Nationalité : Australie
Né(e) à : Melbourne
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Né(e) à : Melbourne
Biographie :
Philippa Deanne Martin est écrivain, auteur de roman policier et livre jeunesse.
Elle a suivi des études supérieures en Psychologie et en parallèle, des cours de Droit criminel et de criminologie.
Étudiante, elle est aussi chanteuse et après son diplôme de "Sciences Comportementales", elle étudie la musique et commence à écrire des chansons, ce qui l'amène un peu plus tard à suivre une formation en "Creative Writing" qui tout naturellement la pousse à écrire des romans.
Elle s'adresse d'abord à un public "jeunesse" mais les éditeurs ne se battent pas pour la publier, elle décide alors de se tourner vers le genre thriller en s'appuyant sur les divers enseignements et formations qu'elle a suivis.
Dans son premier roman "Body count" (2005) ("L'écorcheur", réédité sous le titre "La marque du mal"), elle crée le personnage de Sophie Anderson, agent du FBI et "profiler" à Quantico, rapidement suivi par "The murderer's club" (2006) ("Le lien maudit" - 2009, réédité en 2011 sous le titre "La rose d'ébène").
Sophie Anderson se retrouve confrontée à des meurtres pervers perpétrés par des psychopathes des plus intelligents et organisés. L'auteur s'appuie sur une documentation fournie par les services de police, par des médecins, des services d'anamopathologie et aussi sur les conseils d'un policier à la retraite.
La série "Sophie Anderson" compte 7 opus entre 2007 et 2012, nul doute que P.D. Martin est classée désormais parmi les auteurs de thrillers qui s'affirment.
L'auteure écrit également des livres jeunesse sous le nom de Pippa Dee.
P. D. Martin vit à Melbourne avec son mari et sa fille.
pages Facebook :
https://www.facebook.com/pdmartinauthor
https://www.facebook.com/PippaDeeAuthor
+ Voir plusPhilippa Deanne Martin est écrivain, auteur de roman policier et livre jeunesse.
Elle a suivi des études supérieures en Psychologie et en parallèle, des cours de Droit criminel et de criminologie.
Étudiante, elle est aussi chanteuse et après son diplôme de "Sciences Comportementales", elle étudie la musique et commence à écrire des chansons, ce qui l'amène un peu plus tard à suivre une formation en "Creative Writing" qui tout naturellement la pousse à écrire des romans.
Elle s'adresse d'abord à un public "jeunesse" mais les éditeurs ne se battent pas pour la publier, elle décide alors de se tourner vers le genre thriller en s'appuyant sur les divers enseignements et formations qu'elle a suivis.
Dans son premier roman "Body count" (2005) ("L'écorcheur", réédité sous le titre "La marque du mal"), elle crée le personnage de Sophie Anderson, agent du FBI et "profiler" à Quantico, rapidement suivi par "The murderer's club" (2006) ("Le lien maudit" - 2009, réédité en 2011 sous le titre "La rose d'ébène").
Sophie Anderson se retrouve confrontée à des meurtres pervers perpétrés par des psychopathes des plus intelligents et organisés. L'auteur s'appuie sur une documentation fournie par les services de police, par des médecins, des services d'anamopathologie et aussi sur les conseils d'un policier à la retraite.
La série "Sophie Anderson" compte 7 opus entre 2007 et 2012, nul doute que P.D. Martin est classée désormais parmi les auteurs de thrillers qui s'affirment.
L'auteure écrit également des livres jeunesse sous le nom de Pippa Dee.
P. D. Martin vit à Melbourne avec son mari et sa fille.
pages Facebook :
https://www.facebook.com/pdmartinauthor
https://www.facebook.com/PippaDeeAuthor
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A l'instant précis où nous nous serrons la main, je sens une décharge électrique me traverser toute entière.
La télévision est un fléau pour notre société et la télé-réalité… eh bien, c’est…est tout simplement indicible.
Les étudiants peuvent être des victimes à hauts risques : cordiaux, d’un abord facile, il leur arrive souvent de se promener seuls la nuit sur le campus ou d’abuser de boissons alcoolisées, le plus grand danger venant encore de cette liberté toute neuve qu’ils goûtent pour la première fois.
Le regard de ses yeux bruns est empreint de compassion. Or, ce sont ses yeux qui constituent son arme la plus redoutable. Parfois, quand elle me regarde, j’ai l’impression d’être mise à nu, comme si elle pouvait faire tomber mon masque et voir clair en moi.
Il n’y a rien de pire que de savoir qu’un suspect est coupable et qu’il a réussi à échapper à la justice grâce à une faille dans le système judiciaire, telle que la possibilité de contester la façon dont les preuves ont été recueillies.
Elle n’a aucun respect pour eux et, d’une certaine façon, elle considère ses meurtres comme un acte de justice. Les hommes n’ont que ce qu’ils méritent… le chasseur devient gibier. Elle aime inverser les rôles.
La plupart des gens ont du mal à croire à la disparition d’un être cher, et ce n’est qu’après avoir vu le cadavre qu’ils admettent enfin la réalité et reconnaissent qu’il ne s’agit pas d’une terrible méprise.
Mettre les gens à l’aise est une pratique couramment utilisée lors des interrogatoires. Elle aide les victimes à se confier et à déballer tout leur vécu ; quant aux suspects, elle endort leur méfiance.
La plupart des victimes d’actes criminels ont du mal à accepter ce qui leur est arrivé. Et cela est tellement… tellement bizarre que ça a l’air surréaliste, tellement pervers que c’en est impensable.
Les réactions à la disparition d’un être cher varient grandement selon les personnes — cela va du refus pur et simple d’accepter la réalité à la colère irraisonnée, en passant par l’horreur muette.
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