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Critiques de Ophélie Curado (16)
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La Mort devant soi, tome 2 : Reste nos pas ..

Après des mois d'attente je suis ravie de retrouver Marshall et Mélina. Le premier tome s'achève sur une scène remplie de suspens car un coup de feu a été tiré mas nous ne savons pas qui a été blessé ou pire.







Ce second tome s'ouvre dans l'ambiance morbide et glauque d'un motel sordide en bord de route où les gens ne font qu'y passer quelques heures seul ou en bonne compagnie. Marshall a tout juste le temps d'expliquer la situation à Mélina que des policiers font irruption dans la chambre et l'amènent avec eux.







Dans ce second tome j'ai retrouvé les mêmes ingrédients du premier qui font l'originalité du récit.







Il y a de très nombreuses descriptions qui peuvent paraître longues mais qui permettent de s'imprégner de l'ambiance de l'histoire. Cette duologie est très axée sur la psychologie des personnages et principalement celle de Mélina. Je pense donc que les descriptions sont importantes afin de comprendre le fonctionnement des héros et de ressentir leurs émotions. J'aime pouvoir vivre les mêmes sensations que les personnages.







L'autre point que j'apprécie est le style d'écriture de l'auteur. Elle utilise quelques fois des mots complexes mais qui sont toujours accompagnés de leur définition en bas de page. Apprendre en se divertissant est le meilleur moyen de s'en souvenir.







L'introduction de personnages haut en couleurs montre la diversité de l'humanité. Nous ne vivons pas dans un monde formaté où l'on peut ranger tout le monde dans une case. J'ai été particulièrement touchée par l'adolescente aux cheveux rouges que rencontre Mélina. C'est une jeune fille écorchée par la vie tentant de maintenir sa famille la tête hors de l'eau en travaillant dans un club réservé aux hommes. C'est un personnage complexe car elle devient femme avant l'heure tout en gardant son âme d'enfant et ses espoirs de petite fille.







Quand on lit ce roman on peut penser, au premier abord, lire une histoire se déroulant simplement à la fin des années 1970 mais en y regardant de plus près c'est en réalité un roman introduisant un élément fantastique important.







Le point commun entre chaque personnage est le contact avec la SAM, acronyme de la Société de l'Annonce de la Mort. Les employés de cette agence apparaissent et disparaissent sans faire de bruit tels des anges venant annoncer une triste nouvelle. L'auteur a réussi à intégrer du fantastique dans une époque passée sans dénaturer le mode de vie de cette période.







Avec Ophélie Curado et La Mort devant soi on sent que l'inspiration est multiple. On retrouve Stephen King et son roman 23/11/63 car dans les deux cas nous sommes en présence d'éléments fantastiques introduit dans une époque passée. Les agents de la SAM sont des personnages intemporels qui me rappellent les faucheurs présents dans la trilogie La Faucheuse de Neal Shusterman. Je vous conseille d'ailleurs cette dernière qui permet, tout comme dans La Mort devant soi, d'aborder le thème de la mort d'un point de vue différent.







Je conseille ces livres aux lecteurs aimant les romans psychologiques et les descriptions détaillées car ce sont les deux principaux éléments de cette série La Mort devant soi.







Cependant ce roman n'est pas à mettre dans les mains des plus jeunes lecteurs car il y a quelques scènes de sexe. Ces scènes apportent des pauses dans la traque de Marshall par la police et dans la course contre la monde de Mélina.







Nous sommes en présence d'un roman complexe mêlant différents genres en moins de trois cents pages.
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

Lors de ma lecture en décembre 2017 le livre était un bon pavé de 500 pages. Depuis Ophélie a fait des corrections et vous vous retrouver avec un livre autour des 300 pages. Dès que nous partons sur les routes du Texas en compagnie de Mélina et de Marshall nous avons du mal à les quitter. Mélina est une jeune fille blonde et toute fine qui a la trentaine et qui vit seule depuis la mort de ses parents. Marshall, le personnage masculin principal, fait penser à Hugh Jackman dans son rôle de cow-boy dans le film Australia.







