeux Vidéo.
En 2003, il obtient le Prix du dessin au festival d'Angoulême pour "Le Dérisoire". En 2005, il publie "Féroce", toujours avec Éric Omond, une histoire de rédemption se déroulant dans le grand nord.
Par la suite, Olivier Supiot s'attaque seul, durant 3 ans, à la trilogie "Les Aventures oubliées du Baron de Münchhausen" (publiée chez Glénat, entre 2006 et 2008).
En 2010, il s'associe au dessinateur Boris Beuzelin pour nous livrer, chez Treize Étrange, le premier épisode du "Narval". En 2014, il publie "La patrouille des invisibles".
Avec "Le cheval qui ne voulait pas être une œuvre d'art" (2016), Olivier Supiot inaugure une nouvelle collection, collaboration entre Delcourt et Le Louvre, destinée à la jeunesse. Il avait déjà inauguré en 2015, toujours chez Delcourt, la collection Les enfants gâtés, avec "Pieter et le Lokken".
page Facebook : https://www.facebook.com/olivier.supiot.1
Source : www.bdparadisio.com
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Les cowboys sont toujours à l'Ouest
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Je suis entré en guerre... comme la plupart de mes compatriotes... la fleur au fusil !
On pensait qu'elle ne durerait pas cette foutue guerre... plus de trois ans déjà ! Les fusils sont toujours là ! Mais il n'y a plus de fleurs ! Juste des hommes en sursis, de la boue et du sang.
On pensait qu'elle ne durerait pas cette foutue guerre... plus de trois ans déjà ! Les fusils sont toujours là ! Mais il n'y a plus de fleurs ! Juste des hommes en sursis, de la boue et du sang.
Même en temps de guerre, un salaud reste un salaud !
Le retour au bercail... les retrouvailles heureuses... et pleines de non-dits. Paris reprenait ses allures de carte postale. J'avais cette sensation très confuse où l'on ne sait plus si c'est le monde qui a changé... ou nous-même ?! On est juste seul.
- Quel merveilleux endroit ! Depuis ces hauteurs, on peut découvrir toute la région ! On aperçoit même à l'entrée du village un couple d'amoureux en train de s'embrasser...
- Non, regarde bien. Il l'embrasse pas, il la mange.
- Un si beau petit coin de nature connu de tous. On va le baptiser...
ensemble. LA FALAISE AUX MILLE FLEURS. C'est un joli nom, tu ne trouves pas ? Oui ! Pourquoi pas, on peut l'appeler la falaise de Gniii, si tu veux... AAH, tout cet air pur, c'est si agréable.... Beuk... en effet, il était bien en train de la manger !! Allez arrête de jouer, maintenant on s'en va...
- Mais...
(La falaise de gniii.)
- Non, regarde bien. Il l'embrasse pas, il la mange.
- Un si beau petit coin de nature connu de tous. On va le baptiser...
ensemble. LA FALAISE AUX MILLE FLEURS. C'est un joli nom, tu ne trouves pas ? Oui ! Pourquoi pas, on peut l'appeler la falaise de Gniii, si tu veux... AAH, tout cet air pur, c'est si agréable.... Beuk... en effet, il était bien en train de la manger !! Allez arrête de jouer, maintenant on s'en va...
- Mais...
(La falaise de gniii.)
- Tiens !!! Je n'avais jamais remarqué cette petite tour...
- Où ça ?!
- Ne rentre pas, tu es folle !! C'est l'entrée de la crypte... DE PARVENUS ! Ils se nourrissent exclusivement de petites filles en robe bleue se prénommant... MARIE. Tu devrais faire demi-tour !
Ils sont cruels, sadiques et tellement laids qu'ils passent leurs journées À SE FAIRE PEUR !
- iiii ! Je savais bien, qu'un jour je trouverais l'endroit où tu bois en cachette ta liqueur de cafards !!
(La petite tour bien cachée)
- Où ça ?!
- Ne rentre pas, tu es folle !! C'est l'entrée de la crypte... DE PARVENUS ! Ils se nourrissent exclusivement de petites filles en robe bleue se prénommant... MARIE. Tu devrais faire demi-tour !
Ils sont cruels, sadiques et tellement laids qu'ils passent leurs journées À SE FAIRE PEUR !
- iiii ! Je savais bien, qu'un jour je trouverais l'endroit où tu bois en cachette ta liqueur de cafards !!
(La petite tour bien cachée)
Kerzadec m’a sauvé la vie à plusieurs reprises au péril de la sienne… Très rapidement, il s’est fait remarquer pour des faits d’armes d’une très grande audace. Il faisait corps avec la boue ! Jour après jour, il apprenait… se perfectionnait… Comme mué par une forme d’intelligence intuitive ! Mes compagnons d’infortune étaient partagés… Entre respect et dégoût ! Car même en temps de guerre, un salaud reste un salaud !
Ce ne sont pas des soldats : ce sont des hommes. Ce ne sont pas des aventuriers, des guerriers, faits pour la boucherie humaine […] Ce sont des laboureurs et des ouvriers qu’on reconnaît dans leurs uniformes. Ce sont des civils déracinés.
Vous savez malheureusement que les grandes découvertes ne peuvent se réaliser sans de petits sacrifices, marmelade !!
Quel casse-couille, il doit être français.
« Lutétia… Cette ville est un monstre... Elle nous absorbe sournoisement… dans sa chair de béton, de verre et d’acier. Perdus dans cet enchevêtrement improbable… comme des étoiles mourantes dans un ciel de plomb… Cette ville est une dévoreuse d’âmes. » (p. 7)
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