Il y a toujours quelque chose d’infiniment poétique dans les ruines. Quand un homme est vieux, on ne le remplace pas, on ne le détruit pas pour en construire un plus confortable, avec de nouvelles normes. On le laisse s’écrouler en paix. Pourquoi en serait-il autrement pour les bâtisses ? Paris aurait tout de même une autre allure. Les pierres sont sacrées, laissons les mourir comme elles l’entendent.