La plupart des chapitres sont rédigés du point de vue de Mélina. J'ai été un peu perturbée quand on est passé d'un coup à celui de Marshall mais cela a duré très peu de temps. J'ai adoré ce livre qui nous amène à certaines réflexions. Tout d'abord la vie est trop courte pour se prendre la tête avec des futilités. Il faut vivre au jour le jour et profiter à chaque instant de nos proches. L'autre réflexion que je me suis faite c'est que rien est dû au hasard. Je ne sais pas si c'est Dieu ou un esprit mystique qui dirige notre vie mais en lisant ce livre on peut se poser la question du pourquoi du comment de toutes les bonnes ou mauvaises choses qui arrivent dans notre vie.







De nombreuses notes en bas de pages nous aide à comprendre certains mots car nous sommes ici en présence d'un roman écrit par une personne ayant fait des études de lettres et ayant un certain vocabulaire. Cela peut déranger certaines personnes mais pour ma part j'ai aimé ceci car je n'ai pas la science infuse et il est important d'apprendre à tout âge.







Si vous aimez l'aventure et faire un bond dans le passé foncez lire cet ouvrage.
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La Mort devant soi, tome 2 : Reste nos pas ..

Petit conseil: Lisez le premier tome avant de lire celui-ci afin de mieux appréhender l'histoire.



On retrouve l'héroïne principale: Mélina dans un motel un peu pourri avec Marshall. Elle ne se souvient de rien car elle a fait une chute et s'est cogné la tête. Le décor du final est planté.... Allons-y pour la suite de l'histoire.



Il faut parfois du temps pour pouvoir écrire ce que l'on pense d'un livre car si on ne fait pas attention, on risque d'en dire de trop et dévoiler une partie de l'histoire.



Durant ce dernier tome, Mélina vivra des moments intenses dans tous les sens du termes: colère, jouissance, amical et bien d'autres. Elle fera des rencontres hautes en couleur et qui ne la laisseront pas indifférente mais dans quelle mesure?



Il est "certain" que nous tenons notre destin en main mais est ce vrai...? Mais Mélina veut contrecarrer le destin, semer la mort. Alors la voilà qui s'embarque dans un road trip totalement improvisé.



Je dois dire qu'il n'y a pas temps morts, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Il y des rencontres en tout genre, des scènes (très hot) qui sont décrites avec beaucoup de détails sans aucune pudeur mais pas de façon vulgaire mais très crues quand même. La violence, la solitude , l'alcool et la drague sont les essences mêmes de ce livre. Car ce sont tous ces ingrédients qui ont donnés naissances aux personnages. Mais je dois dire que la fin est étonnante et me laisse avec la question suivante: est on maître de notre destin ou pas?????



Autant je trouve que l'histoire est bien écrite et qu'il y a de bonnes idées que j'ai trouvé certaines choses un peu dérangeantes durant ma lecture comme par exemple: les hahahaha qui sont franchement trop présent et qui m'ont gênés car je n'en voyais pas l'utilité (même si je me doute que l'auteure voulait appuyer sur un sentiment à ce moment-là). mais aussi les monologues où il y a beaucoup beaucoup trop de détails qui pour moi n'avait pas d'intérêt sauf celui de rallonger le texte. Et je trouve ça dommage car ça alourdissait le texte.



Très bon roman malgré tout et lisez le pour vous faire une opinion par vous-même....





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Ophelia

Deux personnages, deux vies diamétralement opposées, deux histoires et pourtant un point commun, une ville Ophélia.



Tout d’abord Jack vendeur itinérant se perd sur son trajet et arrive dans cette ville d’Ophélia qui lui semble bien étrange.



Puis Joyce, jeune journaliste en envie d’évoluer et d’écrire l’article de sa vie qui au détour d’une recherche d’informations va aller d’elle-même dans cette même ville.



Quelle est cette ville ? pourquoi ce Sherif ? qui mène vraiment la danse ?



au fil des pages et des descriptifs de chaque scène de leurs vies et passages dans cette ville, autant de questions qui arrivent.



