Pour montrer que ses récits n'étaient pas le fruit de son imagination, il gardait un brin de basilic fraîchement cueillis derrière son oreille droite. Il le mâchait, disait-il, pour chasser l'odeur de chatte de son haleine.
Lukas était convaincu que les seules fentes poilues que Nestor avait léchées étaient ses propres aisselles.