Dans un pays où la norme est de ne pas lire, où les lecteurs passent pour des handicapés du bonheur et la lecture comme une bizarrerie, voire une maladie, je ne peux qu’éprouver du respect envers les affections, les obsessions et les prétentions de cette poignée de bibliophiles qui tranchent avec la banalité et la médiocrité ambiante.