Le monde ici me dit clairement que je ne suis qu’un passant. Alors je pense dans mon for intérieur : Il me suffirait d’être ce mouvement-là pour être éternel. Le bruit du récif m’indique que je suis déjà vaincu. Ce bruit va continuer, continuer et continuer encore…
Cette respiration n’est pas la mienne, c’est celle du monde. Elle ne me rend que plus dérisoire et vulnérable. Je n’ai, moi, qu’un tout petit souffle.