Quel mystère entoure cette ville ?
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Ophelia

"Ophélia" est le premier roman que je lis de l'autrice Ophélie Curado et ce fût une belle découverte. L'écriture est très recherchée, détaillée, fluide et très agréable. L'histoire est haletante, une page en appelle une autre avec une "tension" permanente. Ce roman montre les travers de certaines personnes et la vulnérabilité d'autres. Une lecture que je conseille sans hésitations.
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Ophelia

Avis : Deux nouvelles dans un roman.

Ophélie Curado nous offre une vision intéressante de sa ville d'Ophélia.

Nous suivons des protagonistes, un paumé et une journaliste qui se retrouvent par hasard dans cette ville des Etats-Unis, en plein brouillard et doivent passer une nuit dans cette ville. La deuxième nouvelle se passant quelques temps après la première.



Le principe est intéressant, sur la base d'un thriller. On ne sait rien de la ville, le lecteur la découvre en même temps que les personnages, créant une vue partielle avec beaucoup de zones d'ombres rendant le tout inquiétant. Mon seul bémol serait que la démarche aurait pu être encore plus poussée en prenant un point de vue subjectif( être totalement immergé dans la tête du protagoniste sans en savoir plus.) au lieu d'un point de vue objectif. Dans certains passages, on précise au lecteur"attention la ville va les engloutir", ou que "c'est la ville qui manipule les gens" avant même que le héros ou l'héroïne aient commencé l'action et ça réduit l'impact de la surprise.

J'aime bien pourtant l'idée que la ville recèle encore bien des mystères. Des suites sont possibles nous faisant espérer découvrir d'autres horreurs.



Les nouvelles se découpent avec l'arrivée dans la ville, la rencontre avec l'inquiétant shérif (que j'aimerai voir encore plus développer) et après un huis clos avec l'un des habitants de la ville. Cela donne une atmosphère étouffante. Piégé dans la ville, pour la nuit, dans un motel, dans une chambre et des mises en garde partout. L'expression être fait comme un rat prend tout son sens.



Le shérif était parti, bel et bien envolé dans le crépuscule . A l'instar d'une apparition, d'un spectre qui touche à peine le sol, mais qui est pourtant maître de cette ville.



Dans cette situation, on s'attache vite à son bourreau et les scènes érotiques apportent un rapport malsain supplémentaire entre ceux qui arrivent dans la ville et qui cherchent à fuir et les habitants condamnés à rester. L'attachement rapide et brutal entraîne le dilemme suivant :

Restez et vous ne serez plus jamais seul dans la communauté ou sortez et mourrez.

On va assister au choix lancé à nos personnages principaux et voir comment ils vont s'en sortir.

C'est un roman agréable et même si je n'ai pas vu d'intentions de l'auteur de continuer cette histoire. Je ne dirai pas non à d'autres nouvelles qui mettraient plus en lumière cette petite ville qui reste un peu trop à mon goût dans le brouillard. Ophélia peut vite devenir comme Castlerock de Stephen King, la ville où commence tous les mystères.
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Ophelia

Quelle belle découverte que le roman de Ophélie Curado avec son livre « Ophelia ». La plume est magnifique et le vocabulaire très riche. Le livre est écrit en deux parties comme deux grosses nouvelles. Deux histoires distinctes dans une même ville : « Ophelia ».



Ophélie Curado est diplômée d'une maîtrise de Lettres Modernes Appliquées et d'un master 2 professionnel Métiers du Livre. A mon avis elle a dû beaucoup étudier Stephen King car son roman rappelle un peu le maître. Le suspense est soutenu et pourtant il n’y a pas un meurtre toutes les pages, le tout est beaucoup plus subtil, plus fin et tout aussi addictif.



Si vous êtes amateur de thriller sanguinolent avec un meurtre à chaque page, ce livre n’est pas pour vous. Il est à noter que le roman est en auto-édition et il démontre une nouvelle fois que l’on peut aussi trouver des pépites dans ce domaine.
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

L’intrigue, très originale, a donc suscité mon intérêt dès le début. J’étais en totale immersion dans l’histoire de Mélina, faisant face à la tragique nouvelle de la SAM, qui lui annonce qu’il ne lui reste qu’une semaine à vivre.



