« Ce n’est pas pour pousser les gens à s’intéresser que la Fabrique de Doute touche de l’argent. On les paie pour faire le contraire. L’ordre établi est facile à vendre. Les gens aiment que tout soit lisse et cohérent. Ils aiment qu’on leur dise de rester assis, et de ne pas se faire de souci si le cinéma brûle. »