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4.07/5 (sur 152 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Milan , le 18/06/1971
Biographie :

Paola Barbato est une romancière et une scénariste de fumetti italienne.

Elle fait partie de l'équipe de scénariste qui travaille sur la célèbre série italienne "Dylan Dog".

Ses débuts avec "Dylan Dog" remonte au numéro "Speciale Dylan Dog n. 12", mais sa collaboration régulière à la série a commencé en 1999 ("Il sonno della ragione" n°157). Avec les années, elle est devenu une auteure essentielle de la série.

Elle a également écrit 4 romans: "Bilico" (2006), "Mani nude" ("A mains nues) (2008) qui a gagné le "Premio Scerbanenco", "Il filo rosso" ("Le fil rouge) (2010) et "Non ti faccio niente" (2017) qui n'est pas encore traduit en français.

Elle publie également sur internet en 2011 un shojo manga nommé Davvero. 4 albums à ce jour.

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Citations et extraits (78) Voir plus Ajouter une citation
Un écrivain n’est personne. Ses mots sont plus grands que lui : ils se fixent dans les mémoires et occultent son nom, son visage, tout. Un écrivain dispose de deux moyens pour devenir plus célèbre que ce qu’il a créé : écrire puis mourir de façon éclatante, ou bien tuer de façon éclatante puis écrire.
La troisième voie est rare.
C’est un saut dans le vide, une métamorphose extrême.
La transformation d’un auteur en personnage.
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"La vie était entrée par l'arrière, dans le jardin ; elle n'avait fait que traverser" (p.78)
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Chaque fois qu’un crime est commis, on raisonne en ligne droite: victime-bourreau. Mais il y a un troisième point de vue, le point de vue de celui qui reste. Qui reste vivant, qui reste dans l’attente, qui reste et combat, contre tout et tous, contre cet engrenage confus qui s’appelle «justice». Ils restent, ce sont les survivants.
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"Ce que nous ne savons pas ne nous nuit pas" (p.50)
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« Il y a deux types de femmes, par ici, les femmes à petit sac et les femmes casse-couilles. Les casse-couilles qui veulent que tu participes aux manifestations pour la paix, que tu lises les classiques russes, que tu deviennes végétarien… Tu ne leur conviens pas comme tu es, il te manque toujours quelque chose, ce quelque chose en plus qu’elles te demandent. Les femmes à petit sac, elles, sont simples : elles ne te cassent pas les couilles, elles couchent et tu peux les sortir, tu fais toujours bonne figure. Toujours bien habillées, ce qui n’est pas le cas de ces putes alternatives, elles ne connaissent pas le pantalon de survêtement, coiffées, maquillées, elles parlent peu : elles n’ont pas grand-chose à dire, mais peu importe. Si tu as de l’argent et un bon boulot, tu en épouses une, quand t’as envie tu la baises, si tu as quelqu’un à voir elle ne t’emmerde pas et si tu veux être tranquille elle va se coucher à 9 heures ou bien elle s’enferme dans la salle de bains pour se faire un masque, un truc comme ça. Tu veux une vie tranquille ? Prends-toi une femme à petit sac. Tu veux chier du sang ? Prends-toi une casse-couilles. »
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C’est un fil subtil, la douleur. Un fil rouge. Il nous relie, il nous serre, il nous pénètre tellement en profondeur qu’on oublie qu’on l’a à l’intérieur.
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C’était la Haine, la Haine pour toujours, qui à la différence de l’Amour dure, ne nous abandonne jamais.
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Tout avait changé. Pour toujours. Il avait tué un homme.
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Mais l'enfance n'était plus, elle était partie pour toujours. Il avait connu le désespoir, l'angoisse, la peur et enfin l'instinct. La vie, la survie.
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[Réveille-toi, Antonio.]

Il ouvrit les yeux. Cela ne changea pas grand-chose, l’obscurité dans la pièce était telle qu’on l’aurait crue peinte. L’air immobile, l’espace imperceptible. Il respira à fond et sentit. Inexplicable, étant donné le soin qu’il mettait à soustraire à son environnement tout objet susceptible de dégager une odeur. Et pourtant, sa chambre sentait le carton. Depuis le début, depuis le jour où il avait emménagé dans cette petite villa de lotissement, moche, blanche, neuve et anonyme, aussi anonyme qu’il voulait l’être lui-même. Cela sentait la peinture, ce jour de

[cinq]

quelques années auparavant, et aussi une vague odeur de métal chaud, seule trace du passage des ouvriers qui avaient installé la porte et les volets blindés.
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