La civilisation n'est qu'une façade ; en temps de crise, l'homme redevient singe, oubliant le bipède rationnel qu'il prétendait être, redevenant le primate velu sur le seuil de sa caverne, qui pousse des cris perçants à l'adresse de l'ennemi en souhaitant qu'il s'en aille, caressant la lourde pierre dont il fera usage dès que l'autre sera à sa portée.