Tout d’abord, les descriptions sont bluffantes, je me suis retrouvée avec Mélina dans les années 70, au Texas. On se représente donc parfaitement le décor, l’ambiance. J’avais vraiment l’impression de voyager avec elle sur les routes ! C’est vraiment la grande qualité du style de l’auteure.



Les personnages ont tous leurs traits de caractère, bien différents, mais ils restent tous attachants. Là encore, les détails physiques et moraux sont impressionnants. Ophélie possède un vocabulaire riche et un très bon style. On peut voir également le travail d’Ophélie de par les annotations de bas de page, même s’il y en a un peu trop à mon goût, cela reste un gage de sérieux.



L’histoire est captivante, addictive. En effet, on a envie de savoir comment l’héroïne va réagir face à son destin. Cela fait réfléchir également : quels choix ferions-nous à sa place ? J’aime quand une lecture n’est pas seulement subie mais qu’elle me provoque un questionnement. C’est vraiment le cas pour celle-ci.



Un seul point négatif mérite peut-être d’être souligné, c’est la présence de quelques longueurs, notamment dans les discussions entre Mélina et Marshall. L’auteur s’y attarde un peu trop à mon goût et cela tranche un peu avec la situation dramatique à laquelle fait face Mélina.



Pour conclure, je dirais que ce roman est une belle découverte, j’ai passé un excellent moment et je le conseille vivement car la plume de l’auteure est remarquable. Après avoir lu la fin du roman, je n’ai qu’une envie : connaître la suite!
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

L’histoire est d’abord celle de Mélina Flores, une jeune femme qui n’a jamais quitté le Texas : elle vit dans le ferme laissée par ses parents, sans grande perspective d’un autre avenir que celui de rester là où elle a toujours vécu. Tout change lorsque deux hommes frappent à sa porte et lui annoncent qu’elle n’a plus qu’une semaine à vivre. Si elle désire en savoir plus, il lui faudra payer, et cela de plus en plus. Quittant ce qu’elle a toujours connu, Mélina entame un road-trip à travers le Texas au cours duquel elle va tout affronter.



J’avais choisi ce livre pour son pitch de départ : l’histoire d’une jeune femme enfermée dans une routine presque mortifère, qui se retrouve poursuivie par l’annonce de sa mort et une étrange société secrète… et en plus dans les années 70, une époque qui me fascine ! Tout pour me tenter ! J’ai donc entamé ma lecture très enthousiaste, m’imaginant déjà une course-poursuite haletante à travers le Texas.



Je maintiens mon premier sentiment, l’idée de base de cette mort annoncée et du road-trip qui s’en suit est excellente. Il y a une urgence qui s’ancre dans la personnalité de l’héroïne, très appréciable, et que j’ai trouvé très bien traitée. Les personnages qui la rejoignent sont tout aussi approfondis et attachants qu’elle, rien n’est traité superficiellement, loin de là. Cette intrigue étrange ne s’arrête pas simplement à une question de scénario, et se développe tout au long du roman, avec de très beaux moments d’introspection. C’est là quelque chose que j’ai trouvé de très réaliste, d’intime, avec des pensées certes presque philosophiques, mais bien proches de nous, entre regrets, inquiétudes et espoirs. Mélina connaît désormais l’urgence de vivre face à une mort presque immédiate, et cet aspect est mené avec beaucoup de justesse. C’est ce que j’ai préféré tout au long de ma lecture, par ailleurs riche en rebondissements : si certains passages de ce road-trip sont très contemplatifs (comme des photographies mentales), l’intrigue en elle-même connaît plusieurs retournements de situation, et la fin assez brutale est venue me surprendre agréablement.



Ces très belles qualités sont cependant un peu ternies par des longueurs qui viennent casser le rythme d’une lecture qui aurait pu être plus « efficace » sans être superficielle. Si les chapitres sont courts, des passages tournent en rond, et cela dénote avec l’aspect urgent de la situation. C’est assez paradoxal, et dommage. L’écriture très riche en descriptions, en vocabulaire (et même en annotations de bas de page) vient souvent renforcer ce sentiment. J’ai même trouvé certaines pages laborieuses. Un peu comme si l’auteure avait pêché par excès d’enthousiasme. Je regrette que l’écriture ne soit pas un peu plus synthétique, pour des passages plus épurés non forcément en terme de style, mais tout simplement pour moins faire errer le lecteur.



