"les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres"
Ecrire, c'est comme jouer à la roulette russe, on ne sait jamais quand la balle va sortir, mais le plus surprenant c'est où elle va se loger. Dans tous les cas, elle se loge comme le point à la fin d'une phrase.
Il est plus facile de donner des conseils que de se les imposer à soi. Il est plus facile d'imaginer que de vivre. Je pense que la bonne question qu'il faut se poser c'est pourquoi avons-nous peur du réel ?
On rêve d'oublier à jamais ces souvenirs d'un temps révolu. Ils sont là, dans un placard mental, derrière une porte qui s'ouvre lorsqu'elle le désire.
J'ai toujours senti mon imagination débordante me tenailler, me frapper comme la houle qui se fracasse contre les parois acérées du précipice.
Quand on écrit des histoires, qu'elles soient douces ou cruelles, on joue à brouiller les pistes - on y met du sien et des autres.
Le suspense c'est comme jouer à la roulette russe. Le meilleur moment c'est quand la balle sort, sans savoir où elle va atterrir.
Il ne faut pas se mentir entre nous et si je t'ai épousé c'est simplement parce que j'avais perdu mes lunettes.
Sais-tu que, si nous voulons réussir dans la vie, il faut se considérer nous-même comme une réussite ?
Nous ne voyons jamais la mort quand elle arrive. Elle nous regarde et nous ne voyons que le vide.