Mais si je regrette cet aspect de « trop », c’est parce que j’ai su, pendant plusieurs passages, être particulièrement charmée par les descriptions. La Mort devant soi m’a envoyée tout droit au Texas, de façon étourdissante parfois. Certaines scènes sont vraiment très visuelles, je dirais même que le roman est en lui-même très visuel. La plume d’Ophélie Curado, très imagée, pleine de couleurs et d’odeurs, vaut le détour, elle mériterait simplement d’être un peu plus épurée pour être plus percutante. D’autant que si il y a bien une chose que l’on sent en lisant ce roman, c’est de la passion : pour l’écriture, pour la nature humaine, pour le Texas même.



Un roman intense donc, qui, s’il pêche à plusieurs reprises à cause de certaines longueurs, ne manque pas de personnalité, et sûrement pas de décors ou de dépaysement.
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Ophelia

Ce recueil repose sur une bonne base, qu’il faudrait renforcer, et contient beaucoup de bonnes idées. Malheureusement, l’ensemble est traité maladroitement.



La structure même est inadaptée au contenu. Du coup, lors de la seconde partie, j’ai eu le sentiment de tourner en rond avec des éléments déjà connus et des événements prévisibles avant d’avancer.



De plus, le style déséquilibré en rajoute une couche.



Je ne saurais dire s’il s’agit d’une sortie trop hâtive, sans recul suffisant pour gommer au maximum ces points négatifs. Ou le fruit d’un amateurisme criant. En tout cas, comme à chaque fois que je décerne le pire badge, je ne le fait pas de gaîté de cœur. D’autant qu’avec toutes ces qualités, l’auteure disposait des bons ingrédients pour créer un thriller fantastique aux frontières de l’horreur.



Dommage.
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

J’ai découvert cette talentueuse auteure par ce premier livre. J’ai été surprise par un style d’ecriture d’une précision incroyable... ce roman surprend non seulement par son écriture mais aussi par l’ambiance lourde de cette histoire si bien contée. J’attends la suite avec impatience puisqu ‘un Second volume nous est promis. En attendant je me suis précipitée sur le recueil de nouvelles de l’auteure et j’ai tellement adorée que je lui ai mis cinq étoiles..
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Ophelia

Cette jeune auteure mérite vraiment d’etre lu.... le premier livre m’avait plu (la mort devant soi) mais le second m’a complètement conquise. Un style soutenu, du suspens, des phrases courtes qui nous entraînent vers un dénouement inattendu... à lire absolument...
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

J'ai malheureusement arreté le roman en cours de route... Attention, il est super bien écrit, on voit que c'est un style recherché, de plus les notes en bas de pages sont les bienvenues, cela évite d'aller chercher dans un dictionnaire ou un livre ce qui s'est passé a ce moment là et ce qui y rapporte dans l'histoire.



Il y a beaucoup de détails mais au contraire cela permet au lecteur d'imainer aisément les lieux et les personnages, même si des fois j'ai trouvé cela un peu long...



Il s'agit quand même d'une histoire assez surprenante, a laquelle on se demande: mais qu'est ce que j'aurai fait à sa place moi? c'est un théme tellement "vrai"... et qui n'est pas souvent abordé en général...



Les personnages sont attachants malgré leurs défauts, ils ont tous trois des blessures dans l'âme et ont sans le savoir au départ , un point commun... ils nous font ressentir des émotions trés fortes, l'auteur est vraiment trés douée!



Je n'ai malheureusement pas profité de tout le coté positif du roman, car il s'agit içi d'un public averti, même si la plume est chouette, même si le récit est chouette, bien écrit etc, pour ma part ce roman manque d'action, même s'il se passe beaucoup de choses , attention, j'ai trouvé cela un peu long...



Plongez vous dans le récit, vous m'en direz des nouvelles...






Lien : http://leschroniquesdestia.e..
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

"La mort devant soi" est une histoire comme je n'en pas encore eut l'occasion de lire. Mêlant la romance, le suspens, l'occulte...c'est un coup de coeur pour moi. Ohélie Curado nous livre l'histoire de Mélina, jeune femme menant une vie tout à fait banale, oubliant ses rêves, ses envies, ses désirs...Mais quand deux agents de la SAM (Société de l'annonce de la mort) lui annonce qu'il ne lui reste plus qu'une semaine à vivre, Mélina a le déclic. Celui qui se fait remettre en question, où l'on constate que l'on a survie et non vie, où nous n'avons pas réalisé nos rêves, n'avons pas fait ce que nous aimions.

La SAM lui offre la possibilitée des détails de sa mort, mais a des prix exorbitants! Marshall, le bandit sans coeur et sans attache, et Lou, jeune n'ayant plus rien à perdre à part sa vie,deviendront les épaules sur qui compter, les amis et amour qu'elle n'a jamais eu, mais tous ont ce point commun la SAM, tous ony déjà eu affaire à elle.

J'ai beaucoup aimée, et encore le mot est faible, la plume d'Ophélie Curado! Une histoire qui fait prendre conscience qu'il faut vivre en faisant ce qu'on aime, ce qui nous fait rêver, vibrer!

Les personnages m'ont fait passer part toutes les émotions possible et imaginable, les rires, la colère, la peur, la haine... mais tous ont été attachants par leur histoire respective, par le soutiens qu'ils sont les uns pour les autres.

L'auteure a su placer les détails aux bons endroits et aux bons moments, laissant des indices sans dévoiler quoi que ce soit laissant place à un suspense immense avec tous ces rebondissements!

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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

J'ai lu La mort devant soi durant mes vacances d'été et j'ai passé un très bon moment avec un roman foisonnant, riche de ses détails et fort de son ambiance. On peut reprocher quelques petites choses au roman d'Ophélie Curado mais on ne pourra pas lui reprocher d'avoir su créer un univers à part, un univers original et des personnages charismatiques, bien qu'agaçants sous certains aspects mais en cela terriblement crédibles ! Je n'ai pas été gênée par les notes en bas de page (libre à chacun de les lire ou non, d'ailleurs) mais je retiendrai le style particulièrement élégant et très littéraire de l'auteure. Il y a de très beaux passages, de belles réflexions sur le sens de la vie et, c'est vrai, quelques longueurs mais en somme, c'est un premier roman qui laisse présager de jolies choses pour la suite.
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La mort devant soi, tome 1 : La fureur de l..

Lisez l'argument et vous aurez tout compris : l'auteur s'inscrit dans les pas de Schopenhauer, Kerouac, John Fante, Easy rider... Si vous aimez l'humilité, et la modestie, passez votre chemin!

Que dire de ce livre, si ce n'est qu'il dépasse l'entendement humain! Le pitch tient sur un confetti et il est pourtant étalé sur 500 interminables pages, boursouflées et prétentieuses, qui alignent clichés, lieux communs, réflexions philosophiques de cours de récré, stéréotypes, truismes avec une deséspérante régularité. Rien ne tient debout (l'héroïne est censée être revenue de tout, lasse de vivre, et lorsqu'on lui annonce sa mort, elle réagit comme la première midinette venue). L'auteur ne connaît pas l'ellipse et le hors champ, et se répète en permanence. On s'enlise. Le misérabilisme (des descriptions) le dispute à la vulgarité insondable des scènes d'amour, qui vous consterneront ou vous feront pouffer de rire ("les roulures de bas étages"). Les dialogues sont hilarants. Les fautes d'orthographe et les coquilles pullulent à chaque page. Mais le plus agaçant reste à venir : prenant ses lecteurs pour des imbéciles, ou des ignares, l'auteur accumule les notes en bas de page. Ainsi ai je-appris, que carcéral, signifiait "relatif à la prison". Merci, je ne le savais pas! On dit souvent que l'auto-édition abrite le pire de la littérature française, en voilà une accablante illustration!
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